Les terroristes pro-Ouattara qui sévissent à Abobo (commune populaire au nord d’Abidjan) ont revendiqué, lundi dernier, l’enlèvement puis le meurtre d’Ali Khalil Fawaz, citoyen libanais, selon un communiqué de l’ambassade du Liban à Abidjan.
Cette revendication faite par mail, comporte entre autres des menaces à l’endroit des «ressortissants étrangers résidant en Côte d’Ivoire, et surtout la diaspora libanaise, accusée par la lettre de financer Gbagbo et ses hommes», rapporte le site libanais ilbounan.info.
«L’ambassade libanaise a informé le ministère des Affaires étrangères au Liban, ainsi que celui de la Côte d’Ivoire afin de lancer des investigations» au sujet de l’assassinat d’Ali Khalil Fawaz. Les responsables de la diaspora libanaise ont été mis au courant afin de prendre les mesures et les précautions nécessaires. Plusieurs ressortissants des pays amis de la Côte d’Ivoire, sont l’objet d’exactions de la part des terroristes proches de l’opposant Alassane Ouattara.
Des centaines de Mauritaniens, fuyant les attaques dont ils sont l’objet à Abobo, sont rapatriés par vague depuis février. Plusieurs ressortissants libanais vivant dans le Nord de la Côte d’Ivoire tenus par la rébellion d’Alassane Ouattara, avaient fui en masse pour se réfugier en zone gouvernementale en janvier.
Le 31 décembre, 5 ressortissants ghanéens avaient été arrêtés, avant d’être libérés deux semaines plus tard, au lendemain de l’annonce de la non-participation du Ghana à l’éventuelle intervention de l’Ecomog (force de la CEDEAO) en Côte d’Ivoire.
Le président malien avait révélé, lors d’une conférence de presse, que les populations maliennes de la zone Centre-Nord-Ouest (CNO) s’étaient senties menacées suite aux rumeurs de mouvements bancaires ordonnés depuis l’Agence du Mali de la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest) vers la Côte d’Ivoire en vue du paiement des salaires des fonctionnaires ivoiriens.
Après sa réélection, le Président Laurent Gbagbo a prêté serment devant le Conseil constitutionnel en présence notamment de diplomates dont celui du Liban. L’Occident mené par la France et les Etats-Unis avait boycotté la cérémonie, préconisant la reconnaissance de Ouattara malgré la défaite électorale de celui-ci.
(Source : directscoop)
Cette revendication faite par mail, comporte entre autres des menaces à l’endroit des «ressortissants étrangers résidant en Côte d’Ivoire, et surtout la diaspora libanaise, accusée par la lettre de financer Gbagbo et ses hommes», rapporte le site libanais ilbounan.info.
«L’ambassade libanaise a informé le ministère des Affaires étrangères au Liban, ainsi que celui de la Côte d’Ivoire afin de lancer des investigations» au sujet de l’assassinat d’Ali Khalil Fawaz. Les responsables de la diaspora libanaise ont été mis au courant afin de prendre les mesures et les précautions nécessaires. Plusieurs ressortissants des pays amis de la Côte d’Ivoire, sont l’objet d’exactions de la part des terroristes proches de l’opposant Alassane Ouattara.
Des centaines de Mauritaniens, fuyant les attaques dont ils sont l’objet à Abobo, sont rapatriés par vague depuis février. Plusieurs ressortissants libanais vivant dans le Nord de la Côte d’Ivoire tenus par la rébellion d’Alassane Ouattara, avaient fui en masse pour se réfugier en zone gouvernementale en janvier.
Le 31 décembre, 5 ressortissants ghanéens avaient été arrêtés, avant d’être libérés deux semaines plus tard, au lendemain de l’annonce de la non-participation du Ghana à l’éventuelle intervention de l’Ecomog (force de la CEDEAO) en Côte d’Ivoire.
Le président malien avait révélé, lors d’une conférence de presse, que les populations maliennes de la zone Centre-Nord-Ouest (CNO) s’étaient senties menacées suite aux rumeurs de mouvements bancaires ordonnés depuis l’Agence du Mali de la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest) vers la Côte d’Ivoire en vue du paiement des salaires des fonctionnaires ivoiriens.
Après sa réélection, le Président Laurent Gbagbo a prêté serment devant le Conseil constitutionnel en présence notamment de diplomates dont celui du Liban. L’Occident mené par la France et les Etats-Unis avait boycotté la cérémonie, préconisant la reconnaissance de Ouattara malgré la défaite électorale de celui-ci.
(Source : directscoop)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire