samedi 17 janvier 2015

La MONUSCO confirme les révélations de l’APARECO concernant le complot rwandais contre les populations congolaises de Kinshasa !



Lors d’une récente réunion de travail qui a eu lieu ce lundi 12 janvier 2015 à Kinshasa entre les responsables de la MONUSCO et ceux de la Police et des «services spéciaux» congolais, les responsables de la MONUSCO ont mis en garde les sbires de «Joseph Kabila» contre leur projet visant à mettre les villes de Kinshasa et Lubumbashi à feu et à sang. 

Cette rencontre avait réuni les hommes de Martin Kobler et les responsables (congolais et rwandais) de la Police Nationale du Congo (PNC), de l’Agence Nationale de Renseignements (ANR) avec ses deux départements de l’extérieur et de l’intérieur, ainsi que les officiers responsables de la DEMIAP, la branche militaire du Renseignement congolais. 

Lors de cette rencontre qui fut très tendue, les responsables de la MONUSCO n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère ; car ils ont vertement interpellé les occupants rwandais qu’accompagnaient leurs valets congolais, contre leur projet visant à mettre la ville de Kinshasa à feu et à sang. 

Ils leur ont déclaré, les yeux dans les yeux: « Nous sommes au courant de votre projet. Nous suivons les opérations d’infiltration massive des militaires rwandais (plus de 8000) dont vous avez inondé Kinshasa. Nous vous mettons sérieusement en garde contre toute opération visant à massacrer les populations civiles congolaises de Kinshasa. Nous suivons aussi vos manœuvres à Lubumbashi…. » Selon notre source, la tension dans la salle était à couper au couteau.

L’œil du Patriote se félicite du fait que la MONUSCO soit parvenue au même constat que lui pour confirmer l’invasion dénoncée de Kinshasa par des milliers de soldats rwandais qui se livrent à des assassinats des dizaines des jeunes kinois chaque nuit, dans le silence total de la presse congolaise et internationale. 

Nous rappelons une fois de plus que l’un des objectifs du Rwanda est de décimer, autant que faire se peut, la jeunesse congolaise d’une part, et de détruire massivement les parties génitales des femmes congolaises d’autre part, et tout cela dans le seul but de bloquer, à moyen et long terme, la croissance démographique du peuple congolais face à la démographie galopante du Rwanda dont «l’excédent» devrait être déversé sur le territoire congolais.

«Joseph Kabila » discrédite Moïse Katumbi auprès de Paul Kagame pour l’éloigner du soutien du lobby tutsi 



La guerre fratricide entre Hyppolite Kanambe et Moïse Katumbi préoccupe au plus haut point le lobby tutsi rwandais et ougandais qui s’inquiète de l’avenir de leur «cheval de Troie» actuellement à la tête des institutions de la République Démocratique du Congo. 

La fulgurante ascension politique et financière de Moïse Katumbi constituait au début, une assurance personnelle pour Paul Kagame, à cause des liens familiaux entre son épouse, Jeannette Nyiramongi et Carine Nahayo Les deux femmes ont des liens de consanguinité. 

Des sources sures confirment que c’est l’épouse de Moïse Katumbi qui gère les sociétés-écrans appartenant à Paul Kagame, et qui sont propriétaires et exploitant des gisements de mines dans le Katanga. 

Ces liens très forts entre les Katumbi et les Kagame ont constitué jusqu’ici un frein contre toute velléité de «Kabila» d’attenter à la carrière ou à la vie de Moïse Katumbi. 

Les mêmes sources révèlent qu’avant de se lancer dans son aventure, Moïse Katumbi avait dépêché son épouse Carine Nahayo auprès du couple Kagame qui lui aurait donné le feu vert.

Une source très crédible affirme que devant l’ampleur de l’escalade du conflit, Hyppolite Kanambe aurait recouru à son arme de destruction massive : il aurait convaincu Paul Kagame d’un prétendu et imaginaire rapprochement entre Moïse Katumbi et Honoré Ngbanda. 

Selon lui, les deux hommes se seraient rencontrés à Londres lors du dernier séjour de Moïse Katumbi qui aurait «prétexté un malaise». 

Plus le mensonge est gros, dit-on, plus facilement on y croit. Kanambe aurait, semble-t-il, fait appel aux faux témoignages de ses complices et alliés européens pour étayer son «accusation» auprès de leur sponsor à Kigali. 

A la sortie d’une rencontre qui a eu lieu récemment à l’immeuble GLM chez Mlle Janet dit ‘’ Kabila’’ , les trois frères Kanambe ont clairement exprimé leur joie de constater que Paul Kagame a mordu à l’hameçon et a décidé de lâcher Moïse Katumbi qu’il avait pourtant chaudement recommandé auprès de ses maîtres et alliés en Occident. 

Comme on le voit, les loups commencent à se déchirer entre eux. Signe des temps !

L’effet boomerang a commencé pour les collabos : Zacharie Bababaswe copieusement tabassé par les militaires rwandais sur ordre de Ruberwa !



L’homme ne récolte que ce qu’il a semé. Cette maxime se vérifie aujourd’hui encore pour les collabos congolais qui avaient plongé hier, la tête la première, dans la mangeoire kanambiste, et qui cherchent aujourd’hui à quitter le bateau qui continue à prendre l’eau de toute part. 

Tel est le cas de ce grand collabo devant l’Eternel, Zacharie Bababaswe https://www.youtube.com/watch?v=PeapiJ7-8Ug&feature=youtu.be pour ne pas le citer, qui voudrait s’envoler par-dessus la tête de Kanambe pour rejoindre un nouveau maître, Moïse Katumbi, la nouvelle coqueluche des vagabonds politiques de la classe politique congolaise.

Mais c’était sans compter avec la cruauté de l’occupant tutsi rwandais qui, contrairement à Mobutu, ne pardonne pas aux traîtres et ne leur permet pas non plus de s’en tirer sans rendre compte des avantages perçus. 

C’est ainsi qu’ayant constaté le revirement de leur nègre de service Zacharie Bababaswe vers Moïse Katumbi, Azarias Ruberwa le convoqua pour venir s’expliquer illico sur sa trahison. Mais oubliant qu’il est dans un régime d’occupation, l’arrogant collabo renvoya avec mépris les émissaires de l’occupant. 

Mal lui en prit ! Car quelques temps après, il fut conduit manu militari à la résidence de Ruberwa au bord du fleuve où il fut copieusement tabassé par des militaires rwandais. Signe des temps !

Paris , le 16 janvier 2015
Candide OKEKE

L’OEIL DU PATRIOTE

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