dimanche 27 octobre 2013

CPI. Des arguments farfelus pour maintenir Gbagbo en prison

Comment refuser, d’accorder la liberté provisoire au Président Gbagbo sous le fallacieux prétexte qu’il s’enfuirait comme cet "athlète" toujours prêt à sauter les murs à la moindre pétarade? 

Quelle action le Président-patriote a-t-il posé pour permettre à ces magistrats de tenir de tels propos qui sont plutôt une insulte à l’endroit du Woody de Mama?



A analyser les arguments avancés par les juges et les Procureurs de la CPI pour continuer de garder injustement le Président Gbagbo en prison, l’on se rend, très vite, compte que cette cour n’est aucunement une cour de justice mais, pire, que ses magistrats ne sont que des instruments manipulés par des puissances occultes, les impérialistes occidentaux. 


De plus, on s’interroge sur la formation que ceux-ci ont reçue et sur leur niveau d’honnêteté intellectuelle.

En effet, entendre de la bouche d’un magistrat justifier le maintien en prison d’un prévenu, une personne présumée innocente, par des arguments fallacieux est simplement révoltant. Surtout, quand il s’agit de magistrats supposés être des modèles pour leurs collègues du monde et particulièrement des pays sous développés.

Comment refuser, d’accorder la liberté provisoire au Président Gbagbo sous le fallacieux prétexte qu’il s’enfuirait comme cet "athlète" toujours prêt à sauter les murs à la moindre pétarade? 


Quelle action le Président-patriote a-t-il posé pour permettre à ces magistrats de tenir de tels propos qui sont plutôt une insulte à l’endroit du Woody de Mama? 

Voilà quelqu’un qui est resté dans sa résidence malgré les bombes et les missiles français et qui s’enfuirait pour échapper à la CPI. On comprend aisément que ce mensonge a pour objet de maintenir inutilement cet homme en prison. 

Gbagbo profiterait, selon ces juges de sa mise en liberté pour s’évader et préparer la reconquête du pouvoir. On comprend alors aisément que le problème de ces magistrats est d’éviter à Gbagbo de revenir diriger à nouveau la Côte d’Ivoire; leur rôle devient alors très politique c’est à dire aucunement judiciaire.

Il s’agit donc pour eux, d’obéir à leurs mandants occidentaux qui ont chassé Gbagbo du pouvoir et qui ne voudraient plus voir cet autonomiste, attaché aux intérêts de son pays, reprendre le pouvoir. 


C’est pourquoi les juges de la CPI l’accusent de disposer d’un réseau de relations susceptibles de l’aider à échapper à la Cour Politique de l’Injustice (CPI). 

Quoi de plus normal que de disposer d’un réseau de relations quand on sait que pendant 10 ans Gbagbo a gouverné ce pays et a tissé des relations, dénuées de toute soumission, avec tous les dirigeants du monde et de l’Afrique en particulier.

La crainte de ces occidentaux, c’est de voir se répéter ce que eux mêmes ont fait pour pouvoir chasser Gbagbo du pouvoir; à savoir imposer à un membre du réseau de la Françafrique (hier Compaoré contre la Côte d’Ivoire) de former une rébellion pour attaquer la Côte d’Ivoire. 


C’est pourquoi, ces magistrats peuvent craindre que cet autre pays voisin de la Côte d’Ivoire, le Ghana, puisse aider les Pro-Gbagbo à chasser leur larbin du pouvoir. 

Il est bon de savoir que ces exilés ivoiriens du Ghana, comme d’autres ailleurs, ne vivent que de charité et du soutien du HCR, et ne peuvent par conséquent financer une probable rébellion. C’est se moquer de ces dignes patriotes ivoiriens que de leur attribuer des intentions criminelles.

Comment Gbagbo pourrait se soustraire aux drônes et autres engins de destruction sophistiqués dont dispose cette coalition diabolique?

Ensuite, un autre argument avancé récemment, est celui de la possession d’autres comptes bancaires par Gbagbo, naguère déclaré indigent par cette même cour. Il s’agit là encore de semer dans l’opinion publique que Gbagbo est un menteur, qu’il a dilapidé les ressources publiques dont il se servirait pour lever une rébellion contre les intérêts des occidentaux en Côte d’Ivoire.

Et pourtant, tous les comptes de Gbagbo et de ses collaborateurs ont été bloqués par Ouattara qui n’a pas respecté la constitution en ne déclarant pas, après sa prise de pouvoir, ses biens et ses nombreux comptes dispersés dans plusieurs paradis fiscaux. 


A en croire les juges de la CPI, les comptes du couple Gbagbo ouverts à Abidjan ont été vidés au profit des exilés au Ghana. Comment des comptes bloqués sur injonction des impérialistes peuvent-ils être actionnés par des exilés? 

Mensonges et utilisation frauduleuse des avoirs de Gbagbo par ces affairistes notoires!

C’est cet homme là, abonné aux surfacturations et aux marchés de gré à gré qui accuse le Président-Patriote Gbagbo de détournement de deniers publics.

La libération annoncée de Gbagbo est considérée comme un danger pour les soi-disant victimes. Pourtant le rôle d’un gouvernement est de protéger ses citoyens. Si Gbagbo, par extraordinaire, présentait un danger pour les victimes ivoiriennes, il incombe au pouvoir de protéger les populations. 


Et pourtant, depuis le 11 Avril 2011, dans tous les villages et hameaux de Côte d’Ivoire se trouvent les dozos de Ouattara qui ne font que tuer les populations ivoiriennes, et cela dans le silence de ces néo colonialistes.

Si Gbagbo était un adepte de la violence, Il aurait par la force chassé cette rébellion de 2002. 


Il a, au contraire, choisi la voie du dialogue. Il a, en outre, refusé de mettre en prison des journalistes, en réalité des rebelles, tenant d’une main la Kalachnikov et de l’autre la plume, qui étaient une menace pour les populations ivoiriennes. 

Il est vrai que, les campagnes de dénigrements systématiques orchestrées par les commanditaires de la rébellion de 2002 l’ont toujours fait passer pour un dictateur. 


C’est pourquoi Doudou Diène, un autre nègre au service des impérialistes, peut pérorer sans honte que la CI sort de 10ans de règne de non droit. Oh honte à ce vendu comme Kofi Annan! 

D’ailleurs, cela se comprend car il fut un des pions utilisés par les occidentaux pour diffamer Gbagbo. S’il avait un peu d’honneur, il reconnaitrait la justice à sens unique des bénéficiaires de la guerre de la France exercée par son ami Ouattara.

A la vérité, Gbagbo est maintenu en prison parce qu’il n’est pas franc-maçon. Il a toujours refusé d’adhérer à cette secte diabolique, adepte de la duplicité, du mensonge, du faux et de la méchanceté. 


Pour les membres de cette secte pernicieuse, tout est permis pour atteindre les objectifs par tous les moyens. C’est pourquoi, pendant que Gbagbo prône l’accession au pouvoir par la voie des urnes, ces disciples maçonniques ont préféré depuis 2002 la voie de la force, de la guerre pour arracher le pouvoir. 

Nombreux sont les crimes perpétrés par les francs-maçons, Chirac, Sarkozy, Ouattara et ses criminels dozos fétichistes ainsi que sa bande de suiveurs de la même secte: les tueries massives de 2004 sur les deux ponts d’Abidjan et à l’Hôtel Ivoire; celles de 2010 à la résidence officielle du Président Gbagbo; ce sont ainsi des milliers d’ivoiriens qui ont été lâchement assassinés par les adeptes de cette secte pour imposer leur homme aux ivoiriens.

Parvenus au pouvoir par les bombes et missiles, les animateurs du régime actuel continuent de traquer des opposants politiques et de jeunes ivoiriens pour les torturer avant de les jeter en prison et parfois même de les tuer. 


C’est par la méchanceté enseignée par cette puissance diabolique que se perpétuent les exactions, les enlèvements, le blocage des comptes pour conduire à la mort plusieurs pro-Gbagbo, bref, la martyrisasion des opposants aux francs-maçons parvenus violemment au pouvoir avec le concours des étrangers, contre le gré des ivoiriens.

C’est aussi, pour éviter que d’autres pays africains n’adhèrent à cette politique autonomiste expérimentée avec succès par ce Président-Patriote que la France a utilisé le mensonge, la violence, le crime pour perpétrer le plus long coup d’état que le monde ait connu (10 ans). 


L’objectif de la France a toujours été d’éviter l’effet de contagion pour une prise de conscience plus forte des grandes potentialités des pays africains à qui il faut simplement plus d’intégrité pour accéder au développement.

Une autre raison de maintenir Gbagbo à la Haye est son intégrité. 


Les pays occidentaux ont toujours utilisé la corruption comme instrument de chantage contre les leaders de l’Afrique. Ils préfèrent ainsi avoir à la tête de leurs anciennes colonies des hommes-liges, corrompus, impopulaires, dociles face aux pillages des richesses africaines.

Il est bon de retenir que le maintien de Gbagbo à la Haye n’a que pour seul objet, la satisfaction des intérêts des occidentaux.

Au total, aucun alibi utilisé par ces juges véreux ne justifie le maintien de Gbagbo en prison. 


Le Président des ivoiriens doit être purement et simplement libéré pour retrouver les siens et surtout reprendre, n’en déplaise au CSVIO et à ses thuriféraires, le pouvoir pour le bonheur des ivoiriens et de l’Afrique.
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NANWOULET G. Simone 

Cameoonvoice

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