24/04/2013
Depuis l'annonce ce mardi soir de la défaite du candidat du parti d'Alassane Ouattara, le Rdr, la tension est remontée d'un cran dans la commune de Koumassi à Abidjan.
En effet, en crise de violence depuis dimanche soir, la commune connait depuis hier soir un regain de tension qui perdure jusqu'à ce mercredi matin. Les stigmates de casse des derniers jours bien visibles notamment au niveau des boutiques attaquées témoignent du degré de violence.
Pneus brûlés, jets de pierre sur les forces de l'ordre chargées de protéger la mairie et sur des commerces, les partisans du déchus semblent tout faire pour créer la psychose rappelant pour les populations les heures sombres des affrontements lors de la crise post électorale comme constaté sur place dans une ambiance qui sent le souffre ce mercredi matin par KOACI.COM.
"Ils (Pdci, ndlr) nous ont volé notre victoire, ils vont voir maintenant qui est le chef ici dans la commune" lance Amadou, un des meneurs des partisans du candidat Bacongo, abordé non loin de la mairie de Koumassi ce mercredi matin, foulard rouge sur la tête et gros bâton bien serré dans ses mains.
Ce dernier n'hésite pas à jurer, entouré de trois de ses collègues de manif, que "tout va bruler ici" si "Cissé Bacongo n'est pas installé" comme selon ses propos repris en cœur par ses acolytes déjà préoccupés par leur prochaine cible .
Ce dimanche soir deux grosses détonations et des tirs de Kalach ont été entendus dans les environs de la mairie gardées par la police.
Tout indique, selon les informations recueillies sur place, que diverses promesses, dont des postes, ont été faites à l'endroit de ces jeunes aujourd’hui mués en casseurs, par le l'équipe du candidat annoncé perdant ce mardi soir par la Cei (voir article koaci.com).
A l'heure de la mise en ligne de l'article, rien n'indique que la situation et la détermination à la violence vont baisser d'intensité . Espérons que les agissements des "bandits politiques" de Koumassi ne donneront d'idées à d'autres camps de candidats déchus qui eux aussi crient au "vol" électoral.
Amy
Koaci.Info
Depuis l'annonce ce mardi soir de la défaite du candidat du parti d'Alassane Ouattara, le Rdr, la tension est remontée d'un cran dans la commune de Koumassi à Abidjan.
En effet, en crise de violence depuis dimanche soir, la commune connait depuis hier soir un regain de tension qui perdure jusqu'à ce mercredi matin. Les stigmates de casse des derniers jours bien visibles notamment au niveau des boutiques attaquées témoignent du degré de violence.
Pneus brûlés, jets de pierre sur les forces de l'ordre chargées de protéger la mairie et sur des commerces, les partisans du déchus semblent tout faire pour créer la psychose rappelant pour les populations les heures sombres des affrontements lors de la crise post électorale comme constaté sur place dans une ambiance qui sent le souffre ce mercredi matin par KOACI.COM.
"Ils (Pdci, ndlr) nous ont volé notre victoire, ils vont voir maintenant qui est le chef ici dans la commune" lance Amadou, un des meneurs des partisans du candidat Bacongo, abordé non loin de la mairie de Koumassi ce mercredi matin, foulard rouge sur la tête et gros bâton bien serré dans ses mains.
Ce dernier n'hésite pas à jurer, entouré de trois de ses collègues de manif, que "tout va bruler ici" si "Cissé Bacongo n'est pas installé" comme selon ses propos repris en cœur par ses acolytes déjà préoccupés par leur prochaine cible .
Ce dimanche soir deux grosses détonations et des tirs de Kalach ont été entendus dans les environs de la mairie gardées par la police.
Tout indique, selon les informations recueillies sur place, que diverses promesses, dont des postes, ont été faites à l'endroit de ces jeunes aujourd’hui mués en casseurs, par le l'équipe du candidat annoncé perdant ce mardi soir par la Cei (voir article koaci.com).
A l'heure de la mise en ligne de l'article, rien n'indique que la situation et la détermination à la violence vont baisser d'intensité . Espérons que les agissements des "bandits politiques" de Koumassi ne donneront d'idées à d'autres camps de candidats déchus qui eux aussi crient au "vol" électoral.
Amy
Koaci.Info
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