Koffi OLOMIDE
L’affaire fait grand bruit dans le milieu congolais parisien. Selon des sources credibles, l’artiste musicien Koffi Olomidé, actuellement en fuit à Kinshasa serait poursuivi par la justice française pour Viol, séquestration et détournement de mineurs à l’encontre de 4 de ses ex danseuses toutes mineures au moment des faits.
Connaissant la justice française par sa lourdeur, son éternelle lenteur et les dossiers en souffrance de justiciables. Elle se réveille aujourd’hui, en filigrane avec une vieille histoire que Quartier Latin traînée comme un boulet au point de le contraindre à l’heure actuelle de se soustraire de la Justice Française.
L’épée de Damoclès était sur la tête de patron d’un orchestre, à la renommée internationale incontestée. Le couperet vient de s’abattre sur ses épaules. Suite à une sombre affaire qui a poussé les enquêteurs par l’instruction de Parquet, d’instruire le dossier à caractère criminel.
Selon des sources credibles, l’artiste musicien Koffi Olomidé, actuellement en fuit à Kinshasa serait poursuivi par la justice française pour Viol, séquestration et détournement de mineurs, acte de barbarie à l’encontre de 4 de ses ex danseuses toutes mineures au moment des faits.
Les faits remontent il y a deux ans de cela. Pour de raison de son Méga concert dans la salle mythique de Zénith Koffi à Paris, il aurait emmené avec lui plusieurs danseuses dont 4 jeunes filles âgées de 15 à 17 ans. La législation française en matière de sauvegarde de mineurs est très draconienne. L’enquête a été diligentée tambour battant par la brigade de mineurs, afin que la lumière soit faite sur ces accusations qui d’après un avocat pénaliste contacté relève d’une sévérité judiciaire. Trois associations de l’enfance suivent de près cette affaire et se portent partie civile…
L’artiste aurait fait héberger des jeunes danseuses dans un appartement loué sur paris, qu’elles étaient contraintes de rester enfermées avec des menaces caractérisées sous peine de châtiment des gros bras qui étaient assignés à cette sale besogne.
Au delà de cette interdiction de quitter la pièce étroite dans laquelle qu’elles croupissaient, le bourreau de ces filles se permettait d’assouvir sa libido quand bon lui semblait, avec des pratiques digne d’un sado –masochiste.
Celles-ci, ayant alerté des amis, auraient réussi à s’enfuir de la maison. Furieux Koffi Olomidé aurait menacé leurs familles directement à Kinshasa de rembourser les billets d’avions et leurs séjours dans la capitale française.
N’ayant pas d’autres alternatifs, les jeunes filles se seraient rapprocher auprès des assistances sociales qui elles mêmes auraient prévenus aussitôt la justice.
L’instruction aurait durée 2 ans, et l’artiste aurait reçu une convocation d’un juge il y’a 2 semaines pour se justifier sur les faits qui lui étaient reprochés.
Koffi Olomidé aurait préféré alors de s’exiler à Kinshasa. Un mandat d’arrêt international aurait été signifié à l’encontre du chanteur et interpole chargé de l’exécuter.
Seul l’avenir nous dira, si cette vive polémique qui règne actuellement dans le milieu congolais parisien est fondée.
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