vendredi 30 août 2013

RDC : L’ombre de TSHISEKEDI derrière les FARDC au Nord-Kivu

30/08/2013 

 

Etienne TSHISEKEDI

La base stratégique des Trois antennes à Rutshuru vient de passer, ce matin du 30 août entre les mains des forces loyalistes de la RDC, les Rebelles du M23 en débandade ont pris la direction de Rumbangabo et de Bunagana vers la frontière de l’Ouganda.


Un diplomate belge aurait affirmé que les forces loyalistes engagées au front à Rusturu au Nord-Kivu seraient sous les ordres du Président élu Etienne Tshisekedi.

« Votre Lambert Mende peut beau se vanter du succès des forces loyalistes au Nord-Kivu, cependant il sait bien que son gouvernement, à part ses multiples trahisons, ne maitrise rien dans cette histoire » a-t-il ajouté.

Les forces spéciales des FARDC sous la supervision de l’AFRICOM agissent sous le télé-commandement de « l’homme à la Thuraya », Etienne Tshisekedi.

Le conflit actuellement à l’Est est une guerre de positionnement et contrôle de la plus grande réserve des matières stratégiques au monde. « Le pouvoir à Kinshasa, c’est désormais dans les montagnes du grand Kivu qu’il faudra aller le chercher » a-t-il enchainé.

Joseph kabila possédait un lobbying très fort. Barack Obama a compris que des firmes internationales financièrement puissantes étaient derrière « Kabila », les Russes, les chinois et même certains pays de l’axe du mal profitent de la tourbière produite par le Rwanda dans le Nord-Kivu provoquant de temps à autre un déséquilibre financier, de fois un séisme financier difficile à expliquer dans le monde.

Pour court-circuiter, ce groupe de multinational, ainsi que les interventions russes et chinoises, Barack Obama a intelligemment formé grâce au programme de l’AFRICOM, une force spéciale au sein des FARDC.

Cette unité dont la substance et le programme échappait à J. Kabila, cette unité des Forces Spéciales serait alors sous les ordres charismatiques du lider Maximo.

« , j’ai convaincu nos frères de la police et FARDC, ils ont enfin compris, je peux vous affirmer, j’ai aujourd’hui le contôle de la Force Publique », Etienne Tshisekedi lors de son message des vœux à la Nation.

Le Président E. Tshisekedi, via le département d’état américain qui n’apprécie plus le jeu malsain de J. Kabila contre les intérêts de la RDC, avait obtenu le lancement d’un mandat d’arrêt international à l’endroit de Bosco Tanganda.

Ce mandat-appât avait pour objectif de séparer les éléments FARDC Rwandophones des congolais. Ces militaires de FPR (Rwanda) occupaient jadis des fonctions de commandement très stratégique au sein de l’armée congolaise rendant ainsi difficile le processus d’impérium à Kinshasa.

C’est qui expliquait Cet acharnement de J. Kabila et ses caporaux de vouloir à tout prix, réintégrer les mutins dans les rangs des FARDC par les mecanismes de négociation de Kampala.

La dernière tentative, de ramener Limete aux concertations a échoué à Brazzaville, Tshisekedi en bon artiste à déjouer le coup.

Le sphinx de Limete, cet homme toujours incompris, la génération future étudiera certainement chapitre par chapitre, est capable « d’être loin de tout mais près de tout à la fois », a bouleversé le calcul.

Le processus pour l’impérium serait une maison qui possède une porte, serrure et une clé.

• La porte : Kinshasa ;

• La serrure : communauté internationale ;

• La clé : jadis le Katanga, aujourd’hui c’est le Nord-Kivu.

Ainsi donc, la guerre de l’Est serait une bataille opposant le M23 de Joseph Kabila aux forces loyalistes d’Etienne Tshisekedi, pour la possession de la clé, qui dans (à travers laquelle) la communauté internationale ouvre la porte du pouvoir à Kinshasa.

Le départ du M23 à l’Est signe la fin du régime imposé par Kagame à Kinshasa.

C’est fini, le pouvoir de J. Kabila n’est qu’apparent, un œil averti peut lire dans les visages.

La peur a changé de camp, J. Kabila en réalité vit l’enfer. Il a compris le double jeu de ses collaborateurs, il s’est rendu compte qu’il était seul et que la plupart de ses ministres sont en intelligence avec Limete.

La bataille pour l’impérium se jouerait-elle à Goma ?

Faut-il croire à la thèse d’Yves Kongolo : le départ du M23 à l’Est de la RDC signe la fin du régime de Kigali à Kinshasa ? En effet, il se raconte dans les milieux des services d’intelligence qu’un plan a été bien conçu pour la chute de ce jeune dictateur.

La RDC serait devenue un danger pour la planète, d’après un rapport des experts de la NASA. L’avenir du monde serait menacé par 3 choses : bouleversement climatique, pandémies et guerre nucléaire.

D’après ces experts, la RDC serait à la fois une solution à ces problèmes mais aussi la cause. Laisser la RDC entre les mains des voyous, c’est accepter que l’uranium nécessaire à la fabrication d’une bombe nucléaire se retrouve entre les mains des terroristes d’El shebabs.

Cependant, pour éviter que le groupe multinational amoureux de l’argent s’oppose au projet du changement en RDC.

Sachant aussi qu’aucune résolution formelle et crédible ne viendra de la Monusco, CIRGL, SADEC, OUA, les concepteurs des opérations du changement en RDC avaient imaginé des scenarios semblables à des films-fictions.

Les commandos congolais ont été formés et largués à l’Est de la RDC, les oreilles électroniques puissantes, radars ont été placés afin de suivre tous les mouvements dans la cour de J. Kabila.

« Bringing down a young dictator », la chute de J. Kabila est conçu dans les laboratoires, montée par des grands cinéastes.

Les acteurs se retrouvent dans le milieu politique, économique, social, militaire et chacun joue sa partition.

Dans ces mises en scènes aux conséquences réelles, on retrouve 3 groupes de personnages : Les mauvais, les inconscients et les conscients.

La première étape consistait à séparer le groupe des mauvais (Les Rwandais) des congolais (Conscients et inconscients).

La deuxième étape, manipuler les inconscients par une spirale des mauvaises décisions afin de précipiter la chute du jeune dictateur par ses positions non potables et contre le Peuple.

La dernière étape, regrouper les groupes des conscients et inconscients contre le Raïs.

J. Kabila a compris en retard, que tous les congolais, ceux qui sont dans les institutions ou en dehors veulent tous la même chose : « le changement ».
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[Yves Kongolo] 


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