dimanche 3 avril 2011

Les crimes de guerre des rebelles de Ouattara enfin dénoncés par les Nations Unies


Les crimes de guerre du chef rebelle Ouattara finalement dénoncés par les Nations Unies ... Mais timidement et très tardivement: 800 civils massacrés en 5 jours dans l'Ouest de la Cote d'Ivoire, les femmes enceintes violées et éventrées, des enfants mutilés.

Environ 100 mercenaires libériens recrutés par le chef des rebelles Alassane Ouattara ont arrêtés par les autorités du Libéria à la frontière Cote d'Ivoire et le Libéria par où ils retournaient dans leur pays après leur "mission" carnage en Cote d'Ivoire voisine.

Ces mercenaires font partie de la plus grande armée de la milice Ouattara indisciplinée et principalement constituée par des voyous du Burkina Faso, Mali, Sénégal et du Libéria, et que l'on craint pour ses méthodes brutales et ses crimes de guerre.
En 2002, des voyous du chef rebelle Ouattara ont massacré plus de 10.000 civils et mutilé, violé d'innombrables femmes, enfants et personnes agées. Depuis 2002, ces mercenaires ont été appelés par Ouattara à remplir un certain nombre de missions expurgatoires dans les parties Nord et Ouest de la Côte d'Ivoire, et chaque fois ils ont laissé des traces indélébiles de leur brutalité.

Avec l'intensification de la lutte politique de guerre entre le Président Gbagbo et le chef rebelle Ouattara A la suite de l'élection ivoirienne, l'homme bras-droit de Ouattara, Guillaume Soro, est retourné son carnet d'adresse et a renoué avec ses anciennes connaissances pour former une armée contre les Forces de défense et de sécuritéde Cote d'Ivoire.

Bien que l'Organisation des Nations Unies et de la communauté internationale aient été extrêmement réticents à condamner les crimes de guerre Ouattara et atteintes aux droits humains, le meurtre et les mauvais traitements de civils par les forces de Ouattara ont été si manifestement documenté (plus de 800 tués dans la ville de Duekoué en quelques jours seulement) que Rupert Colville, porte-parole du Bureau du Haut Commissaire aux droits de l'homme (HCDH), exprimé sa profonde préoccupation, obligeant le secréaire géneral Ban Ki-Moon à admettre un avertissement timide pour Ouattara et ses sbires, le 1er avril , 2011.

Source : TWNews

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