le 3 septembre 2012.
Le passage des chefs religieux congolais a fait mouche à l’Onu. Armés de 10 millions des signatures, les chefs des confessions religieuses congolais ont secoué le staff de l’organisation planétaire.
La vague ainsi soulevée a produit ses effets à plusieurs niveaux. L’héroïque délégation est annoncée pour aujourd’hui au Congrès américain, puis à la Maison Blanche.
Dans leur gibecière, les hommes de Dieu n’ont pas qu’emmené la lourde pétition congolaise. Ils ont aussi pris le soin de prendre une large partie de la comptabilité macabre des agressions rwandaises à répétition sur le sol congolais.
Une série d’images révoltantes qui interpellent plus d’une conscience : massacres des civiles, femmes sauvagement violées, atrocités, innommables …
La machine du Congo lobbying commence à tourner à plein régime. Il est vraiment souhaitable que les religieux congolais mettent à profit l’occasion qui leur est offerte, pour provoquer la mobilisation totale et sans faille de la Communauté internationale.
Les juifs, l’ont fait avec l’holocauste. Le Rwanda de Paul Kagame a suivi le même schéma avec le génocide de 1994. Les dividendes ne sont pas fait attendre. Aujourd’hui Israël est une nation super protégée au Moyen Orient.
Plus près de nous, le régime de Paul Kagame a bénéficié de toute l’indulgence de la planète. En commençant par les Usa.
Tout le monde peut se souvenir à cet effet, de la réaction très musclée de Madeleine Albright, alors secrétaire d’Etat américaine en 2000, à la faveur du renvoi des soldats rwandais, sous M’zee L.D. Kabila, face à ce qui apparaissait très faussement comme une chasse à l’homme des sujets Tutsi au Congo, la dame de fer américaine dut prendre son portable et appeler M’zee en personne.
Pour lui crier que “les Tutsi” sont la prunelle de la Communauté internationale. Au-delà de l’indélicatesse de ces propos, force est de constater que cependant l’effet du lobbying tutsi à travers le monde.
Refaire le coup
Le temps se révèle d’autant plus propice qu’à l’Onu, tout le monde a finalement pris position en faveur de la Rdc. Les thèses lénifiantes de Kagame et son système n’endorment plus le monde. La brèche s’est donc ouverte.
Mais elle ne s’élargira pas toute seule. Les congolais de tout bord, les officiels comme les particuliers où qu’ils se trouvent, doivent s’y engouffrer et provoquer un revirement décisif sur le terrain.
Sur ce point précis, il sied de saluer la détermination de la diplomatie, congolaise qui a pratiquement assiégé le Conseil de sécurité avec ses exigences sans détours. Le ministre congolais des Affaires étrangères a réclamé des sanctions lourdes contre le Rwanda et ses officiels impliqués dans la tragédie de l’Est.
Dans cette vaste croisade, le drame serait de croire le bruit nous venons de faire sur la question suffit à lui seul. Bien au contraire, c’est maintenant ou jamais qu’il convient de redoubler d’agressivité dans notre campagne de mobilisation de la Communauté internationale.
Situation donnée, il faut une stratégie d’attaque donnée. Il ne faut pas confondre de guerre. Nous ne sommes plus en phase de sensibilisation. Cette dernière a déjà atteint son objectif. Nous sommes en pleine phase de mobilisation.
Il faut développer un discours conséquent. Malheureusement que pour l’heure, ceux qui se battent au front sur le plan international continuent à jouer les notes de la sensibilisation …
LP
Direct!cd
Le passage des chefs religieux congolais a fait mouche à l’Onu. Armés de 10 millions des signatures, les chefs des confessions religieuses congolais ont secoué le staff de l’organisation planétaire.
La vague ainsi soulevée a produit ses effets à plusieurs niveaux. L’héroïque délégation est annoncée pour aujourd’hui au Congrès américain, puis à la Maison Blanche.
Dans leur gibecière, les hommes de Dieu n’ont pas qu’emmené la lourde pétition congolaise. Ils ont aussi pris le soin de prendre une large partie de la comptabilité macabre des agressions rwandaises à répétition sur le sol congolais.
Une série d’images révoltantes qui interpellent plus d’une conscience : massacres des civiles, femmes sauvagement violées, atrocités, innommables …
La machine du Congo lobbying commence à tourner à plein régime. Il est vraiment souhaitable que les religieux congolais mettent à profit l’occasion qui leur est offerte, pour provoquer la mobilisation totale et sans faille de la Communauté internationale.
Les juifs, l’ont fait avec l’holocauste. Le Rwanda de Paul Kagame a suivi le même schéma avec le génocide de 1994. Les dividendes ne sont pas fait attendre. Aujourd’hui Israël est une nation super protégée au Moyen Orient.
Plus près de nous, le régime de Paul Kagame a bénéficié de toute l’indulgence de la planète. En commençant par les Usa.
Tout le monde peut se souvenir à cet effet, de la réaction très musclée de Madeleine Albright, alors secrétaire d’Etat américaine en 2000, à la faveur du renvoi des soldats rwandais, sous M’zee L.D. Kabila, face à ce qui apparaissait très faussement comme une chasse à l’homme des sujets Tutsi au Congo, la dame de fer américaine dut prendre son portable et appeler M’zee en personne.
Pour lui crier que “les Tutsi” sont la prunelle de la Communauté internationale. Au-delà de l’indélicatesse de ces propos, force est de constater que cependant l’effet du lobbying tutsi à travers le monde.
Refaire le coup
Le temps se révèle d’autant plus propice qu’à l’Onu, tout le monde a finalement pris position en faveur de la Rdc. Les thèses lénifiantes de Kagame et son système n’endorment plus le monde. La brèche s’est donc ouverte.
Mais elle ne s’élargira pas toute seule. Les congolais de tout bord, les officiels comme les particuliers où qu’ils se trouvent, doivent s’y engouffrer et provoquer un revirement décisif sur le terrain.
Sur ce point précis, il sied de saluer la détermination de la diplomatie, congolaise qui a pratiquement assiégé le Conseil de sécurité avec ses exigences sans détours. Le ministre congolais des Affaires étrangères a réclamé des sanctions lourdes contre le Rwanda et ses officiels impliqués dans la tragédie de l’Est.
Dans cette vaste croisade, le drame serait de croire le bruit nous venons de faire sur la question suffit à lui seul. Bien au contraire, c’est maintenant ou jamais qu’il convient de redoubler d’agressivité dans notre campagne de mobilisation de la Communauté internationale.
Situation donnée, il faut une stratégie d’attaque donnée. Il ne faut pas confondre de guerre. Nous ne sommes plus en phase de sensibilisation. Cette dernière a déjà atteint son objectif. Nous sommes en pleine phase de mobilisation.
Il faut développer un discours conséquent. Malheureusement que pour l’heure, ceux qui se battent au front sur le plan international continuent à jouer les notes de la sensibilisation …
LP
Direct!cd
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