25 décembre, 2013
Il y a très peu de Congolais qui savent que, ce que l’on réalise à travers Tsourou, est identique à l’étrange pluie de mensonge qu’à connu le Capitaine Pierre Anga, sans les autres fausses accusations qu’on a porté envers des personnes innocentes dans l’assassinat de Marien Ngouabi.
La stratégie est la même, c’est l’art du tyran, qui sait si bien rendre laid ses anciens bons élèves qui ne veulent plus fermer les yeux devant ses plaies et ses ratures de la vérité.
Les mauvais ne connaissent que reproduire leur méchanceté dans l’histoire sur ceux qui veulent cracher la vérité sur leur temps de mort; car pour les méchants ceux qui hier les ont servit, s’ils épousent actuellement la vérité, ces gens-là ne deviennent plus la bienvenue, ils sont presque vu comme des rats qu’on doit écraser.
Le Capitaine Pierre ANGA disait: « Dans ce pays Dénis Sassou Nguesso est entrain de mentir les Congolais en disant des faussetés sur des gens qui lui sont gênants, afin de mieux éteindre le bonheur des Congolais qui ont soif de la vérité. Il distribue sans mine de rien la mort aux gens qui veulent mieux écrire les chapitres de l’histoire de notre patrie. »
Dans un pays où les chiens mangent les chiens. Chacun venge ses siens. Dans un pays où la liberté est un dessin, le militaire n’est plus bien pour des bons liens. Il va préférer marcher sur les chemins où il y a les schémas obscurs, afin que le peuple soit dans un cauchemars, mais que son fatum soit bon et refuse le pardon.
La rage d’un méchant est comme l’orage. L’humain qui a perdu l’amour n’est qu’un animal qui n’est pas sage.
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L’arbre À Palabres
Il y a très peu de Congolais qui savent que, ce que l’on réalise à travers Tsourou, est identique à l’étrange pluie de mensonge qu’à connu le Capitaine Pierre Anga, sans les autres fausses accusations qu’on a porté envers des personnes innocentes dans l’assassinat de Marien Ngouabi.
La stratégie est la même, c’est l’art du tyran, qui sait si bien rendre laid ses anciens bons élèves qui ne veulent plus fermer les yeux devant ses plaies et ses ratures de la vérité.
Les mauvais ne connaissent que reproduire leur méchanceté dans l’histoire sur ceux qui veulent cracher la vérité sur leur temps de mort; car pour les méchants ceux qui hier les ont servit, s’ils épousent actuellement la vérité, ces gens-là ne deviennent plus la bienvenue, ils sont presque vu comme des rats qu’on doit écraser.
Le Capitaine Pierre ANGA disait: « Dans ce pays Dénis Sassou Nguesso est entrain de mentir les Congolais en disant des faussetés sur des gens qui lui sont gênants, afin de mieux éteindre le bonheur des Congolais qui ont soif de la vérité. Il distribue sans mine de rien la mort aux gens qui veulent mieux écrire les chapitres de l’histoire de notre patrie. »
Dans un pays où les chiens mangent les chiens. Chacun venge ses siens. Dans un pays où la liberté est un dessin, le militaire n’est plus bien pour des bons liens. Il va préférer marcher sur les chemins où il y a les schémas obscurs, afin que le peuple soit dans un cauchemars, mais que son fatum soit bon et refuse le pardon.
La rage d’un méchant est comme l’orage. L’humain qui a perdu l’amour n’est qu’un animal qui n’est pas sage.
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L’arbre À Palabres
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