25/08/2012
Paul KAGAME - War criminal
La nouvelle stratégie de communication des agresseurs sur les réseaux sociaux n'a pour but que de détourner l'attention de la vraie réalité de la situation dans l'Est de la RDC, discréditer le Gouvernement congolais et émousser sa diplomatie, semer la psychose d'insécurité au sein de la population pour défaire la mobilisation déjà mise en place, et démoraliser les troupes au front.
Ainsi, assiste-t-on à des faussetés, d’ailleurs contradictoires, postées sur Internet dans l'espoir qu'elles bénéficient d'un relai de bouche à oreille, puisqu'il est clair que l'Internet est un média sans audience particulière au sein de l'opinion congolaise.
La trêve qui s'observe depuis quelques deux semaines sur les fronts militaires dans l'agression du Rwanda contre la RDC et le plan de balkanisation de cette dernière permet aux différents observateurs de faire le point sur l'évolution des choses.
A ce jour, grâce à une diplomatie agissante et fulgurante de Kinshasa, la communauté internationale, suffisamment sensibilisée, a pris conscience de l'implication de Kigali et exerce, depuis, des pressions sur ses dirigeants pour qu'ils mettent fin à leur équipée en territoire congolais.
Aussi bien les grandes capitales occidentales – parmi lesquelles les grands soutiens du Rwanda tels que Washington et Londres –, que les différentes organisations internationales (ONU, UA, SADC, CIRGL), tous demeurent activement saisis de la question et attendent le moment venu pour tirer les conclusions qui s'imposent.
Celles-ci se traduiraient par des sanctions formelles contre le Rwanda et ses dirigeants, mais aussi, éventuellement, par des poursuites en justice de certains de ces dirigeants et des animateurs du M-23.
L'agresseur contrarié dans ses plans
Selon les prévisions, cette seconde étape de l'action diplomatique internationale dépend du rapport final de la commission d'enquête onusienne dont la mouture préliminaire établissait l'implication de Kigali et ses dirigeants dans l'agression contre la RDC. En attendant, ces évolutions rapides ont manifestement contrarié les plans des agresseurs.
Ces derniers, malgré leur puissance de feu sans cesse décuplée, ont été les premiers à stopper les opérations, alors que l'on parlait déjà de l'éventualité d'une attaque contre Goma. Bien entendu, il s'est observé brièvement une tentative de métastase de la guerre sur le Nord-Kivu et dans le Kasaï Oriental, mais la manœuvre a vite été étouffée dans l'œuf.
A ce stade donc, l'on croit comprendre que les agresseurs voudraient profiter de l'accalmie pour essayer de modifier les données sur terrain afin de se mettre en phase avec leurs dénégations et les arguments qui les soutiennent.
Par la même occasion, on observe progressivement une tentative d'offensive sur le front communicationnel où la machine de l'intox semble avoir subitement décuplé d'initiative, particulièrement à travers l'Internet.
L'objectif essentiel serait à la fois d'essayer de discréditer le Gouvernement congolais et ainsi étouffer ses succès diplomatiques au sein de l'opinion tant nationale qu'internationale.
Par ricochet, l'agresseur escompte un recadrage des convictions internationales pour imposer des atouts d'une question de politique interne à la RDC dans la nouvelle crise des Grands Lacs.
Dans le même ordre d'idées, les agresseurs tentent de créer une psychose d'insécurité à travers d'autres provinces de la RDC, à commencer par Kinshasa.
L'objectif serait également d'ébranler la mobilisation qui s'est déjà mise en place en escomptant une oreille attentive en faveur du M-23 qui tente, sans succès, de se donner des atouts politiques afin d'avoir accès à la table des négociations.
M-23, cheval de Troie jusqu'au bout
La plaque tournante de ce stratagème n'est autre que le M-23 dans la courbe d'existence épouse, de façon troublante, le cycle de toutes les rébellions qui sont nées à l'Est dans les sillages des successives agressions rwandaises contre la RDC.
En effet, au commencement fut le refus de transfert des unités de l'ex-CNDP dans d'autres provinces que les deux Kivu. Puis, vinrent des revendications sur le traitement des militaires issus de cet ancien mouvement politico-militaire, suivies des revendications identitaires. Celles-ci basées sur de fausses accusations de persécution des populations rwandophones.
Dans la foulée de tous ces prétextes, le bientôt M-23 avancera des revendications quant à l'application, par le Gouvernement, des accords du 23 mars 1999 ; accords pourtant exécutés à plus de 95%.
Après que tous ces stratagèmes eurent été démontés un à un, viendra ainsi des mouvements d'humeur dans les rangs avant l'éclatement des mutineries qui se mueront rapidement en rébellion. Pas pour longtemps, car il va vite s'avérer qu'il s'agissait bel et bien d'une agression déguisée contre la RDC.
C'est alors que les « mutins-rebelles » mettent sur pied le M-23 qui va vite se transformer en mouvement politico-militaire, juste pour couvrir et brouiller le pot-aux-roses de la nouvelle agression du Rwanda contre la RDC. Progressivement, ce cheval de Troie va ajouter à son "cahier des charges" des revendications politiques, la toute dernière étant l'exigence de la "vérité des urnes".
Pour couronner le tout, le M-23 vient de se doter d'une administration, que d'aucuns appellent carrément un "Gouvernement", pour gérer les territoires qu'il occupe. C'est donc ici que ce M-23 rejoint la lignée des RCD et consorts.
Dans la composition de ce "Gouvernement" l'on voit émarger en première ligne des personnalités qui ont eu à occuper jusqu'à très récemment des responsabilités au sein des institutions congolaises, particulièrement celles provinciales du Nord-Kivu.
Cela pour essayer de conférer à ce cheval de Troie, une identité effectivement congolaise, alors que l'on sait ce qu'il est réellement.
Ce stratagème rentre en droite ligne de soutien de la ligne de communication de Kigali qui, depuis le début, nie toute implication en avançant que la RDC est plutôt en proie à des questions de politique interne. Heureusement, le Gouvernement n'est pas dupe dans cette démarche.
Immédiatement, son porte-parole, Lambert Mende a déclaré que cela est un non événement et que le Gouvernement sait très bien à qui il a affaire. «C’est réellement un non-événement. Nous n’avons pas affaire au M-23.
Ce que les petits excités du M-23 font pour faire plaisir à leur maître ne nous impressionne pas. Nous avons affaire au Rwanda et nous continuons à mettre la pression et à résister à l’agression du Rwanda. La réalité est à Kigali et nous nous adressons à la réalité», a réagi Lambert Mende à l'annonce du "Gouvernement" du M-23.
Ces gadgets d'intox devenus inopérants
C'est pourtant à ce stade des mutations du M-23 que s'engage une avalanche d'intox qui, comme indiqué plus haut, n'a pour but que de détourner l'attention de la vraie réalité de la situation à l'Est de la RDC, discréditer le Gouvernement congolais et émousser sa diplomatie, semer la psychose d'insécurité au sein de la population pour défaire la mobilisation déjà mise en place, et démoraliser les troupes au front.
Ainsi assiste-t-on à des faussetés contradictoires postées sur Internet dans l'espoir qu'elles bénéficieront d'un relai de bouche à oreille, puisqu'il est clair que l'Internet est un média sans audience particulière au sein de l'opinion congolaise.
On peut lire, pêle-mêle, des faussetés telles qu'un déplacement de Joseph Kabila à Kigali où il serait allé toucher la solde des militaires du M-23. On lit aussi que Kigali aurait abrité une réunion pour préparer l'après Kabila afin d’appliquer "la vérité des urnes".
Une incongruité qui contraste avec l'intox permanente selon laquelle Kinshasa serait de mèche avec le cheval de Troie du M-23. Une incongruité aussi qui démasque son stratagème de politisation. En effet, c'est au même moment où il se dote d'une administration qu'il s'adjoint une autre mission de l'application de cette fameuse vérité des urnes.
Dans la foulée, on sublime une défection mineure d'un officier supérieur au Kasaï Occidental pendant que, quelques heures plus tôt, on annonçait la fallacieuse découverte des parachutes dans la ville de Kinshasa.
Ceci pour tenter de semer la psychose d'insécurité évoquée tantôt. Tir manqué puisqu'il est inconcevable qu'un commando sérieux laisse trainer des traces aussi visibles que des parachutes pour certainement se faire rechercher.
Heureusement, les Congolaises et Congolais sont suffisamment aguerris, justement grâce à la récurrence de différentes rébellions, pour faire face à tous ces matraquages psychologiques. Ils sont aussi suffisamment édifiés sur la réalité de l'Est et les avancées diplomatiques engrangées à ce jour pour savoir quel chemin prendre : certainement celui de la patrie.
Demain l'agresseur essaiera d'autres gadgets communicationnels, mais une chose demeure certaine : il ne parviendra plus à diviser les Congolais plus que jamais unis et mobilisés autour de la cause nationale et derrière leurs dirigeants sous la houlette du Président Joseph Kabila Kabange.
Il revient aux compatriotes encore égarés de comprendre que la roue de l'histoire tourne inexorablement et qu'en RDC plus rien n'est comme avant.
A eux de savoir choisir le camp de la patrie qui leur est encore ouvert, en cessant se servir consciemment ou inconsciemment les visées des agresseurs de leur pays.
A eux aussi de savoir démasquer, dans leurs milieux tous les infiltrés qui se présentent sous des identités congolaises, pour masquer leur vraie dimension d'agresseur au servir du plan de balkanisation et de pillage des ressources de la RDC.
PD Mpoko
© KongoTimes
Paul KAGAME - War criminal
La nouvelle stratégie de communication des agresseurs sur les réseaux sociaux n'a pour but que de détourner l'attention de la vraie réalité de la situation dans l'Est de la RDC, discréditer le Gouvernement congolais et émousser sa diplomatie, semer la psychose d'insécurité au sein de la population pour défaire la mobilisation déjà mise en place, et démoraliser les troupes au front.
Ainsi, assiste-t-on à des faussetés, d’ailleurs contradictoires, postées sur Internet dans l'espoir qu'elles bénéficient d'un relai de bouche à oreille, puisqu'il est clair que l'Internet est un média sans audience particulière au sein de l'opinion congolaise.
La trêve qui s'observe depuis quelques deux semaines sur les fronts militaires dans l'agression du Rwanda contre la RDC et le plan de balkanisation de cette dernière permet aux différents observateurs de faire le point sur l'évolution des choses.
A ce jour, grâce à une diplomatie agissante et fulgurante de Kinshasa, la communauté internationale, suffisamment sensibilisée, a pris conscience de l'implication de Kigali et exerce, depuis, des pressions sur ses dirigeants pour qu'ils mettent fin à leur équipée en territoire congolais.
Aussi bien les grandes capitales occidentales – parmi lesquelles les grands soutiens du Rwanda tels que Washington et Londres –, que les différentes organisations internationales (ONU, UA, SADC, CIRGL), tous demeurent activement saisis de la question et attendent le moment venu pour tirer les conclusions qui s'imposent.
Celles-ci se traduiraient par des sanctions formelles contre le Rwanda et ses dirigeants, mais aussi, éventuellement, par des poursuites en justice de certains de ces dirigeants et des animateurs du M-23.
L'agresseur contrarié dans ses plans
Selon les prévisions, cette seconde étape de l'action diplomatique internationale dépend du rapport final de la commission d'enquête onusienne dont la mouture préliminaire établissait l'implication de Kigali et ses dirigeants dans l'agression contre la RDC. En attendant, ces évolutions rapides ont manifestement contrarié les plans des agresseurs.
Ces derniers, malgré leur puissance de feu sans cesse décuplée, ont été les premiers à stopper les opérations, alors que l'on parlait déjà de l'éventualité d'une attaque contre Goma. Bien entendu, il s'est observé brièvement une tentative de métastase de la guerre sur le Nord-Kivu et dans le Kasaï Oriental, mais la manœuvre a vite été étouffée dans l'œuf.
A ce stade donc, l'on croit comprendre que les agresseurs voudraient profiter de l'accalmie pour essayer de modifier les données sur terrain afin de se mettre en phase avec leurs dénégations et les arguments qui les soutiennent.
Par la même occasion, on observe progressivement une tentative d'offensive sur le front communicationnel où la machine de l'intox semble avoir subitement décuplé d'initiative, particulièrement à travers l'Internet.
L'objectif essentiel serait à la fois d'essayer de discréditer le Gouvernement congolais et ainsi étouffer ses succès diplomatiques au sein de l'opinion tant nationale qu'internationale.
Par ricochet, l'agresseur escompte un recadrage des convictions internationales pour imposer des atouts d'une question de politique interne à la RDC dans la nouvelle crise des Grands Lacs.
Dans le même ordre d'idées, les agresseurs tentent de créer une psychose d'insécurité à travers d'autres provinces de la RDC, à commencer par Kinshasa.
L'objectif serait également d'ébranler la mobilisation qui s'est déjà mise en place en escomptant une oreille attentive en faveur du M-23 qui tente, sans succès, de se donner des atouts politiques afin d'avoir accès à la table des négociations.
M-23, cheval de Troie jusqu'au bout
La plaque tournante de ce stratagème n'est autre que le M-23 dans la courbe d'existence épouse, de façon troublante, le cycle de toutes les rébellions qui sont nées à l'Est dans les sillages des successives agressions rwandaises contre la RDC.
En effet, au commencement fut le refus de transfert des unités de l'ex-CNDP dans d'autres provinces que les deux Kivu. Puis, vinrent des revendications sur le traitement des militaires issus de cet ancien mouvement politico-militaire, suivies des revendications identitaires. Celles-ci basées sur de fausses accusations de persécution des populations rwandophones.
Dans la foulée de tous ces prétextes, le bientôt M-23 avancera des revendications quant à l'application, par le Gouvernement, des accords du 23 mars 1999 ; accords pourtant exécutés à plus de 95%.
Après que tous ces stratagèmes eurent été démontés un à un, viendra ainsi des mouvements d'humeur dans les rangs avant l'éclatement des mutineries qui se mueront rapidement en rébellion. Pas pour longtemps, car il va vite s'avérer qu'il s'agissait bel et bien d'une agression déguisée contre la RDC.
C'est alors que les « mutins-rebelles » mettent sur pied le M-23 qui va vite se transformer en mouvement politico-militaire, juste pour couvrir et brouiller le pot-aux-roses de la nouvelle agression du Rwanda contre la RDC. Progressivement, ce cheval de Troie va ajouter à son "cahier des charges" des revendications politiques, la toute dernière étant l'exigence de la "vérité des urnes".
Pour couronner le tout, le M-23 vient de se doter d'une administration, que d'aucuns appellent carrément un "Gouvernement", pour gérer les territoires qu'il occupe. C'est donc ici que ce M-23 rejoint la lignée des RCD et consorts.
Dans la composition de ce "Gouvernement" l'on voit émarger en première ligne des personnalités qui ont eu à occuper jusqu'à très récemment des responsabilités au sein des institutions congolaises, particulièrement celles provinciales du Nord-Kivu.
Cela pour essayer de conférer à ce cheval de Troie, une identité effectivement congolaise, alors que l'on sait ce qu'il est réellement.
Ce stratagème rentre en droite ligne de soutien de la ligne de communication de Kigali qui, depuis le début, nie toute implication en avançant que la RDC est plutôt en proie à des questions de politique interne. Heureusement, le Gouvernement n'est pas dupe dans cette démarche.
Immédiatement, son porte-parole, Lambert Mende a déclaré que cela est un non événement et que le Gouvernement sait très bien à qui il a affaire. «C’est réellement un non-événement. Nous n’avons pas affaire au M-23.
Ce que les petits excités du M-23 font pour faire plaisir à leur maître ne nous impressionne pas. Nous avons affaire au Rwanda et nous continuons à mettre la pression et à résister à l’agression du Rwanda. La réalité est à Kigali et nous nous adressons à la réalité», a réagi Lambert Mende à l'annonce du "Gouvernement" du M-23.
Ces gadgets d'intox devenus inopérants
C'est pourtant à ce stade des mutations du M-23 que s'engage une avalanche d'intox qui, comme indiqué plus haut, n'a pour but que de détourner l'attention de la vraie réalité de la situation à l'Est de la RDC, discréditer le Gouvernement congolais et émousser sa diplomatie, semer la psychose d'insécurité au sein de la population pour défaire la mobilisation déjà mise en place, et démoraliser les troupes au front.
Ainsi assiste-t-on à des faussetés contradictoires postées sur Internet dans l'espoir qu'elles bénéficieront d'un relai de bouche à oreille, puisqu'il est clair que l'Internet est un média sans audience particulière au sein de l'opinion congolaise.
On peut lire, pêle-mêle, des faussetés telles qu'un déplacement de Joseph Kabila à Kigali où il serait allé toucher la solde des militaires du M-23. On lit aussi que Kigali aurait abrité une réunion pour préparer l'après Kabila afin d’appliquer "la vérité des urnes".
Une incongruité qui contraste avec l'intox permanente selon laquelle Kinshasa serait de mèche avec le cheval de Troie du M-23. Une incongruité aussi qui démasque son stratagème de politisation. En effet, c'est au même moment où il se dote d'une administration qu'il s'adjoint une autre mission de l'application de cette fameuse vérité des urnes.
Dans la foulée, on sublime une défection mineure d'un officier supérieur au Kasaï Occidental pendant que, quelques heures plus tôt, on annonçait la fallacieuse découverte des parachutes dans la ville de Kinshasa.
Ceci pour tenter de semer la psychose d'insécurité évoquée tantôt. Tir manqué puisqu'il est inconcevable qu'un commando sérieux laisse trainer des traces aussi visibles que des parachutes pour certainement se faire rechercher.
Heureusement, les Congolaises et Congolais sont suffisamment aguerris, justement grâce à la récurrence de différentes rébellions, pour faire face à tous ces matraquages psychologiques. Ils sont aussi suffisamment édifiés sur la réalité de l'Est et les avancées diplomatiques engrangées à ce jour pour savoir quel chemin prendre : certainement celui de la patrie.
Demain l'agresseur essaiera d'autres gadgets communicationnels, mais une chose demeure certaine : il ne parviendra plus à diviser les Congolais plus que jamais unis et mobilisés autour de la cause nationale et derrière leurs dirigeants sous la houlette du Président Joseph Kabila Kabange.
Il revient aux compatriotes encore égarés de comprendre que la roue de l'histoire tourne inexorablement et qu'en RDC plus rien n'est comme avant.
A eux de savoir choisir le camp de la patrie qui leur est encore ouvert, en cessant se servir consciemment ou inconsciemment les visées des agresseurs de leur pays.
A eux aussi de savoir démasquer, dans leurs milieux tous les infiltrés qui se présentent sous des identités congolaises, pour masquer leur vraie dimension d'agresseur au servir du plan de balkanisation et de pillage des ressources de la RDC.
PD Mpoko
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