14/10/2013
Le centre-ville de Kigali, au Rwanda. (2006)
(CC)SteveRwanda/Wikipédia
Au Rwanda, la Commission des biens abandonnés de la ville de Kigali a ordonné que les loyers des enseignes du centre commercial UTC soient désormais versés sur son compte.
C'est ce qu'affirme le principal actionnaire de ce complexe, le riche homme d’affaires et ancien commissaire du Front patriotique rwandais Tribert Ayabatwa Rujugiro. Il est installé en Afrique du Sud et n'est plus retourné au Rwanda depuis 2009.
La Commission estime donc qu'il abandonne ses actions et que c'est à elle de les gérer, explique l'homme d'affaires. Il a déposé un recours administratif et projette d'amener l'affaire devant les tribunaux.
L’homme d’affaires rwandais Tribert Ayabatwa Rujugiro
J'ai l'impression que c'est une mesure qui ne concerne que moi car au Rwanda, il y a plusieurs sociétés dont les actionnaires vivent à l'étranger. Et ces sociétés n'ont pas été touchées. Si j'ai abandonné mes actions, je les ai abandonnées aux mains des gestionnaires.Donc l’État ne devrait pas s'en préoccuper.
Écouter (01:01)
_____________
Florence Morice
Le centre-ville de Kigali, au Rwanda. (2006)
(CC)SteveRwanda/Wikipédia
Au Rwanda, la Commission des biens abandonnés de la ville de Kigali a ordonné que les loyers des enseignes du centre commercial UTC soient désormais versés sur son compte.
C'est ce qu'affirme le principal actionnaire de ce complexe, le riche homme d’affaires et ancien commissaire du Front patriotique rwandais Tribert Ayabatwa Rujugiro. Il est installé en Afrique du Sud et n'est plus retourné au Rwanda depuis 2009.
La Commission estime donc qu'il abandonne ses actions et que c'est à elle de les gérer, explique l'homme d'affaires. Il a déposé un recours administratif et projette d'amener l'affaire devant les tribunaux.
L’homme d’affaires rwandais Tribert Ayabatwa Rujugiro
J'ai l'impression que c'est une mesure qui ne concerne que moi car au Rwanda, il y a plusieurs sociétés dont les actionnaires vivent à l'étranger. Et ces sociétés n'ont pas été touchées. Si j'ai abandonné mes actions, je les ai abandonnées aux mains des gestionnaires.Donc l’État ne devrait pas s'en préoccuper.
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Florence Morice
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