Depuis hier nuit, une attaque des rebelles coordonnée par la licorne et l’Onuci a été lancée sur la résidence du président à Cocody et le palais présidentiel, espérant mettre la main sur lui et annihiler la volonté de nos FDS à’’ nettoyer’’ tout le pays de ses ‘’visiteurs’’ indésirables. Dans le même temps, des attaques ont été lancées sur les camps d'Agban et d'Akouedo. Les chaines de télévision internationales font l’éloge des rebelles qui auraient lancés ces attaques contre les points névralgiques du régime ivoirien. Ces médias à la solde du diable tentent de faire croire en la capitulation prochaine du régime. A la réalité, les faits ne sont pas comme décrits par les médias occidentaux. Dans les environs du palais la Garde Républicaine aidée par des commandos gendarmes et marins restés fidèles au président Laurent Gbagbo se battent héroïquement face à des adversaires supérieur en nombre et en armement. Cette poigné de soldats loyale à la Côte d'Ivoire et à son président avec pour seule arme sa foi et sa détermination fait subir d’énormes pertes aux rebelles. Ce sont les chars de l’Onu ci qui "rapatrient" les corps des rebelles et se sont ces mêmes forces qui convoient et viennent déposer d’autres rebelles tout en les dotant d’armes et de munitions. Signalons aussi que profitant de la nuit, les forces de l'ONUci et de la licorne ont combattu aux coté des rebelles. Malgré cela, il n'ont pu venir à bout de nos soldats. Le jour s'étant levé, ils ont replié pour ne pas être reconnu. A agban et à Akouedo contrairement aux ralliements annoncé, les FDS se battent pour défendre leur camp. Ces deux camps sont toujours contrôlés par les soldats loyaux au président de la république. Ivoirien, Ivoirienne!!! Reconnaissons la main de Dieu car comment une poigné de soldat à pu tenir devant toute cette armada. Louez Dieu et prier pour nos soldats loyaux car la délivrance est proche. Dieu a fait son tri. il a extirpé tous les traites de notre armée et maintenant et il va bientôt entrer en Jeu. |
source : abidjandirect. |
vendredi 1 avril 2011
Le point réel de la situation à Abidjan
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