«Nous vous donnons 72 heures pour quitter votre quartier. Passé ce délai, nous allons attaquer ce quartier en vue d’y installer une base. Monsieur le président du quartier, vous êtes tenu de faire diffuser ce message qui tient lieu d’unique avertissement. Faute de quoi vous serez le seul responsable de tout ce qui arrivera». Ceci est le contenu d’un tract qui a été remis, le samedi 19 mars dernier, au président d’un quartier de la commune de Yopougon. Ce tract signé «Commandos invisibles» a été distribué dans tous les quartiers de la plus grande commune de Côte d’Ivoire. Mais aussi dans les autres communes du district d’Abidjan. En plus des tracts, des marques sont faites sur les portes ou portails de certaines concessions. Résultat, prises de peur, les populations déménagent massivement. Certains habitants se rendent dans leur village quand d’autres quittent carrément le pays pour les pays limitrophes, notamment le Ghana.
Ainsi donc, après l’échec du coup d’Etat de la nuit du 18 au 19 septembre 2002 qui s’est mué en rébellion, après l’échec du coup d’Etat institutionnel issu de Marcoussis, après l’échec du hold-up électoral de novembre 2010, la France et l’ONU ont définitivement opté pour des actions terroristes dans leur volonté d’installer Alassane Dramane Ouattara à la tête de la Côte d’Ivoire par la force. Et ceci avec le soutien incompréhensible des Etats-Unis d’Amérique qui se sont pourtant faits les champions de la lutte contre le terrorisme dans le monde.
En réalité, ces tracts qui procèdent simplement d’une sorte de guerre psychologique constituent le signe de l’échec de l’opération «Commandos invisibles» des terroristes au service de Ouattara. En effet, les Forces de défense et de sécurité (FDS) se sont bien organisées pour faire face à la guérilla urbaine du candidat malheureux de l’élection présidentielle. Résultat, les FDS infligent depuis un moment de lourdes pertes dans les rangs des “commandos invisibles” de Ouattara sans perdre aucun élément. En plus, les FDS sont aidées dans leur tâche par les jeunes patriotes dont le barrages d’autodéfense dans les quartiers gênent énormément l’action de l’onuci qui transporte les commandos invisibles dans les véhicules frappés du sigle UN. Ces actions conjuguées des FDS et des jeunes patriotes empêchent les “commandos invisibles” d’installer la terreur dans les autres communes d’Abidjan, en dehors d’Abobo et d’Anyama.
Dans leur impuissance face aux actions vigoureuses des FDS, les terroristes au service de Ouattara ont choisi de procéder par des tracts. L’objectif étant d’installer la psychose au sein des populations. Les Abidjanais doivent résister à cette autre forme de terrorisme en ne cédant pas à la panique comme le souhaite Ouattara. En définitive, les Abidjanais se doivent de continuer de faire confiance à leur gouvernement et à leur armée . Boga Sivori (bogasivo@yahoo.fr)
Ainsi donc, après l’échec du coup d’Etat de la nuit du 18 au 19 septembre 2002 qui s’est mué en rébellion, après l’échec du coup d’Etat institutionnel issu de Marcoussis, après l’échec du hold-up électoral de novembre 2010, la France et l’ONU ont définitivement opté pour des actions terroristes dans leur volonté d’installer Alassane Dramane Ouattara à la tête de la Côte d’Ivoire par la force. Et ceci avec le soutien incompréhensible des Etats-Unis d’Amérique qui se sont pourtant faits les champions de la lutte contre le terrorisme dans le monde.
En réalité, ces tracts qui procèdent simplement d’une sorte de guerre psychologique constituent le signe de l’échec de l’opération «Commandos invisibles» des terroristes au service de Ouattara. En effet, les Forces de défense et de sécurité (FDS) se sont bien organisées pour faire face à la guérilla urbaine du candidat malheureux de l’élection présidentielle. Résultat, les FDS infligent depuis un moment de lourdes pertes dans les rangs des “commandos invisibles” de Ouattara sans perdre aucun élément. En plus, les FDS sont aidées dans leur tâche par les jeunes patriotes dont le barrages d’autodéfense dans les quartiers gênent énormément l’action de l’onuci qui transporte les commandos invisibles dans les véhicules frappés du sigle UN. Ces actions conjuguées des FDS et des jeunes patriotes empêchent les “commandos invisibles” d’installer la terreur dans les autres communes d’Abidjan, en dehors d’Abobo et d’Anyama.
Dans leur impuissance face aux actions vigoureuses des FDS, les terroristes au service de Ouattara ont choisi de procéder par des tracts. L’objectif étant d’installer la psychose au sein des populations. Les Abidjanais doivent résister à cette autre forme de terrorisme en ne cédant pas à la panique comme le souhaite Ouattara. En définitive, les Abidjanais se doivent de continuer de faire confiance à leur gouvernement et à leur armée . Boga Sivori (bogasivo@yahoo.fr)
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