10/07/2013
Aucune manifestation n’est prise à la légère en cette veille d’élection présidentielle, surtout quand il s’agit de front scolaire. Les étudiants de la faculté de médecine de pharmacie et d’odontostomatologie FMPOS l’ont appris à leur dépend.
En voulant exprimer leur ras-le-bol face à la grève illimitée décrétée par les enseignants du supérieur, ils ont attiré sur eux la colère des forces de l’ordre hier mardi 9 juillet 2013. La faculté a passé une de ses pires journées.
Agacés par les grèves récurrentes du corps professoral, les étudiants ont manifesté et ont bloqué les accès de la structure estudiantine, avant de voir une horde de policiers descendre sur eux, pour réduire le mouvement de contestation.
Le but de la manifestation était d’inviter les autorités à trouver une solution à la cessation d’activités récurrentes des enseignants. «Ces grèves compromettent notre avenir et nous disqualifient de toute sorte d’avancement scolaire.
Pendant que dans d’autres pays les années scolaires se déroulent de façon normale nous faisons du sur-place», informe une jeune étudiante.
Mais, la manifestation a été troublée par les forces de l’ordre venues encadrer les étudiants.
A la veille des élections des manifestations d’étudiants peuvent constituer des menaces à la poursuite du processus. Des tirs de gaz lacrymogène et de coups de matraques ont dispersé les étudiants manifestants.
Selon les informations recueillis par KOACI.COM, les étudiants auraient riposté par des jets de pierre. Les policiers qui étaient en sous-nombre ont fait appel à un renfort qui n’a pas tardé à charger.
S’en est alors suivis des affrontements entre élèves et policiers. Les blessés ont été comptés d’un côté comme de l’autre. De nombreux blessés ont été transportés aux urgences de l’hôpital du Point G.
Dansira et Ib
Aucune manifestation n’est prise à la légère en cette veille d’élection présidentielle, surtout quand il s’agit de front scolaire. Les étudiants de la faculté de médecine de pharmacie et d’odontostomatologie FMPOS l’ont appris à leur dépend.
En voulant exprimer leur ras-le-bol face à la grève illimitée décrétée par les enseignants du supérieur, ils ont attiré sur eux la colère des forces de l’ordre hier mardi 9 juillet 2013. La faculté a passé une de ses pires journées.
Agacés par les grèves récurrentes du corps professoral, les étudiants ont manifesté et ont bloqué les accès de la structure estudiantine, avant de voir une horde de policiers descendre sur eux, pour réduire le mouvement de contestation.
Le but de la manifestation était d’inviter les autorités à trouver une solution à la cessation d’activités récurrentes des enseignants. «Ces grèves compromettent notre avenir et nous disqualifient de toute sorte d’avancement scolaire.
Pendant que dans d’autres pays les années scolaires se déroulent de façon normale nous faisons du sur-place», informe une jeune étudiante.
Mais, la manifestation a été troublée par les forces de l’ordre venues encadrer les étudiants.
A la veille des élections des manifestations d’étudiants peuvent constituer des menaces à la poursuite du processus. Des tirs de gaz lacrymogène et de coups de matraques ont dispersé les étudiants manifestants.
Selon les informations recueillis par KOACI.COM, les étudiants auraient riposté par des jets de pierre. Les policiers qui étaient en sous-nombre ont fait appel à un renfort qui n’a pas tardé à charger.
S’en est alors suivis des affrontements entre élèves et policiers. Les blessés ont été comptés d’un côté comme de l’autre. De nombreux blessés ont été transportés aux urgences de l’hôpital du Point G.
Dansira et Ib
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