lundi 23 décembre 2013
La promotion de la protection de la biodiversité en RD Congo bénéficie de financements de 14,64 millions USD de la Banque mondiale destinés à la gestion d’un « vaste réseau d' aires protégées » constituées de 7 parcs nationaux ainsi que de 57 réserves naturelles et réserves de chasse couvrant 22 millions d'hectares.
Il s’agit de deux dons accordés respectivement par l'Association internationale de développement (3 millions USD) et la Caisse du Fonds pour l'environnement mondial (11,64 millions USD).
« Les parcs et les réserves de la RDC sont reconnus au plan mondial pour leurs trésors naturels de classe internationale, mais un grand nombre d'entre eux sont menacés par des activités d'abattage illicites, l'empiétement des communautés avoisinantes et le braconnage », a expliqué dans un communiqué le directeur de la BM pour les opérations en RDC, Eustache Ouayoro.
Il a précisé que « ce projet va aider à préserver la biodiversité d'importance mondiale de la RDC, améliorer la viabilité à long terme du système de parc nationaux et contribuer à créer des emplois et à assurer la stabilité dans les communautés du pays déchirées par la guerre ».
Un vaste réservoir de carbone
Selon le chef de l'Equipe de la Banque mondiale pour ce projet, Douglas J. Graham, « les forets de la RDC constituent un vaste réservoir de carbone, c'est-à-dire un important bien public mondial, et assurent des moyens de subsistance essentiels pour un grand nombre de congolais ».
Dans l’entendement de la banque mondiale, « ces financements apporteront des ressources supplémentaires du Projet de réhabilitation du réseau des parcs nationaux ».
Le PREPAN a pour objet de « renforcer les capacités dont dispose l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) afin de superviser et de gérer les aires protégées du pays, tout en appuyant la mise en place du Fonds Okapi pour la protection de la nature en RDC, qui est un fonds fiduciaire établi à l'échelle nationale ».
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Angelo Mobateli
Le Potentiel
La promotion de la protection de la biodiversité en RD Congo bénéficie de financements de 14,64 millions USD de la Banque mondiale destinés à la gestion d’un « vaste réseau d' aires protégées » constituées de 7 parcs nationaux ainsi que de 57 réserves naturelles et réserves de chasse couvrant 22 millions d'hectares.
Il s’agit de deux dons accordés respectivement par l'Association internationale de développement (3 millions USD) et la Caisse du Fonds pour l'environnement mondial (11,64 millions USD).
« Les parcs et les réserves de la RDC sont reconnus au plan mondial pour leurs trésors naturels de classe internationale, mais un grand nombre d'entre eux sont menacés par des activités d'abattage illicites, l'empiétement des communautés avoisinantes et le braconnage », a expliqué dans un communiqué le directeur de la BM pour les opérations en RDC, Eustache Ouayoro.
Il a précisé que « ce projet va aider à préserver la biodiversité d'importance mondiale de la RDC, améliorer la viabilité à long terme du système de parc nationaux et contribuer à créer des emplois et à assurer la stabilité dans les communautés du pays déchirées par la guerre ».
Un vaste réservoir de carbone
Selon le chef de l'Equipe de la Banque mondiale pour ce projet, Douglas J. Graham, « les forets de la RDC constituent un vaste réservoir de carbone, c'est-à-dire un important bien public mondial, et assurent des moyens de subsistance essentiels pour un grand nombre de congolais ».
Dans l’entendement de la banque mondiale, « ces financements apporteront des ressources supplémentaires du Projet de réhabilitation du réseau des parcs nationaux ».
Le PREPAN a pour objet de « renforcer les capacités dont dispose l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN) afin de superviser et de gérer les aires protégées du pays, tout en appuyant la mise en place du Fonds Okapi pour la protection de la nature en RDC, qui est un fonds fiduciaire établi à l'échelle nationale ».
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Angelo Mobateli
Le Potentiel
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