03/04/2011 à 18h05
La meurtrière ingérence des Etats occidentaux en Côte d’Ivoire
Alassane Ouattara, pantin désigné par la communauté internationale pour garder la Cote d’Ivoire sous contrôle occidental a lancé depuis quelques jours une vaste offensive à travers le pays afin de renverser le gouvernement populairement légitimé de Laurent Gbagbo.
Cette initiative soulève aujourd’hui nombre d’interrogations, en effet, encerclé depuis plusieurs semaines dans l’enceinte de l’hôtel du golf à Abidjan, sans aucun moyen et devant son salut à la seule protection apportée par l’ONUCI et la force LICORNE, le poulain mondialiste semble aujourd’hui disposer d’une force de frappe sortie de nul part et composée de bien peu d’éléments ivoiriens.
S’il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que ce renversement de situation est dû en intégralité aux ingérences illicites de l’ONU et de la France entre autres, encore une fois il apparait que le choix du système mondial s’est porté sur la défense de ses intérêts sans prendre en compte une seule seconde la destinée du peuple ivoirien. En effet, à peine les troupes du président soi-disant nommé lancées dans leur marche au pouvoir, les exactions se contaient par dizaines à travers le pays, pour une fois reconnues par les médias internationaux. En effet, on pouvait lire dans le Figaro notamment ce matin :
« L’ONG Caritas a confirmé dans la nuit de samedi à dimanche les soupçons de massacre dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, affirmant qu’un millier de personnes avaient été «tuées» ou étaient «portées disparues» entre dimanche et mardi dernier à Duékoué. Des révélations délicates pour le président reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara, accusé par la Mission de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci) d’être impliqué dans ces tueries. » (Information confirmée entre autres par la croix rouge.)
Une histoire qui se répète mais dont personne ne semble tirer de
leçons
6 mars 1998, la guerre du Kosovo éclate, les Alabanais (musulmans) présents au Kosovo (terre historique et appartenant à la Serbie chrétienne) se révoltent pour demander l’indépendance de leur province sous prétexte de leur grand nombre et de leur domination culturelle. Alors qu’une guerre civile éclate et que des milices indépendantes commettent des exactions dans chaque camp, l’Etat serbe dirigé par Slobodan Milošević (Слободан Милошевић) tente de rétablir l’unité et son contrôle territorial en engageant ses troupes dans la bataille. A grand coup de désinformation organisée autour de ce conflit et dénoncée à l’époque par nombre d’intellectuels comme Vladimir Volkoff et d’organisations souverainistes européennes, l’OTAN adresse un ultimatum le 13 octobre 1998 à l’Etat serbe pour le retrait de ses troupes et l’abandon de son territoire aux rebelles musulmans. Malgré les critiques d’associations de défense des droits de l’homme telles que Human Rights Watch et les menaces de véto de la part de pays tels que la Russie, c’est en 1999 que l’OTAN décide finalement de bombarder la Serbie afin d’obtenir la reddition de son gouvernement. Visant dans les premiers jours des cibles militaires, les bombardements atteindront très rapidement des chaines de télévision, des ponts et enfin des cibles civiles (hôpitaux, écoles etc…), faisant par là même des dizaines de milliers de victimes innocentes.
Ce triste épisode motivé par le rejet de principe opposé par Milosevic au système mondialiste défendu par les dirigeants de l’OTAN conduit donc à l’indépendance du Kosovo en 2008 et aux exactions permanentes commises sur cette terre contre la minorité serbe aujourd’hui parquée dans des enclaves.
Comme quoi tout le monde peut bien être le terroriste de chacun...
François-Xavier Gicquel
La meurtrière ingérence des Etats occidentaux en Côte d’Ivoire
Alassane Ouattara, pantin désigné par la communauté internationale pour garder la Cote d’Ivoire sous contrôle occidental a lancé depuis quelques jours une vaste offensive à travers le pays afin de renverser le gouvernement populairement légitimé de Laurent Gbagbo.
Cette initiative soulève aujourd’hui nombre d’interrogations, en effet, encerclé depuis plusieurs semaines dans l’enceinte de l’hôtel du golf à Abidjan, sans aucun moyen et devant son salut à la seule protection apportée par l’ONUCI et la force LICORNE, le poulain mondialiste semble aujourd’hui disposer d’une force de frappe sortie de nul part et composée de bien peu d’éléments ivoiriens.
S’il ne fait plus aucun doute aujourd’hui que ce renversement de situation est dû en intégralité aux ingérences illicites de l’ONU et de la France entre autres, encore une fois il apparait que le choix du système mondial s’est porté sur la défense de ses intérêts sans prendre en compte une seule seconde la destinée du peuple ivoirien. En effet, à peine les troupes du président soi-disant nommé lancées dans leur marche au pouvoir, les exactions se contaient par dizaines à travers le pays, pour une fois reconnues par les médias internationaux. En effet, on pouvait lire dans le Figaro notamment ce matin :
« L’ONG Caritas a confirmé dans la nuit de samedi à dimanche les soupçons de massacre dans l’ouest de la Côte d’Ivoire, affirmant qu’un millier de personnes avaient été «tuées» ou étaient «portées disparues» entre dimanche et mardi dernier à Duékoué. Des révélations délicates pour le président reconnu par la communauté internationale, Alassane Ouattara, accusé par la Mission de l’ONU en Côte d’Ivoire (Onuci) d’être impliqué dans ces tueries. » (Information confirmée entre autres par la croix rouge.)
Une histoire qui se répète mais dont personne ne semble tirer de
leçons
6 mars 1998, la guerre du Kosovo éclate, les Alabanais (musulmans) présents au Kosovo (terre historique et appartenant à la Serbie chrétienne) se révoltent pour demander l’indépendance de leur province sous prétexte de leur grand nombre et de leur domination culturelle. Alors qu’une guerre civile éclate et que des milices indépendantes commettent des exactions dans chaque camp, l’Etat serbe dirigé par Slobodan Milošević (Слободан Милошевић) tente de rétablir l’unité et son contrôle territorial en engageant ses troupes dans la bataille. A grand coup de désinformation organisée autour de ce conflit et dénoncée à l’époque par nombre d’intellectuels comme Vladimir Volkoff et d’organisations souverainistes européennes, l’OTAN adresse un ultimatum le 13 octobre 1998 à l’Etat serbe pour le retrait de ses troupes et l’abandon de son territoire aux rebelles musulmans. Malgré les critiques d’associations de défense des droits de l’homme telles que Human Rights Watch et les menaces de véto de la part de pays tels que la Russie, c’est en 1999 que l’OTAN décide finalement de bombarder la Serbie afin d’obtenir la reddition de son gouvernement. Visant dans les premiers jours des cibles militaires, les bombardements atteindront très rapidement des chaines de télévision, des ponts et enfin des cibles civiles (hôpitaux, écoles etc…), faisant par là même des dizaines de milliers de victimes innocentes.
Ce triste épisode motivé par le rejet de principe opposé par Milosevic au système mondialiste défendu par les dirigeants de l’OTAN conduit donc à l’indépendance du Kosovo en 2008 et aux exactions permanentes commises sur cette terre contre la minorité serbe aujourd’hui parquée dans des enclaves.
Comme quoi tout le monde peut bien être le terroriste de chacun...
François-Xavier Gicquel
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