21 décembre, 2013
Assassinat programmé du Colonel Marcel NTSOUROU, récit des faits.
Le Colonel Marcel NTSOUROU est de la race des officiers valeureux et républicains que ne tolèrent SASSOU NGUESSO. le Commandant Marien NGOUABI, le Capitaine KIBOUALA KAYA, le Colonel Xavier KATALI, le Général Yves MOTANDOT, le Général Blaise ADOUA etc.
Tous ses officiers assassinés par SASSOU NGUESSO, leur seul tort c’est d’avoir dit à SASSOU qui n’est pas Dieu, ni son ange.
Aujourd’hui, le combattant de la liberté, le Colonel Marcel NTSOUROU est devenu »le martyr de la légalité » comme il l’avait prévu. »Vainqueur de la légalité », il ne l’est pas encore, une question de temps.
Voici le film du Complot visant l’assassinat du Colonel.
* Procès du 04 mars: Instructions sont données pour faire condamner le Colonel à 25 ans de prison. Les braves magistrats disent NON. Courroux de SASSOU, OKEMBA, YOKA, OKO GAKALA et DENGUET;
*Pourvoi à la cour suprême sur instruction de YOKA. Quelques magistrats de la cour suprême traînent les pieds se rebiffent.
*SASSOU s’apprête à se rendre en France. Instruction est donnée d’arrêter ou de liquider le Colonel Marcel NTSOUROU en son absence. Peine perdue, certains officiers républicains se désistent. raison invoquée rien ne le justifie.
* SASSOU instruit Firmin AYESSA son directeur de cabinet d’ordonner auprès de MVOUO l’interdiction de tous les journaux indépendants: le Nouveau Trottoir, La Griffe, la Vérité, le Glaive, la Voix du Peuple, Sel Piment etc.
*Retour de SASSOU à la suite de son voyage en France, en Afrique du Sud et le Vatican. Prise de colère, il instruit OKEMBA de faire exécuter le plan de liquidation du Colonel.
* le 16/12/2013 à 9h, DENGUET propose un scénario pour justifier l’attaque de la résidence du Colonel. le lieu est retenu, l’hôtel PAMA chez le vieux Madzou. Il faut attirer le jeune Minichelinot par l’intermédiaire de Kévin GAMI. Habillé deux policiers en civils pour mimer une attaque d’un BJ de le GRB, la milice privée de DENGUET.
Arrivé sur les lieux, Minichelinot accompagné d’un adjudant chargé régulièrement de la sécurité du Colonel sont surpris par des coups de feu aux alentours. A la vue de la BJ de la GRB, ils ont compris le piège et décident de rebrousser chemin dans un taxi, tout en prenons soin de se couvrir, légitime défense oblige.
Notez le, Minichelinot avait déjà fait l’objet d’une tentative d’enlèvement le mois écoulé à son domicile de Bacongo. A la demande du Colonel, il avait fini par trouver refuge chez le Colonel pour éviter le sort du Colonel KIMPIDZA, enlevé dans la rue et déporté à ce jour à Impfondo.
*le 16/12/2013 au soir, sans recourir au Chef d’Etat Major le Général OKOI, OKEMBA décide avec la bénédiction de SASSOU de retirer les éléments de la Police Militaire postés aux alentours du domicile du Colonel pour dissuader les hommes de DENGUET.
Décision est prise par ces deux messieurs OKEMBA et DENGUET de faire encercler le domicile du Colonel. OKO GAKALA leur magistrat est appelé à la rescousse pour établir un vrai-faux mandat de perquisition.
* Toujours ce 16/12/2013 les médias dont Télé Congo et son directeur d’information Boris Iloy IBARA rentrent dans le scénario. Aucune image factuelle de la supposée attaque des hommes de TSOUROU. Aucun témoignage concordant. Aucun impact de balle. Scénario digne de la Camora italienne. Il faut amplifier les choses. Ce qui fût fait.
* Toujours ce 16/12/2013 au soir. Constatons un déploiement anormal des policiers des unités spécialisées, ceux de Tsambitso, des blindés, des mitraillettes lourdes etc, le Général tente de convoquer une réunion du haut commandement en vain. La majorité des officiers ne répondent que par OKEMBA.
* 17/12/2013 au matin. OKEMBA recommande sans le consentement du CEMG des compagnies dans les différents corps de l’armée. La police elle DENGUET s’en charge. BOUTY est de la partie. Réticence à la gendarmerie nationale.
Certains officiers prennent leur responsabilités sans le feu vert de la hiérarchie, il faut aider la tribu disent-ils. Sans organisation, sans commandement, sans évacuation ordonnée, l’assaut est donné. Un seul objectif liquider Marcel NTSOUROU.
Nos jeunes combattants de la liberté sont tombés, le personnel du Colonel Marcel NTSOUROU (cuisiniers, ménage, gardiens, chiens domestiques) est liquidé.
A la suite des bombardements intenses et massifs, miracle le Colonel et plus d’une quarantaine des »Amis » sont arrêtés sortent vivants puis arrêtés, tout ceci précédé d’une médiation des nations unies à la demande de la France.
Une dizaine de nos »Amis » ont pu s’échapper dans des conditions difficiles, Dieu merci.
*19/12/2013 dans le but de saper le moral des »combattants de la liberté », le trio OKEMBA, DENGUET, OKO GAKALA décide de présenter le valeureux combattant de la liberté »Marcel NTSOUROU » menotté.
Faute de nous démoraliser, tout ceci nous redonne courage et persévérance. Parce que la liberté n’a pas de prix, nous disons au Colonel Marcel NTSOUROU notre »Ami », Tenez, Tenez Colonel, le combat ne fait que commencer.
Buts visés par OKEMBA et Cie :
*Eliminer tous adversaires supposés dans un projet de prise de pouvoir à la Marien NGOUABI.
* Eviter le témoignage du Colonel NTSOUROU Marcel au sujet de l’affaire des disparus du Beach et toutes autres affaires.
* En finir avec les »Tékés » qui sont considérés par eux comme des sous hommes.
Assassinat programmé du Colonel Marcel NTSOUROU, récit des faits.
Le Colonel Marcel NTSOUROU est de la race des officiers valeureux et républicains que ne tolèrent SASSOU NGUESSO. le Commandant Marien NGOUABI, le Capitaine KIBOUALA KAYA, le Colonel Xavier KATALI, le Général Yves MOTANDOT, le Général Blaise ADOUA etc.
Tous ses officiers assassinés par SASSOU NGUESSO, leur seul tort c’est d’avoir dit à SASSOU qui n’est pas Dieu, ni son ange.
Aujourd’hui, le combattant de la liberté, le Colonel Marcel NTSOUROU est devenu »le martyr de la légalité » comme il l’avait prévu. »Vainqueur de la légalité », il ne l’est pas encore, une question de temps.
Voici le film du Complot visant l’assassinat du Colonel.
* Procès du 04 mars: Instructions sont données pour faire condamner le Colonel à 25 ans de prison. Les braves magistrats disent NON. Courroux de SASSOU, OKEMBA, YOKA, OKO GAKALA et DENGUET;
*Pourvoi à la cour suprême sur instruction de YOKA. Quelques magistrats de la cour suprême traînent les pieds se rebiffent.
*SASSOU s’apprête à se rendre en France. Instruction est donnée d’arrêter ou de liquider le Colonel Marcel NTSOUROU en son absence. Peine perdue, certains officiers républicains se désistent. raison invoquée rien ne le justifie.
* SASSOU instruit Firmin AYESSA son directeur de cabinet d’ordonner auprès de MVOUO l’interdiction de tous les journaux indépendants: le Nouveau Trottoir, La Griffe, la Vérité, le Glaive, la Voix du Peuple, Sel Piment etc.
*Retour de SASSOU à la suite de son voyage en France, en Afrique du Sud et le Vatican. Prise de colère, il instruit OKEMBA de faire exécuter le plan de liquidation du Colonel.
* le 16/12/2013 à 9h, DENGUET propose un scénario pour justifier l’attaque de la résidence du Colonel. le lieu est retenu, l’hôtel PAMA chez le vieux Madzou. Il faut attirer le jeune Minichelinot par l’intermédiaire de Kévin GAMI. Habillé deux policiers en civils pour mimer une attaque d’un BJ de le GRB, la milice privée de DENGUET.
Arrivé sur les lieux, Minichelinot accompagné d’un adjudant chargé régulièrement de la sécurité du Colonel sont surpris par des coups de feu aux alentours. A la vue de la BJ de la GRB, ils ont compris le piège et décident de rebrousser chemin dans un taxi, tout en prenons soin de se couvrir, légitime défense oblige.
Notez le, Minichelinot avait déjà fait l’objet d’une tentative d’enlèvement le mois écoulé à son domicile de Bacongo. A la demande du Colonel, il avait fini par trouver refuge chez le Colonel pour éviter le sort du Colonel KIMPIDZA, enlevé dans la rue et déporté à ce jour à Impfondo.
*le 16/12/2013 au soir, sans recourir au Chef d’Etat Major le Général OKOI, OKEMBA décide avec la bénédiction de SASSOU de retirer les éléments de la Police Militaire postés aux alentours du domicile du Colonel pour dissuader les hommes de DENGUET.
Décision est prise par ces deux messieurs OKEMBA et DENGUET de faire encercler le domicile du Colonel. OKO GAKALA leur magistrat est appelé à la rescousse pour établir un vrai-faux mandat de perquisition.
* Toujours ce 16/12/2013 les médias dont Télé Congo et son directeur d’information Boris Iloy IBARA rentrent dans le scénario. Aucune image factuelle de la supposée attaque des hommes de TSOUROU. Aucun témoignage concordant. Aucun impact de balle. Scénario digne de la Camora italienne. Il faut amplifier les choses. Ce qui fût fait.
* Toujours ce 16/12/2013 au soir. Constatons un déploiement anormal des policiers des unités spécialisées, ceux de Tsambitso, des blindés, des mitraillettes lourdes etc, le Général tente de convoquer une réunion du haut commandement en vain. La majorité des officiers ne répondent que par OKEMBA.
* 17/12/2013 au matin. OKEMBA recommande sans le consentement du CEMG des compagnies dans les différents corps de l’armée. La police elle DENGUET s’en charge. BOUTY est de la partie. Réticence à la gendarmerie nationale.
Certains officiers prennent leur responsabilités sans le feu vert de la hiérarchie, il faut aider la tribu disent-ils. Sans organisation, sans commandement, sans évacuation ordonnée, l’assaut est donné. Un seul objectif liquider Marcel NTSOUROU.
Nos jeunes combattants de la liberté sont tombés, le personnel du Colonel Marcel NTSOUROU (cuisiniers, ménage, gardiens, chiens domestiques) est liquidé.
A la suite des bombardements intenses et massifs, miracle le Colonel et plus d’une quarantaine des »Amis » sont arrêtés sortent vivants puis arrêtés, tout ceci précédé d’une médiation des nations unies à la demande de la France.
Une dizaine de nos »Amis » ont pu s’échapper dans des conditions difficiles, Dieu merci.
*19/12/2013 dans le but de saper le moral des »combattants de la liberté », le trio OKEMBA, DENGUET, OKO GAKALA décide de présenter le valeureux combattant de la liberté »Marcel NTSOUROU » menotté.
Faute de nous démoraliser, tout ceci nous redonne courage et persévérance. Parce que la liberté n’a pas de prix, nous disons au Colonel Marcel NTSOUROU notre »Ami », Tenez, Tenez Colonel, le combat ne fait que commencer.
Buts visés par OKEMBA et Cie :
*Eliminer tous adversaires supposés dans un projet de prise de pouvoir à la Marien NGOUABI.
* Eviter le témoignage du Colonel NTSOUROU Marcel au sujet de l’affaire des disparus du Beach et toutes autres affaires.
* En finir avec les »Tékés » qui sont considérés par eux comme des sous hommes.
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