Lundi, 02 Janvier 2012
Le président national de l’APARECO, Honoré NGBANDA, a été interpellé lundi matin à 6 heures à son domicile parisien, par la police française dans le cadre d’une enquête au lendemain de l’agression de Léon KENGO, le président du sénat de la RDC, en gare du Nord par les « Combattants », affirme le site kongotimes.info.
Joint au téléphone par Direct.cd, le secrétaire général d’APARECO parle « d’aberration ».
Nous venons d’apprendre d’une source non vérifiable que, le président national de l’APARECO, Honoré NGBANDA, ancien chef de l’Agence Nationale des Renseignements et Conseiller de MOBUTU en matière de sécurité, a été interpellé lundi matin à 6 heures à son domicile parisien, par la police française dans le cadre d’une enquête au lendemain de l’agression de Léon KENGO, le président du sénat de la RDC, en gare du Nord par les « Combattants ». NGBANDA doit être amené dans le bureau d’un juge parisien, confirme le site congolais basé à l’étranger
« Nous avons tenté sans succès de joindre le secrétaire général de l’APARECO, pour avoir les détails sur l’interpellation du président national de son parti à Paris. Joignable d’habitude, mais sauf qu’aujourd’hui, son téléphone est fermé ou en dehors du périmètre de couverture du réseau », ajoute le site kongotimes.info d’un ton moqueur.
Joint au téléphone par Direct.cd, le secrétaire général d’APARECO parle d’aberration, affirmant que M. Ngbanda « vit librement et n’a en aucun moment été interpellé par qui que c’est soit ». M. Shungu affirme également que « les jeunes qui ont mené cette action (agression de M. Kengo) n’ont rien à avoir, ni de prêt ni de loin, avec l’APERECO ».
Léon Kengo wa Dondo, 76 ans, a été agressé en gare du Nord par les bandes de ceux qui s’appellent les +combattants+ proches d’Etienne Tshisekedi, a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement Lambert Mende, faisant référence aux partisans de l’opposant qui s’est autoproclamé président élu de RDC après le scrutin contesté du 28 novembre.
Selon les premières informations de Kinshasa, M. Kengo aurait eu des dents arrachées, il a été piétiné, roulé à terre et a été hospitalisé près de la gare du Nord, dans le nord de Paris.
Selon une source proche de l’enquête à Paris, M. Kengo est arrivé incognito en train depuis Bruxelles à Paris, gare du Nord à 18H00 (17H00 GMT), où une voiture avec un chauffeur l’attendait. C’est alors qu’il pénétrait dans cette voiture qu’il a été frappé par des hommes pouvant être des compatriotes.
La voiture, avec à bord M. Kengo, a pu démarrer, mais a été bloquée dans des embouteillages et à nouveau cernée. La police, appelée, est intervenue pour mettre fin à l’agression. Le chauffeur a indiqué aux policiers qu’il allait conduire son passager blessé, notamment au visage, à l’hôpital Lariboisière, près de la gare, mais il est allé se faire soigner dans un autre hôpital, selon une source proche de l’enquête.
Nous protestons de la manière la plus ferme contre cette énième agression perpétrée en France au vu et au su des autorités françaises contre des officiels congolais, a ajouté M. Mende, également ministre de la Communication, en qualifiant l’attaque de M. Kengo de totalement inacceptable.
D’après lui, les agresseurs reprochaient à M. Kengo, leader de l’Union des forces du changement (UFC), arrivé quatrième (4,95%) de la présidentielle remportée par le sortant Joseph Kabila (48,95%), de n’avoir pas retiré sa candidature aux dernières élections, ce qui n’a pas permis à leur chef (M. Tshisekedi) d’être élu.
Il y a deux semaines, Lambert MENDE [porte-parole du gouvernement, ministre de la Communication et des médias] a été pris à partie, le 19 décembre 2011, par des Combattants de l’UDPS devant l’hôtel Marriott, où il résidait. L’un de ses gardes du corps a été blessé.
Le ministre a alors bénéficié d’une protection policière rapprochée et a changé d’hôtel.
Le président national de l’APARECO, Honoré NGBANDA, a été interpellé lundi matin à 6 heures à son domicile parisien, par la police française dans le cadre d’une enquête au lendemain de l’agression de Léon KENGO, le président du sénat de la RDC, en gare du Nord par les « Combattants », affirme le site kongotimes.info.
Joint au téléphone par Direct.cd, le secrétaire général d’APARECO parle « d’aberration ».
Nous venons d’apprendre d’une source non vérifiable que, le président national de l’APARECO, Honoré NGBANDA, ancien chef de l’Agence Nationale des Renseignements et Conseiller de MOBUTU en matière de sécurité, a été interpellé lundi matin à 6 heures à son domicile parisien, par la police française dans le cadre d’une enquête au lendemain de l’agression de Léon KENGO, le président du sénat de la RDC, en gare du Nord par les « Combattants ». NGBANDA doit être amené dans le bureau d’un juge parisien, confirme le site congolais basé à l’étranger
« Nous avons tenté sans succès de joindre le secrétaire général de l’APARECO, pour avoir les détails sur l’interpellation du président national de son parti à Paris. Joignable d’habitude, mais sauf qu’aujourd’hui, son téléphone est fermé ou en dehors du périmètre de couverture du réseau », ajoute le site kongotimes.info d’un ton moqueur.
Joint au téléphone par Direct.cd, le secrétaire général d’APARECO parle d’aberration, affirmant que M. Ngbanda « vit librement et n’a en aucun moment été interpellé par qui que c’est soit ». M. Shungu affirme également que « les jeunes qui ont mené cette action (agression de M. Kengo) n’ont rien à avoir, ni de prêt ni de loin, avec l’APERECO ».
Léon Kengo wa Dondo, 76 ans, a été agressé en gare du Nord par les bandes de ceux qui s’appellent les +combattants+ proches d’Etienne Tshisekedi, a déclaré à l’AFP le porte-parole du gouvernement Lambert Mende, faisant référence aux partisans de l’opposant qui s’est autoproclamé président élu de RDC après le scrutin contesté du 28 novembre.
Selon les premières informations de Kinshasa, M. Kengo aurait eu des dents arrachées, il a été piétiné, roulé à terre et a été hospitalisé près de la gare du Nord, dans le nord de Paris.
Selon une source proche de l’enquête à Paris, M. Kengo est arrivé incognito en train depuis Bruxelles à Paris, gare du Nord à 18H00 (17H00 GMT), où une voiture avec un chauffeur l’attendait. C’est alors qu’il pénétrait dans cette voiture qu’il a été frappé par des hommes pouvant être des compatriotes.
La voiture, avec à bord M. Kengo, a pu démarrer, mais a été bloquée dans des embouteillages et à nouveau cernée. La police, appelée, est intervenue pour mettre fin à l’agression. Le chauffeur a indiqué aux policiers qu’il allait conduire son passager blessé, notamment au visage, à l’hôpital Lariboisière, près de la gare, mais il est allé se faire soigner dans un autre hôpital, selon une source proche de l’enquête.
Nous protestons de la manière la plus ferme contre cette énième agression perpétrée en France au vu et au su des autorités françaises contre des officiels congolais, a ajouté M. Mende, également ministre de la Communication, en qualifiant l’attaque de M. Kengo de totalement inacceptable.
D’après lui, les agresseurs reprochaient à M. Kengo, leader de l’Union des forces du changement (UFC), arrivé quatrième (4,95%) de la présidentielle remportée par le sortant Joseph Kabila (48,95%), de n’avoir pas retiré sa candidature aux dernières élections, ce qui n’a pas permis à leur chef (M. Tshisekedi) d’être élu.
Il y a deux semaines, Lambert MENDE [porte-parole du gouvernement, ministre de la Communication et des médias] a été pris à partie, le 19 décembre 2011, par des Combattants de l’UDPS devant l’hôtel Marriott, où il résidait. L’un de ses gardes du corps a été blessé.
Le ministre a alors bénéficié d’une protection policière rapprochée et a changé d’hôtel.
L'APARECO dément toute interpellation de Ngbanda par la police française. Cette scoop de Kongotimes est une intox. A quel jeu joue donc ce Kongotimes qui se vante d'être à l'heure dans l'information?
RépondreSupprimer