mercredi 31 décembre 2014

Imposteurs abracadabrantesques: Alias Joseph Kabila est-il le seul ? Ailleurs une fois découvert, les imposteurs sont capturés,

30 décembre 2014

"Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traites n'est pas victime mais complice" George Orwell. 

Le peuple congolais est-il vraiment complice d'alias Joseph Kabila, l'imposteur qui règne par défi au Congo-Kinshasa ? 

L'élite ventripotente, mangeriste et mangercrate a vendu le Congo ! 

Comment accepte-on qu'un incapacitaire, aphone, indécis, sans vision claire qui balbutie la langue de Molière puisse diriger le plus grand pays francophone du continent ? 

Nous n'avons rien avoir avec son inefficace régime d'imposture, d'occupation en RDC, nous ne reconnaissons à alias Joseph Kabila qu'un droit qu'il se livre à la justice pour son imposture, sa forfaiture et haute trahison à la nation congolaise.


alias Joseph Kabila, l'imposteur qui trône en République démocratique du Congo depuis 14 ans. Photo Réveil FM international, archives

Le pouvoir a toujours gâté les "petits" et améliore les "grands" ! Alias Joseph Kabila est un psychopathe, une caricature de chef d'Etat, un Kadogo arrivé en République démocratique du Congo avec des bottes de jardinier et une kalachnikov en bandoulière, grâce à Louis Michel "Big Loulou" et la mafia internationale, il a été catapulté sur le trône du Congo. 

Rocambolesque, l'OVNI venu de nulle part a été placé à la tête de la République démocratique du Congo pour mieux piller ses richesses, humilier sa population et désorienter les Congolais pour mieux affaiblir ce pays et le balkaniser par la suite. 14 ans après son imposture, l'incapacitaire de Kingakati est aveuglé par les coups d’encensoir des thuriféraires, griots, flagorneurs, "Djaleloïstes" et autres pique-assiettes qui gravitent autour de lui. 

Des Dinosaures Mobutistes mués en Mammouths Joséphistes qui n'ont qu'un seul schémas, faire d'alias Joseph Kabila, ce qu'ils avaient fait avec le Maréchal-dictateur Mobutu Sese Seko.


Kinshasa, alias Joseph Kabila écoutant les injonctions de son mentor et protecteur Louis Michel "Big Loulou". Photo Réveil FM International, archives


Kinshasa, alias Joseph Kabila s'expliquant devant son mentor et protecteur Louis Michel "Big Loulou". Photo Réveil FM International, archives

Alias Joseph Kabila, l'incapacitaire de Kingakati est incapable d’assurer la défense du territoire national face à des milices et des bandes armées manipulées par des acteurs internes et externes. 

Alias Joseph Kabila et sa bande des mafieux sont incapables de donner à nos populations un minimum civilisationnel: l'eau ne coule pas dans les robinets de congolais sauf des apparatchiks, les congolais se nourrissent par intermittence, le délestage électrique est imposé aux petits peuples, les hôpitaux et centres de santé sont des mouroirs, les enfants de fonctionnaires sont chassés des écoles pour non-paiement des frais scolaires, les veuves de militaires morts au front sont délaissées, chassées de camps militaires, les diplômes congolais ne sont pas reconnus ailleurs tellement le niveau a baissé, les arrestations arbitraires et inopportunes pleuvent sur des paisibles citoyens, des activistes des droits de l'homme et journalistes sont assassinés sans procès, les frontières de l'Est de la RDC sont devenues poreuses pire c'est alias Joseph Kabila qui invite la soldatesque rwandaise pour entre au Congo pour piller, violer, assassiner, massacrer, l'ANR-la Gestapo des joséphistes s'illustrent dans les exécutions sommaires et extrajudiciaires.



Alias "Kabila dégage !", slogan fédérateur des congolais


Alias "Kabila criminel!"


"Kabila dégage" ! "Kabila dégage" !


GO! GO! GO! Kabila Must GOOOOO!


"Kabila dégage" ! "Kabila dégage" !


"Kabila dégage" ! "Kabila dégage" !


100% Zaza ! "Kabila dégage" ! "Kabila dégage" !

Ils ont volé la place de quelqu'un d'autre, ont falsifié leur identité, escroqué des gens trop crédules. Découvrez l'incroyable parcours de ces charlatans, des imposteurs les plus gonflés. 

Ca paraît trop gros pour être vrai, pourtant certains dissimulateurs sont parvenus à escroquer leur monde en inventant ou en volant leur identité. 

Voici les petites histoires qui illustrent les aventures abracadabrantes des mythomanes qui ont marqué l'histoire. Pour découvrir le parcours des imposteurs les plus gonflés.

Othon Ier : le clown se proclama roi d'Albanie

Non, l'Albanie n'a jamais été dirigée par cet homme

Acrobate et clown, l'Allemand Otto Witte (1872-1958) était aussi un mythomane de grande classe. En 1913, l'Albanie déclara son indépendance de l'Empire ottoman. 

Selon son récit, Witte se trouvait alors à Budapest avec un ami avaleur de sabres. Lisant la nouvelle dans le journal, il aurait remarqué que le roi pressenti du nouvel Etat, un prince allemand, lui ressemblait beaucoup. Witte raconte alors avoir envoyé un télégramme à Tirana annonçant son arrivée. 

Sur place, il se serait glissé dans la peau du prince. Couronné en grande pompe sous le nom d'Othon Ier, il aurait déclaré la guerre au Monténégro et constitué un harem avant de prendre la fuite. 

L'histoire, fausse, fait pourtant la renommée de Witte : la police berlinoise l'autorisa même à l'inscrire son titre sur ses papiers d'identité. Aujourd'hui, sa tombe à Hamboug porte toujours l'inscription "Ehem. König V. Albanien" (Ancien roi d'Albanie).

Dimitri : il s'invente une lignée et devient tsar



Le tsar ne gardera le pouvoir qu'un an

1606. La Russie est plongée dans les troubles et la famine. Un jeune homme se présente auprès des nobles et des clercs orthodoxes. Il prétend être Dimitri, le fils du tsar Ivan le Terrible (1530-1584), qu'on pensait mort depuis 1591. 

En réalité, l'homme s'appelle Gregori Otrepiev et personne ne sait exactement d'où il vient. Lassés par l'instabilité politique et peu regardants sur la véritable lignée de Dimitri, les boyards (nobles) lui offrent une armée et le portent au pouvoir en déposant Fédor II. 

Mais très vite, l'ardeur réformatrice de cet homme glabre (à l'époque, c'est rare) déplaît, tout comme son mariage avec une noble polonaise et catholique. Les moscovites envahissent le Kremlin. 

Dimitri/Gregori est abattu après avoir sauté par la fenêtre. Ses cendres auraient été chargées dans un canon et tirées en direction de la Pologne. Deux autres "Faux Dimitri" tenteront de lui succéder.

Binjamin Wilkomirski : il se fait passer pour un survivant de l'Holocoste



L'homme n'a jamais été interné à Auschwitz

Cinquante ans après la fin de la Seconde guerre mondiale, un nouveau témoignage de l'horreur nazie apparait dans les librairies suisses. 

Dans l'ouvrage "Fragments", le clarinettiste Binjamin Wilkomirski raconte son enfance : sa naissance dans une famille juive en Lettonie, sa fuite en Pologne, les bébés qui se rongent les mains de faim, les atrocités d'Auschwitz, son adoption par un couple bourgeois de Zürich. 

L'ouvrage est salué par la critique pour son sens du détail, sa description de la barbarie et traduit en neuf langues. Mais trois ans plus tard, une journaliste parvient à démontrer que Binjamin Wilkomirski s'appelle en réalité Bruno Grosjean. 

Son histoire est tragique (il a été "acheté" par une famille rurale comme cela se pratiquait en Suisse) mais n'a rien à voir avec la Shoah. L'ouvrage est retiré de la vente en 1999.

Alan Conway : un Stanley Kubrick sans barbe et sans film


Le vrai Stanley Kubrick n'était pas friand de mondanités

Après avoir réalisé Shining et Full Metal Jacket dans les années 1980, le réalisateur Stanley Kubrick se retira dans la solitude de sa propriété anglaise. 

Pourtant, il apparut à de nombreuses reprises dans des dîners mondains à Londres, plaisantant avec les critiques de cinéma, proposant des rôles à des actrices, disant des banalités avec un accent américain. 

L'homme à table ne ressemblait pas à Kubrick, mais les invités mirent cela sur le compte d'une barbe fraîchement coupée et des ravages du temps. Il ne paya jamais repas et nuits d'hôtel. 

En réalité, l'homme était un certain Alan Conway (1934-1998), agent de voyage pas spécialement féru de cinéma. Ses victimes n'osèrent pas porter plainte et lorsqu'il eut vent de l'histoire peu avant sa mort, le vrai Kubrick la trouva tout à fait fascinante. 

En 2005, la vie de Conway est retracée dans le film "Colour Me Kubrick". Et c'est John Malkovich qui se fait passer pour l’imposteur.

Alias Joseph Kabila qui a menti au monde entier que M'zée Laurent Désiré Kabila était son père, pourtant depuis son assassinat au Palais de marbre, lui qui a usurpé le poste de Président de la République de la RDC, ne fait rien pour que la vérité éclate sur les vrais assassins de son père. 

Pourquoi les innocents doivent continuer à croupir à Makala 14 ans après sans jugement ? 

C'est à un Congolais de diriger le Congo, pas à un imposteur, usurpateur et traitre à la nation congolaise. 
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Freddy Mulongo

avec MEDIAPART

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