vendredi 19 juillet 2013

RDC : Les Gardes de "Joseph KABILA"tombent comme des mouches

19/07/2013 

 

Garde Républicaine de "Joseph KABILA"

S’il avait écouté le conseil, pour embrasser « le journalisme » comme il l’avait promis dans un point de presse à Kingakati en 2011, J. Kabila n’aurait peut être pas vécu tout ce cauchemar. 


D’après une dépêche que nous venons de recevoir, 14 de ses gardes sont tombés à Maluku, 8 dans sa résidence de Kinkole et 4 dans la cité de l’OUA. 

Effrayé, J. Kabila a ordonné la destruction de sa résidence de Mont Ngaliema (ancienne résidence du Marechal Mobutu).

En refusant de recevoir les émissaires de Barack Obama, les propos tenus à l'endroit de l'ambassadeur américain, Joseph Kabila avait commis une grosse erreur, il a insulté le n°1 des USA.

En 2010, Barack Oama avait décidé l’envoi des forces spéciales américaines en RDC et ses pays voisins, officiellement pour traquer Joesph Kony, mais connaissant le mode d’opération des forces américaines, ils peuvent shifter sur autre Chose.

Depuis la prestation du serment de Joseph Kabila à la cité de l’OUA, des choses étranges se passent dans son entourage, plusieurs de ses gardes manquent à l’appel, certains tombent comme des mouches. 


Paniqué, après le voyage de Boma, Kamba il se refugia dans une ferme au Katanga pour plus de sécurité, et là le même mystère se reproduit, c’est le tour de son garde le plus rapproché, le géant ousimani de perdre la vie.

D’après les analystes des experts antiterro, la réussite d’une telle mission demande une technologie avancée avec des prises d’images par satellite, et il n’y a que des forces spéciales qui peuvent en avoir, les unités spécifiquement formées, instruites et entraînées pour mener un éventail de missions particulières.

Les forces spéciales peuvent mener, de façon autonome, des opérations d’une durée pouvant aller de quelques heures à plusieurs semaines, dans un contexte hautement hostile. 


Agissant avec un effectif réduit contre des adversaires nettement plus nombreux, elles font appel à toutes sortes de techniques et tactiques particulières dans le but d’exploiter les points faibles de l’ennemi et d’en tirer un avantage décisif. 

Elles permettent au pouvoir politique d'assurer le règlement de situations de crise qui ne peuvent trouver de solutions par la voie diplomatique, politique ou par des actions militaires classiques.

En analysant la situation actuelle de Joseph Kabila, c’est clair, c’est l’œuvre des forces spéciales. 


Je me souviens de la phrase de Bill Richardon dans une réunion à l’Hôtel Memling, « Si Kabila s’en tête, ah …nous ne sommes pas des français.. », en d’autres termes, ça sous entendait que Washington aller « utiliser » d’autres méthodes que celles appliquées par des français en Cote d'Ivoire ou en Lybie. 

Selon nos sources à la DIA (Defense Intelligence Agency), Barack Obama aurait envoyé l'unité très secrète américaine qui avait conduit l'opération d'exécution d'Oussama Ben Laden,. 

Il s'agit du Naval Special Warfare Development Group (DEVGRU), sixième unité des SEALs (pour Sea, Air, Land), les forces spéciales de la marine américaine. 

Cette unité a été aussi connue sous la dénomination SEALs Team Six (ST6), de Marine Research Facility (MARESFAC) et de Mobility 6 (MOB Six). 

Un service aguerri

Ces sources indiquent que le groupe DEVGRU a notamment participé aux opérations suivantes :

1985 - Préparation d'un possible assaut en Méditerranée contre le paquebot Achille Lauro détourné par un commando du Front de libération de la Palestine.

1983 - Opération Urgent Fury (île de la Grenade) : évacuation du gouverneur Paul Scoon.

1989 - Opération Just Cause. Avec le SEAL Team Two et la Delta Force, récupération du dirigeant Manuel Noriega. Ce dernier a été extradé des États-Unis vers la France en avril 2010, où il a été condamné à 7 ans de prison.

1990 - Opération Pokeweed. Déployé à partir du porte-avions USS Forrestal, SEAL Team Six rate l'interception au Panama du baron de la drogue Pablo Escobar.

2001 - Opération Enduring Freedom en Afghanistan.

2012 : Opération pour la traque de Joseph Kabila.

Pour ce groupe l’échec n’est pas une option, impossible n’est pas dans leur vocabulaire.

[Yves KONGOLO

© KongoTimes

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire