«Joseph KABILA» a désormais peur de ses gardes du corps congolais : Un bataillon mixte de rwandais et tanzaniens arrivé à Kinshasa pour assurer sa sécurité !
Depuis l’assassinat d’Armand Tungulu et la disparition mystérieuse (?) des militaires congolais qui faisaient partie de l’escorte présidentielle lors du caillassage, le climat est devenu morose autour de «Kabila». Nos sources bien informées confirment que les éléments congolais de la GR sont devenus très «nerveux» depuis la disparition de leurs compagnons d’armes. Surtout que cette disparition ne serait pas la première, précise-t-on. Quelqu’un de l’entourage de « Kabila » nous a confié qu’il y a de l’électricité dans l’air, et que tout peut arriver à tout moment. Le « raïs » très « tendu » aurait renoué avec ses pratiques des «remontants» (euphémisme!) pour ne pas dormir la nuit, par peur de se faire surprendre !
Pour prévenir le pire, «Kabila» a décidé, sur conseil et proposition de son mentor James Kabarebe lors de son dernier séjour à Kinshasa, d’écarter presque tous les militaires et officiers d’origine congolaise de sa ceinture de sécurité rapprochée, et de les remplacer par les éléments rwandais et tanzaniens issus d’un bataillon mixte qui a débarqué à l’aéroport de Ndjili à Kinshasa dans la nuit de mardi 19 à mercredi 20 octobre 2010. Dès son arrivée, ce bataillon d’étrangers fut conduit nuitamment à la ferme privée de «Joseph Kabila» à Kingakati (Menkao), sur la route de Bandundu à 80 KM de Kinshasa. Ces éléments étrangers sont lourdement suréquipés par rapport à leurs collègues congolais qui, eux, sont plutôt désarmés et impayés. Mais pour bien les camoufler, les gardes du corps rwandais et tanzaniens ont reçu la même nuit, des uniformes de la police congolaise et de la Garde Républicaine. Un handicap demeure cependant: ces militaires étrangers ne maîtrisent ni le français, ni le lingala, ni la géographie de la capitale. Il leur faut donc absolument quelques officiers congolais pour les guider!
Mais n’est-il pas temps pour certains congolais de se demander pourquoi ce chef de l’État qui se dit pourtant congolais ne se sent-il en sécurité que lorsqu’il est protégé par des rwandais et éventuellement des tanzaniens ? Les gardes du corps que « Kabila » vient d’assassiner une fois de plus n’ont pas eu le temps de répondre à cette question. Mais les policiers, les militaires congolais, gardes du corps et autres, ceux que « Kabila » désarment au profit d’éléments étrangers, ceux dont il entretient subtilement la misère en laissant détourner leurs soldes, ne devraient-ils pas se réveiller avant qu’il ne soit trop tard ? Comment peuvent-ils persister à travailler au service de ce rwandais ? Pour quel peuple et quelle nation ont-ils prêté serment ?
Quoiqu’on dise et quoiqu’on fasse, l’étau des patriotes congolais de tous les bords se resserrent irrémédiablement sur le dictateur rwandais «Joseph Kabila» qui croit à tort qu’en écartant les fils du pays de sa ceinture de protection rapprochée pour les remplacer par ses frères rwandais et en accumulant les cadavres des congolais, il aura résolu son problème et garanti sa sécurité. Quelle utopie ! Bozoba esala ngando… !
PAr Candide OKEKE
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