lundi 30 septembre 2013
Grogne à l'ISC/Kin, escroquerie à l'UNIKIN, spoliation à l'Académie des Beaux-Arts !
La mise en train du macro-programme de la Révolution de la modernité appelle concomitamment les Congolais à une nouvelle citoyenneté.
Dans le secteur de la gestion de la chose publique, la recherche de l’excellence doit, de ce fait, s’illustrer en vade-mecum des mandataires de l’Etat.
Faute de quoi, le ministre de tutelle est tenu de remettre de l’ordre dans la boutique. Cette exigence incite à ce jour, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, ESU, Chelo Lotsima à une action d’envergure, pour sauver son secteur.
L’opinion attend du ministre de l’ESU qu’il tape du poing sur la table, pour tirer les oreilles à ceux qui soufflent la tempête et qui, par-dessus le marché, mettent son secteur à contrecourant de l’esprit prôné par le Président Joseph Kabila, en sa qualité de géniteur du macro-programme de la Révolution de la modernité.
Un adage africain dit : « quand la case brûle, il n’y a point d’autre priorité que d’en venir à bout des flammes ».
A l’Université de Kinshasa, un assistant, faute de pouvoir prêcher les vertus de « la nouvelle citoyenneté », a été acheminé la semaine dernière au parquet de Matete.
Il nous revient que l’intéressé se serait rendu coupable d’escroquerie, en exploitant notamment la naïveté collective d’étudiants arrivants. En effet, son entreprise consisterait à s’ériger en intermédiaire entre ces derniers et le bureau de perception des frais académiques.
Quand bien même l’affaire serait dans une procédure judiciaire, il est souhaitable, estiment les observateurs, que la communauté des assistants de l’ESU s’offre un prestige collectif de se faire expliquer par le ministre de tutelle « la nouvelle citoyenneté, dans le contexte de la Révolution de la modernité ».
Ceci est d’autant impérieux que la question de la relève académique qui se pose avec acuité, nécessite une génération d’assistants vertueux.
Les étudiants disent non à la spoliation de terrain à l’A.B.A
A l’Académie des Beaux-Arts (A.B.A), les étudiants s’inscrivent en faux contre la spoliation de terrain. Point n’est besoin de rappeler que cette institution d’enseignement des arts plastiques est une fierté pour la RD Congo, à l’échelle continentale.
Et, de tout temps, les fruits de l’A.B.A ont été dignes de porter l’étendard de leur alma mater, à travers les pays où il leur a été donné de représenter notamment la mère-patrie.
Pour l’heure, et par rapport à ce mérite qui en rajoute à la renommé de l’établissement, l’A.B.A qui a montré qu’elle a de la valeur à revendre, se doit d’être préservée dans son intégrité, tant physique qu’administrative.
Voilà pourquoi, estiment les observateurs, le ministre de l’ESU ne devrait pas laisser l’A.B.A prendre la direction de la paille. L’ISC/Kin : l’an académique 2013-2014, sous la menace de la grogne sur les primes budgétisées
La grogne à l’ISC/Kin relativement aux primes pourrait poser notamment la question du « Quid de l’autorité financière au sein de l’établissement » : qui engage les entrées et les sorties des fonds, selon un mode de gestion ne prenant pas la banque en appui comme avant ?
Il convient, à cette étape, de préciser que le recours à la banque dans le système de gestion ne dépend guère du bon vouloir des mandataires de l’Etat dans les établissements publics.
Bien au contraire, ce mode de gestion a été dicté en son temps, pour notamment l’efficacité et la transparence. Qui contrôle les effectifs et quelles sont les motivations de rupture d’une gestion bancarisée ?
Tout fait croire que la manigance qui a machiné le départ du comité de gestion sortant aurait apprivoisé l’entrant, au point d’en bousculer des assises, dont notamment la gestion bancarisée.
Pour l’heure, l’Institut doit gérer les acquis du comité sortant, en termes notamment d’ouverture au monde.
Vu sous cet angle, et dans le souci de notamment permettre à la Révolution de la modernité de passer de la parole aux actes, le ministre de tutelle devrait s’impliquer, pour aider le comité de gestion à remettre sur orbite la gestion bancarisée de l’établissement.
____
Lepa
l'Avenir
Grogne à l'ISC/Kin, escroquerie à l'UNIKIN, spoliation à l'Académie des Beaux-Arts !
La mise en train du macro-programme de la Révolution de la modernité appelle concomitamment les Congolais à une nouvelle citoyenneté.
Dans le secteur de la gestion de la chose publique, la recherche de l’excellence doit, de ce fait, s’illustrer en vade-mecum des mandataires de l’Etat.
Faute de quoi, le ministre de tutelle est tenu de remettre de l’ordre dans la boutique. Cette exigence incite à ce jour, le ministre de l’Enseignement supérieur et universitaire, ESU, Chelo Lotsima à une action d’envergure, pour sauver son secteur.
L’opinion attend du ministre de l’ESU qu’il tape du poing sur la table, pour tirer les oreilles à ceux qui soufflent la tempête et qui, par-dessus le marché, mettent son secteur à contrecourant de l’esprit prôné par le Président Joseph Kabila, en sa qualité de géniteur du macro-programme de la Révolution de la modernité.
Un adage africain dit : « quand la case brûle, il n’y a point d’autre priorité que d’en venir à bout des flammes ».
A l’Université de Kinshasa, un assistant, faute de pouvoir prêcher les vertus de « la nouvelle citoyenneté », a été acheminé la semaine dernière au parquet de Matete.
Il nous revient que l’intéressé se serait rendu coupable d’escroquerie, en exploitant notamment la naïveté collective d’étudiants arrivants. En effet, son entreprise consisterait à s’ériger en intermédiaire entre ces derniers et le bureau de perception des frais académiques.
Quand bien même l’affaire serait dans une procédure judiciaire, il est souhaitable, estiment les observateurs, que la communauté des assistants de l’ESU s’offre un prestige collectif de se faire expliquer par le ministre de tutelle « la nouvelle citoyenneté, dans le contexte de la Révolution de la modernité ».
Ceci est d’autant impérieux que la question de la relève académique qui se pose avec acuité, nécessite une génération d’assistants vertueux.
Les étudiants disent non à la spoliation de terrain à l’A.B.A
A l’Académie des Beaux-Arts (A.B.A), les étudiants s’inscrivent en faux contre la spoliation de terrain. Point n’est besoin de rappeler que cette institution d’enseignement des arts plastiques est une fierté pour la RD Congo, à l’échelle continentale.
Et, de tout temps, les fruits de l’A.B.A ont été dignes de porter l’étendard de leur alma mater, à travers les pays où il leur a été donné de représenter notamment la mère-patrie.
Pour l’heure, et par rapport à ce mérite qui en rajoute à la renommé de l’établissement, l’A.B.A qui a montré qu’elle a de la valeur à revendre, se doit d’être préservée dans son intégrité, tant physique qu’administrative.
Voilà pourquoi, estiment les observateurs, le ministre de l’ESU ne devrait pas laisser l’A.B.A prendre la direction de la paille. L’ISC/Kin : l’an académique 2013-2014, sous la menace de la grogne sur les primes budgétisées
La grogne à l’ISC/Kin relativement aux primes pourrait poser notamment la question du « Quid de l’autorité financière au sein de l’établissement » : qui engage les entrées et les sorties des fonds, selon un mode de gestion ne prenant pas la banque en appui comme avant ?
Il convient, à cette étape, de préciser que le recours à la banque dans le système de gestion ne dépend guère du bon vouloir des mandataires de l’Etat dans les établissements publics.
Bien au contraire, ce mode de gestion a été dicté en son temps, pour notamment l’efficacité et la transparence. Qui contrôle les effectifs et quelles sont les motivations de rupture d’une gestion bancarisée ?
Tout fait croire que la manigance qui a machiné le départ du comité de gestion sortant aurait apprivoisé l’entrant, au point d’en bousculer des assises, dont notamment la gestion bancarisée.
Pour l’heure, l’Institut doit gérer les acquis du comité sortant, en termes notamment d’ouverture au monde.
Vu sous cet angle, et dans le souci de notamment permettre à la Révolution de la modernité de passer de la parole aux actes, le ministre de tutelle devrait s’impliquer, pour aider le comité de gestion à remettre sur orbite la gestion bancarisée de l’établissement.
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Lepa
l'Avenir
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