vendredi 20 mai 2011 par ,
André Mba Obame, ancien candidat à la présidentielle de 2009 au Gabon (DR)(AfriSCOOP Libreville) — L’ex-Secrétaire Exécutif de l’ancien parti politique de l’opposition gabonaise Union Nationale (UN), André Mba Obame a refusé de se présenter au commissariat militaire du B2 (services de renseignements gabonais) pour affaire le concernant après s’être autoproclamé président de la République et perdu son immunité parlementaire, a constaté AfriScoop à Libreville.
L’ancien transfuge du Parti démocratique gabonais (Pdg, au pouvoir) a pris soin de rester chez lui, en confiant a AfriScoop, par l’intermédiaire d’un de ces proches qu’il a posé un acte politique qui requiert une solution politique.
« Mba Obame avait déjà tout dit lors de son audition à l’Assemblée Nationale en prélude à la levée de son immunité parlementaire en début mai et ne comprend pas pourquoi la justice le convoque. Il a posé un acte politique et se doit d’être jugé politiquement et judiciairement », à indiqué à AfriScoop un de ses proche, par ailleurs homme de Dieu.
Les forces de l’ordre ont sécurisé le périmètre voisinant le B2 du rond point d’Awendjé dans le 4ème arrondissement de la Capitale et aux feux tricolores d’Akebé, a-t-on constaté. Ainsi, on pouvait clairement voir des escadrons de bérets rouge et bleu armés et dont la mission était d’intimider les manifestants si manifestants il y avaient.
L’opposant s’est entouré de ses militants pour assurer sa sécurité en montant la garde 24h sur 24 autour de la maison. Ainsi ces jeunes étudiants pour la plus part, passent le temps devant la maison de l’homme politique, a constaté un journaliste d’AfriScoop.
Prétextant que sa victoire électorale avait été volée par le candidat du parti au pouvoir Ali Bongo Ondimba, M. Mba Obame a prêté serment le 25 janvier dernier en qualité de chef de l’Etat au siège de son parti.
Il avait ensuite formé un gouvernement avant de se réfugier au siège du PNUD où il est resté cloîtré plus d’un mois. L’Union nationale, parti politique dont Mba Obame était secrétaire exécutif a été dissout par le gouvernement d’Ali Bongo.
L’immunité parlementaire de Mba Obame , accusé de haute trahison et de tentative de déstabilisation des institutions, a été levée par l’Assemblée nationale début mai, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires.
L’ancien transfuge du Parti démocratique gabonais (Pdg, au pouvoir) a pris soin de rester chez lui, en confiant a AfriScoop, par l’intermédiaire d’un de ces proches qu’il a posé un acte politique qui requiert une solution politique.
« Mba Obame avait déjà tout dit lors de son audition à l’Assemblée Nationale en prélude à la levée de son immunité parlementaire en début mai et ne comprend pas pourquoi la justice le convoque. Il a posé un acte politique et se doit d’être jugé politiquement et judiciairement », à indiqué à AfriScoop un de ses proche, par ailleurs homme de Dieu.
Les forces de l’ordre ont sécurisé le périmètre voisinant le B2 du rond point d’Awendjé dans le 4ème arrondissement de la Capitale et aux feux tricolores d’Akebé, a-t-on constaté. Ainsi, on pouvait clairement voir des escadrons de bérets rouge et bleu armés et dont la mission était d’intimider les manifestants si manifestants il y avaient.
L’opposant s’est entouré de ses militants pour assurer sa sécurité en montant la garde 24h sur 24 autour de la maison. Ainsi ces jeunes étudiants pour la plus part, passent le temps devant la maison de l’homme politique, a constaté un journaliste d’AfriScoop.
Prétextant que sa victoire électorale avait été volée par le candidat du parti au pouvoir Ali Bongo Ondimba, M. Mba Obame a prêté serment le 25 janvier dernier en qualité de chef de l’Etat au siège de son parti.
Il avait ensuite formé un gouvernement avant de se réfugier au siège du PNUD où il est resté cloîtré plus d’un mois. L’Union nationale, parti politique dont Mba Obame était secrétaire exécutif a été dissout par le gouvernement d’Ali Bongo.
L’immunité parlementaire de Mba Obame , accusé de haute trahison et de tentative de déstabilisation des institutions, a été levée par l’Assemblée nationale début mai, ouvrant la voie à des poursuites judiciaires.
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