7 Janvier 2011
L'ex-Premier ministre de Laurent Gbagbo ne se porte pas bien. Depuis un certain moment, le chef autoproclamé des rebelles enfermé à l'Hôtel du Golf ne cesse de perdre du poids au point où l'on se demande de quoi souffrirait le "Premier ministre du Golf".
De source bien introduite auprès de ses médecins traitant, Guillaume Soro souffrirait d'un mal pernicieux qui le ronge depuis quelques années. Ce mal, au dire de notre source, s'est aggravé ces derniers temps, occasionnant un affaiblissement physique progressif du chef des rebelles dont le poids, bien avant qu'il ne se retrouve au Golf, était effrayant.
La même source indique que depuis qu'il est enfermé dans cette prison dorée du Golf Hôtel, le "griot" de Ouattara a sauté des étapes importantes de ses séances de soins obligatoires. Sa santé a pris le plus naturellement du monde un coup. Pire, elle se détériore de jour en jour.
Cette situation fait l'objet de graves inquiétudes de sa famille qui lui aurait demandé de choisir entre sa santé et la rébellion.
En d'autres termes, sauver sa vie ou mourir. Un psychologue clinicien, spécialiste en la matière, a même révélé que la santé actuelle du chef rebelle aurait un lien avec ses réactions dans la crise ivoirienne qui sont parfois dénudées de bon sens. Car, selon le psychologue, le comportement suicidaire dont fait montre Soro ces jours-ci, est l'une des caractéristiques de ce mal pernicieux.
Notre source indique que Soro aurait eu conscience de ce mal. Mieux, il aurait confié à son ami Sidiki Konaté, ex-ministre du Tourisme et de l'Artisanat en privé, son envie de se retirer afin de s'occuper de sa santé mais il craint pour sa sécurité. "Je connais les méthodes du "Koro", a-t-il avoué, parlant de Ouattara.
"Premier ministre du Golf", certaines personnes pensent qu'il a un rapport avec ses besoins mystiques, notamment le sang humain que lui et ses amis auraient bu durant des années pour obtenir des pouvoirs surnaturels. Ces pratiques mystiques, précisent-elles, laissent le plus souvent de graves effets secondaires aux patients dont des maladies parfois incurables.
Source: allAfica
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