mai 11, 2012, 
Les masques Lulua du Kasaï-Occidental (RDC). Ph. Okapi.
Les collectionneurs américains Sotheby’s procède à la vente aux enchères, ce vendredi 11 mai à New-York (Etats-Unis d’Amérique), d’un masque de la tribu lulua du Kasaï-Occidental (RDC).
La valeur de cet objet d’art est estimée entre 1 500 000 et 2 500 000 dollars américains, peut-on lire sur Le figaro.fr
L’Association internationale des critiques d’art à Kinshasa estime que la RDC devrait en principe bénéficier de son droit d’auteur.
«Comme c’est un patrimoine national, il y a toujours une rétrocession à travers le droit d’auteur », a déclaré le secrétaire général de cette association, Bruno Ilunga Musanga.
Il a également appelé le ministère de la Culture et des Arts à faire le recensement des œuvres d’arts d’origine congolaise disséminées dans le monde.
«[Le ministère de la Culture] doit connaitre où se trouvent ces œuvres, les recenser, rencontrer ceux qui les gardent et voir ce que la RDC peut en tirer comme bénéfice », a renchéri Bruno Ilunga Musanga.
Pour le secrétaire général de l’Association internationale des critiques d’art, la RDC ne droit pas seulement compter sur les ressources minières pour renflouer ses caisses mais également sur sa diversité artistique et culturelle.
Source: radiookapi.net
Les masques Lulua du Kasaï-Occidental (RDC). Ph. Okapi.
Les collectionneurs américains Sotheby’s procède à la vente aux enchères, ce vendredi 11 mai à New-York (Etats-Unis d’Amérique), d’un masque de la tribu lulua du Kasaï-Occidental (RDC).
La valeur de cet objet d’art est estimée entre 1 500 000 et 2 500 000 dollars américains, peut-on lire sur Le figaro.fr
L’Association internationale des critiques d’art à Kinshasa estime que la RDC devrait en principe bénéficier de son droit d’auteur.
«Comme c’est un patrimoine national, il y a toujours une rétrocession à travers le droit d’auteur », a déclaré le secrétaire général de cette association, Bruno Ilunga Musanga.
Il a également appelé le ministère de la Culture et des Arts à faire le recensement des œuvres d’arts d’origine congolaise disséminées dans le monde.
«[Le ministère de la Culture] doit connaitre où se trouvent ces œuvres, les recenser, rencontrer ceux qui les gardent et voir ce que la RDC peut en tirer comme bénéfice », a renchéri Bruno Ilunga Musanga.
Pour le secrétaire général de l’Association internationale des critiques d’art, la RDC ne droit pas seulement compter sur les ressources minières pour renflouer ses caisses mais également sur sa diversité artistique et culturelle.
Source: radiookapi.net
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