26/09/2012
Paul KAGAME et Joseph KABILA
Disposant des informations sur les intentions de Paul Kagame de vouloir renverser le gouvernement de Kinshasa, J. Kabila veut anticiper « lancer l’action en premier ».
Il a en effet compris « que plus rien ne sera comme avant entre lui et son parrain » d’où la meilleure défense serait une bonne offensive.
La situation se gâte de plus en plus dans les relations RDC-Rwanda. Dernièrement plusieurs congolais œuvrant à Kigali ont été expulsés sans aucune autre forme de procès. Que craint Paul Kagame ?
D’après un cadre de l’EUSEC, le successeur de Mzee en République Démocratique du Congo veut devenir « seul maître à bord ».
Ainsi, le sort des congolais risque d’être totalement précarisé à cause de l’inextinguible soif de pouvoir des certains dirigeants africains.
Disposant des informations sur les intentions de Paul Kagame de vouloir renverser le gouvernement de Kinshasa, J. Kabila veut anticiper « lancer l’action en premier ».
Il a en effet compris « que plus rien ne sera comme avant entre lui et son parrain » d’où la meilleure défense serait une bonne offensive.
Comme Kagame, J. Kabila a aussi l’avantage d’avoir ses frères tutsis même dans la cour du Président Rwandais.
Et si les Rwandais ont cette facilité, d’attaquer n’importe quand, n’importe où et par n’importe quelle technique. Les congolais en peuvent aussi par le biais de leurs frères tutsis pro-Kinshasa.
Le gouvernement congolais se rend compte qu’il est en réalité la force motrice de Paul Kagame, longtemps considéré par les bailleurs de fonds comme architecte du Rwanda.
Sans les richesses minières que recèle, le sous sol congolais (cobalt, étain, or, coltan…), l’ordre social et politique qui règne à Kigali et les aspirations de Kagame à faire du Rwanda le Singapour d’ici 2020 ne seront que vanité et poursuite du vent.
Face à Paul Kagame, J. Kabila a un atout : « LE CONGO », la gigantesque richesse de la RDC peut fléchir les princes de ce monde. Le Raïs veut en profiter, essayer d’isoler le Rwanda, ensuite dresser les principaux partenaires contre les dirigeants Rwandais.
Le gouvernement de Kinshasa a compris que sur le plan interne, Paul Kagame a en grande partie perdu son aura d’invincibilité, ses opposants toujours plus nombreux, travaillent déjà dans des perspectives des son alternance. D’où il faut battre le fer quand il est chaud.
Ayant tissé des liens avec plusieurs officiers Rwandais, J. Kabila se prépare en conséquence, tenter d’abord d’affaiblir le Rwanda en le neutralisant dans des bourses minières et ensuite chercher des mécanismes de renverser le pouvoir de Kigali.
Les pays de CIRGL et SADC sont d’avis qu’il faut rétablir le plus vite possible la cohésion régionale dans les grands lacs pour une meilleure stabilité et l’ordre politique en Afrique.
Joseph Kabila ayant le grand joker, "le sous sol congolais" veut définir les principes et le contour du jeu sur terrain.
Pour y arriver, il pense avoir dans les prochains mois une armée dissuasive en complicité avec la Russie, Chine et autres puissances occidentales. Une vaste campagne (malgré le faible résultat) de recrutement a été lancée.
Un budget consistant et autres moyens financiers seront mis à la défense nationale pour l’achat d’armes et autres équipements militaires.
Des groupes armés tant étrangers que locaux se coaliseront aux FARDC, les officiers recyclés et seront affectés dans des bases militaires qui seront créées le long de la frontière avec le Rwanda.
Yves Kongolo© KongoTimes
Paul KAGAME et Joseph KABILA
Disposant des informations sur les intentions de Paul Kagame de vouloir renverser le gouvernement de Kinshasa, J. Kabila veut anticiper « lancer l’action en premier ».
Il a en effet compris « que plus rien ne sera comme avant entre lui et son parrain » d’où la meilleure défense serait une bonne offensive.
La situation se gâte de plus en plus dans les relations RDC-Rwanda. Dernièrement plusieurs congolais œuvrant à Kigali ont été expulsés sans aucune autre forme de procès. Que craint Paul Kagame ?
D’après un cadre de l’EUSEC, le successeur de Mzee en République Démocratique du Congo veut devenir « seul maître à bord ».
Ainsi, le sort des congolais risque d’être totalement précarisé à cause de l’inextinguible soif de pouvoir des certains dirigeants africains.
Disposant des informations sur les intentions de Paul Kagame de vouloir renverser le gouvernement de Kinshasa, J. Kabila veut anticiper « lancer l’action en premier ».
Il a en effet compris « que plus rien ne sera comme avant entre lui et son parrain » d’où la meilleure défense serait une bonne offensive.
Comme Kagame, J. Kabila a aussi l’avantage d’avoir ses frères tutsis même dans la cour du Président Rwandais.
Et si les Rwandais ont cette facilité, d’attaquer n’importe quand, n’importe où et par n’importe quelle technique. Les congolais en peuvent aussi par le biais de leurs frères tutsis pro-Kinshasa.
Le gouvernement congolais se rend compte qu’il est en réalité la force motrice de Paul Kagame, longtemps considéré par les bailleurs de fonds comme architecte du Rwanda.
Sans les richesses minières que recèle, le sous sol congolais (cobalt, étain, or, coltan…), l’ordre social et politique qui règne à Kigali et les aspirations de Kagame à faire du Rwanda le Singapour d’ici 2020 ne seront que vanité et poursuite du vent.
Face à Paul Kagame, J. Kabila a un atout : « LE CONGO », la gigantesque richesse de la RDC peut fléchir les princes de ce monde. Le Raïs veut en profiter, essayer d’isoler le Rwanda, ensuite dresser les principaux partenaires contre les dirigeants Rwandais.
Le gouvernement de Kinshasa a compris que sur le plan interne, Paul Kagame a en grande partie perdu son aura d’invincibilité, ses opposants toujours plus nombreux, travaillent déjà dans des perspectives des son alternance. D’où il faut battre le fer quand il est chaud.
Ayant tissé des liens avec plusieurs officiers Rwandais, J. Kabila se prépare en conséquence, tenter d’abord d’affaiblir le Rwanda en le neutralisant dans des bourses minières et ensuite chercher des mécanismes de renverser le pouvoir de Kigali.
Les pays de CIRGL et SADC sont d’avis qu’il faut rétablir le plus vite possible la cohésion régionale dans les grands lacs pour une meilleure stabilité et l’ordre politique en Afrique.
Joseph Kabila ayant le grand joker, "le sous sol congolais" veut définir les principes et le contour du jeu sur terrain.
Pour y arriver, il pense avoir dans les prochains mois une armée dissuasive en complicité avec la Russie, Chine et autres puissances occidentales. Une vaste campagne (malgré le faible résultat) de recrutement a été lancée.
Un budget consistant et autres moyens financiers seront mis à la défense nationale pour l’achat d’armes et autres équipements militaires.
Des groupes armés tant étrangers que locaux se coaliseront aux FARDC, les officiers recyclés et seront affectés dans des bases militaires qui seront créées le long de la frontière avec le Rwanda.
Yves Kongolo© KongoTimes
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