Benjamin Brafman (C) and William Taylor (D), les deux avocats de Dominique Strauss-Kahn, sortent du bureau du procureur de New York après un entretien, le 6 juillet 2011.
REUTERS/Brendan McDermid
Avec notre correspondant à New York, Karim Lebhour
Cette réunion de deux heures marque le début des tractations entre l’accusation et la défense et montre que le dossier DSK n’est pas clos. « L’enquête se poursuit et aucune décision n’a été prise » dit-on au bureau du procureur, tandis que les avocats de DSK parlent d’une réunion « constructive ».
Sur les sept chefs d’inculpation contre Dominique Strauss-Kahn, le procureur Cyrus Vance est prêt à abandonner les plus lourds : tentative de viol et crimes sexuels. Mais il semble convaincu qu’une agression a bien eu lieu, malgré les incohérences de la jeune femme et pourrait donc proposer à DSK un plaider coupable sur les charges moins lourdes par exemple celle d’« attouchements non consentis ».
La défense de son côté demande purement et simplement un non-lieu. Une hypothèse qui enrage l’avocat de la femme de chambre Kenneth Thompson. Il demande à Cyrus Vance de se dessaisir du dossier et de nommer un procureur spécial. Requête immédiatement rejetée.
Sur les sept chefs d’inculpation contre Dominique Strauss-Kahn, le procureur Cyrus Vance est prêt à abandonner les plus lourds : tentative de viol et crimes sexuels. Mais il semble convaincu qu’une agression a bien eu lieu, malgré les incohérences de la jeune femme et pourrait donc proposer à DSK un plaider coupable sur les charges moins lourdes par exemple celle d’« attouchements non consentis ».
La défense de son côté demande purement et simplement un non-lieu. Une hypothèse qui enrage l’avocat de la femme de chambre Kenneth Thompson. Il demande à Cyrus Vance de se dessaisir du dossier et de nommer un procureur spécial. Requête immédiatement rejetée.
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