9 janvier 2014
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers Congolais authentiques, c’est à vous, mes frères, que je m’adresse !
Avez-vous encore besoin de preuve pour vous convaincre que l’officier de renseignement de l’armée rwandaise, Hyppolite KANAMBE, que vous appelez à tort «Joseph Kabila», et votre «commandant suprême» est plutôt le «Cheval de Troie» que dis-je, le bourreau et le boucher que les ennemis du peuple congolais ont réussi à vous imposer pour démanteler systématiquement notre armée nationale qui constitue à n’en point douter l’outil de défense et d’intégrité de notre territoire ainsi que celui de la souveraineté de notre peuple?
Avez-vous besoin que je vous égraine une fois de plus la très longue et douloureuse liste des braves officiers congolais froidement assassinés à Buluo, à Makala et dans les hôpitaux des camps militaires transformés en mouroirs partout dans le pays?
Ces militaires froidement tués sont des enfants du Congo. Ils ont été formés dans les différents centres de formations militaires de notre pays, et la majorité parmi eux a été se spécialiser dans des brillantes académies militaires à travers le monde au frais du contribuable congolais.
Ces enfants-là pour lesquels notre peuple a tant investi ont été éliminés comme des vulgaires malfrats, et les nombreux cris de pleur et de colère du peuple congolais ont laissé indifférente la Communauté internationale qui hier, avait remué ciel et terre pour des simples rumeurs des prétendus massacres qui se sont révélées faux après enquête.
Et curieusement, la même communauté internationale et les mêmes journalistes des médias occidentaux qui s’étaient montrés hier faussement émus pour le sang de la jeunesse congolaise, ont miraculeusement perdu aujourd’hui toutes leurs vertus morales de compassion et de justice devant une série de massacres barbares et de traitements inhumains des cadavres des jeunes congolais que «Hypolite Kanambe» fait piétiner sauvagement devant les cameras du monde entier.
Souvenez-vous des nombreux crimes de Kanambe restés jusqu’ici impunis :
Souvenez-vous du massacre de Tingi-Tingi qui a coûté la vie à près de deux millions de Congolais,
Souvenez-vous du massacre barbare des centaines de miliciens du MLC en pleine ville de Kinshasa sous la barbe des diplomates et des représentants de la Communauté internationale ;
Souvenez-vous du massacre sauvage de plusieurs centaines d’adeptes de Bundu Dia Kongo dans le Bas-Congo;
Souvenez-vous du massacre odieux des centaines de jeunes Enyele à Mbandaka et au Nord de l’Equateur ;
Souvenez-vous du massacre des centaines de jeunes militants de l’UDPS à Kinshasa suite à leur mécontentement dû au hold-up électoral de Novembre 2011 ;
Souvenez-vous enfin du massacre programmé des centaines de jeunes kinois qualifiés de «Kuluna», et dont les corps ont été abandonnés dans les rues de Kinshasa comme des cadavres de chiens ;
Tous ces massacres qui rivalisent de cruauté et de sauvagerie n’ont jamais abouti à une moindre sanction du principal coupable, Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila », qui les a tous conçus, planifiés et ordonnés.
Le tout dernier spectacle macabre du 30 décembre a battu tous les records du cynisme et de la barbarie des bourreaux du peuple congolais.
Jamais dans l’histoire du Zaïre-Congo indépendant, on a atteint un tel niveau de banalisation du crime et de la sauvagerie ! Des corps de nos enfants, fussent-ils des criminels, méritent un minimum de respect dû à tout être humain.
Mais la télévision de Kinshasa, elle, n’a pas hésité à exhiber des scènes d’images dans lesquelles on voit la soldatesque de «Kabila» piétinant les têtes ensanglantées de nos enfants comme des chasseurs qui s’exhibent avec leurs trophées de chasse lors des safaris.
Vous avez vu les corps dénudés de nos enfants, jetés sans ménagement dans des bennes de camions et filmés sous les regards amusés des badauds! Pendant ce temps, la communauté internationale ferment pudiquement les yeux et se bouchent hypocritement les oreilles.
Comme il est lointain, l’époque où la passionaria Colette Braeckman du journal Le Soir versait des chaudes larmes et ameutait le monde entier pour le « massacre des étudiants congolais» sans disposer d’une moindre preuve !
Comme il est lointain, l’époque où l’ONU lançait un mandat d’arrêt international contre le Président soudanais Omar Béchir malgré ses fonctions officielles de Chef d’Etat !
Oui ! Comme il est lointain, l’époque où l’ONU acceptait de créer au Liban un Tribunal pénal international pour l’assassinat de Rafic Hariri !
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers Congolais authentiques, La solution du drame congolais ne viendra pas de la communauté internationale. Elle viendra de vous, de moi et de tout le peuple congolais.
Et si aujourd’hui je m’adresse à vous, tout au début de cette année 2014, c’est parce que cette fois-ci, c’est votre propre vie qui est plus que jamais en danger.
L’ennemi qui occupe notre pays vient de passer à la vitesse supérieure. Je vous apprends en effet, que le mardi 31 décembre 2013, au lendemain même du dernier massacre du 30 décembre, une messe noire s’est tenue dans la ferme de Kingakati autour d’Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » et son frère Zoé avec quelques membres du Conseil national de Sécurité triés sur le volet.
C’est ce soir-là que fut prise la décision d’exécuter le général John Numbi, le Colonel Mamadou Ndala et le Pasteur Mukungubila.
Mais bien plus, un vaste plan secret a été mis sur pied pour l’élimination systématique, durant l’année 2014, des officiers congolais jugés dangereux, particulièrement ceux originaires des régions de l’Equateur, des deux Kasaï et du Katanga !
Une liste est en train d’être confectionnée dans les officines de la mort sous la haute direction des deux fils d’Adrien Kanambe: Zoé et Hyppolite.
Hier ce fut le général Mbuza Mabe, aujourd’hui c’est le Colonel Mamadou Ndala suivi du Colonel Tendayo assassiné par poison un jour après.
Le peuple congolais a pleuré Mamadou Ndala comme il a pleuré Mbuza Mabe, car ces deux officiers ont payé le prix de leur bravoure pour avoir refusé la compromission avec l’occupant étranger. Ils ont refusé de trahir leur patrie et leur peuple !
Ecoutez donc la voix de leur sang qui crie du fond de leurs tombes et vous interpelle tous aujourd’hui en disant :
«Compagnons d’armes, nos frères, faites que l’ennemi ne piétine pas le sang que nous avons versé. Faites que notre sang mêlé au vôtre forme un fleuve majestueux et une muraille infranchissable le long de nos neufs frontières nationales.
Faites que demain notre sang restaure sa dignité à la femme congolaise afin qu’elle ne soit plus jamais l’objet d’humiliation, de honte et de souffrance.
Faites que demain notre sang redresse le front de la jeunesse congolaise et lui rende sa fierté et sa souveraineté perdues».
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers congolais authentiques,
Le Temps est donc grave. Mettez vos familles à l’abri et levez-vous pour la patrie. Unissez-vous tous au-delà de vos divergences et libérez-vous du danger qui vous guette.
Si vous n’avez pas répondu hier au cri d’angoisse de votre peuple, levez-vous cette fois-ci pour sauver au moins vos propres vies, celle de vos femmes et de vos enfants.
Car demain il sera trop tard pour vous, pour notre peuple et pour des générations à venir!
Pour terminer, je vous invite à bien considérer cette assertion très profonde de Nelson Mandela qui, comme vous le savez tous, n’a pas hésité à affronter les menaces de mort des puissances intérieures et extérieures qui écrasaient son peuple. Il a dit, je le cite:
«J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de la peur, mais la capacité de la vaincre»! (Fin de citation)
Que Dieu vous donne cette capacité de vaincre la peur et qu’il bénisse le peuple congolais et son armée !
Je vous remercie !
Paris , le 8 Janvier 2014
Honoré NGBANDA NZAMBO KO ATUMBA
Président national de l’APARECO
___________
IKAZE IWACU
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers Congolais authentiques, c’est à vous, mes frères, que je m’adresse !
Avez-vous encore besoin de preuve pour vous convaincre que l’officier de renseignement de l’armée rwandaise, Hyppolite KANAMBE, que vous appelez à tort «Joseph Kabila», et votre «commandant suprême» est plutôt le «Cheval de Troie» que dis-je, le bourreau et le boucher que les ennemis du peuple congolais ont réussi à vous imposer pour démanteler systématiquement notre armée nationale qui constitue à n’en point douter l’outil de défense et d’intégrité de notre territoire ainsi que celui de la souveraineté de notre peuple?
Avez-vous besoin que je vous égraine une fois de plus la très longue et douloureuse liste des braves officiers congolais froidement assassinés à Buluo, à Makala et dans les hôpitaux des camps militaires transformés en mouroirs partout dans le pays?
Ces militaires froidement tués sont des enfants du Congo. Ils ont été formés dans les différents centres de formations militaires de notre pays, et la majorité parmi eux a été se spécialiser dans des brillantes académies militaires à travers le monde au frais du contribuable congolais.
Ces enfants-là pour lesquels notre peuple a tant investi ont été éliminés comme des vulgaires malfrats, et les nombreux cris de pleur et de colère du peuple congolais ont laissé indifférente la Communauté internationale qui hier, avait remué ciel et terre pour des simples rumeurs des prétendus massacres qui se sont révélées faux après enquête.
Et curieusement, la même communauté internationale et les mêmes journalistes des médias occidentaux qui s’étaient montrés hier faussement émus pour le sang de la jeunesse congolaise, ont miraculeusement perdu aujourd’hui toutes leurs vertus morales de compassion et de justice devant une série de massacres barbares et de traitements inhumains des cadavres des jeunes congolais que «Hypolite Kanambe» fait piétiner sauvagement devant les cameras du monde entier.
Souvenez-vous des nombreux crimes de Kanambe restés jusqu’ici impunis :
Souvenez-vous du massacre de Tingi-Tingi qui a coûté la vie à près de deux millions de Congolais,
Souvenez-vous du massacre barbare des centaines de miliciens du MLC en pleine ville de Kinshasa sous la barbe des diplomates et des représentants de la Communauté internationale ;
Souvenez-vous du massacre sauvage de plusieurs centaines d’adeptes de Bundu Dia Kongo dans le Bas-Congo;
Souvenez-vous du massacre odieux des centaines de jeunes Enyele à Mbandaka et au Nord de l’Equateur ;
Souvenez-vous du massacre des centaines de jeunes militants de l’UDPS à Kinshasa suite à leur mécontentement dû au hold-up électoral de Novembre 2011 ;
Souvenez-vous enfin du massacre programmé des centaines de jeunes kinois qualifiés de «Kuluna», et dont les corps ont été abandonnés dans les rues de Kinshasa comme des cadavres de chiens ;
Tous ces massacres qui rivalisent de cruauté et de sauvagerie n’ont jamais abouti à une moindre sanction du principal coupable, Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila », qui les a tous conçus, planifiés et ordonnés.
Le tout dernier spectacle macabre du 30 décembre a battu tous les records du cynisme et de la barbarie des bourreaux du peuple congolais.
Jamais dans l’histoire du Zaïre-Congo indépendant, on a atteint un tel niveau de banalisation du crime et de la sauvagerie ! Des corps de nos enfants, fussent-ils des criminels, méritent un minimum de respect dû à tout être humain.
Mais la télévision de Kinshasa, elle, n’a pas hésité à exhiber des scènes d’images dans lesquelles on voit la soldatesque de «Kabila» piétinant les têtes ensanglantées de nos enfants comme des chasseurs qui s’exhibent avec leurs trophées de chasse lors des safaris.
Vous avez vu les corps dénudés de nos enfants, jetés sans ménagement dans des bennes de camions et filmés sous les regards amusés des badauds! Pendant ce temps, la communauté internationale ferment pudiquement les yeux et se bouchent hypocritement les oreilles.
Comme il est lointain, l’époque où la passionaria Colette Braeckman du journal Le Soir versait des chaudes larmes et ameutait le monde entier pour le « massacre des étudiants congolais» sans disposer d’une moindre preuve !
Comme il est lointain, l’époque où l’ONU lançait un mandat d’arrêt international contre le Président soudanais Omar Béchir malgré ses fonctions officielles de Chef d’Etat !
Oui ! Comme il est lointain, l’époque où l’ONU acceptait de créer au Liban un Tribunal pénal international pour l’assassinat de Rafic Hariri !
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers Congolais authentiques, La solution du drame congolais ne viendra pas de la communauté internationale. Elle viendra de vous, de moi et de tout le peuple congolais.
Et si aujourd’hui je m’adresse à vous, tout au début de cette année 2014, c’est parce que cette fois-ci, c’est votre propre vie qui est plus que jamais en danger.
L’ennemi qui occupe notre pays vient de passer à la vitesse supérieure. Je vous apprends en effet, que le mardi 31 décembre 2013, au lendemain même du dernier massacre du 30 décembre, une messe noire s’est tenue dans la ferme de Kingakati autour d’Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila » et son frère Zoé avec quelques membres du Conseil national de Sécurité triés sur le volet.
C’est ce soir-là que fut prise la décision d’exécuter le général John Numbi, le Colonel Mamadou Ndala et le Pasteur Mukungubila.
Mais bien plus, un vaste plan secret a été mis sur pied pour l’élimination systématique, durant l’année 2014, des officiers congolais jugés dangereux, particulièrement ceux originaires des régions de l’Equateur, des deux Kasaï et du Katanga !
Une liste est en train d’être confectionnée dans les officines de la mort sous la haute direction des deux fils d’Adrien Kanambe: Zoé et Hyppolite.
Hier ce fut le général Mbuza Mabe, aujourd’hui c’est le Colonel Mamadou Ndala suivi du Colonel Tendayo assassiné par poison un jour après.
Le peuple congolais a pleuré Mamadou Ndala comme il a pleuré Mbuza Mabe, car ces deux officiers ont payé le prix de leur bravoure pour avoir refusé la compromission avec l’occupant étranger. Ils ont refusé de trahir leur patrie et leur peuple !
Ecoutez donc la voix de leur sang qui crie du fond de leurs tombes et vous interpelle tous aujourd’hui en disant :
«Compagnons d’armes, nos frères, faites que l’ennemi ne piétine pas le sang que nous avons versé. Faites que notre sang mêlé au vôtre forme un fleuve majestueux et une muraille infranchissable le long de nos neufs frontières nationales.
Faites que demain notre sang restaure sa dignité à la femme congolaise afin qu’elle ne soit plus jamais l’objet d’humiliation, de honte et de souffrance.
Faites que demain notre sang redresse le front de la jeunesse congolaise et lui rende sa fierté et sa souveraineté perdues».
Généraux, Officiers, Sous-officiers, Caporaux, Soldats et Policiers congolais authentiques,
Le Temps est donc grave. Mettez vos familles à l’abri et levez-vous pour la patrie. Unissez-vous tous au-delà de vos divergences et libérez-vous du danger qui vous guette.
Si vous n’avez pas répondu hier au cri d’angoisse de votre peuple, levez-vous cette fois-ci pour sauver au moins vos propres vies, celle de vos femmes et de vos enfants.
Car demain il sera trop tard pour vous, pour notre peuple et pour des générations à venir!
Pour terminer, je vous invite à bien considérer cette assertion très profonde de Nelson Mandela qui, comme vous le savez tous, n’a pas hésité à affronter les menaces de mort des puissances intérieures et extérieures qui écrasaient son peuple. Il a dit, je le cite:
«J’ai appris que le courage n’est pas l’absence de la peur, mais la capacité de la vaincre»! (Fin de citation)
Que Dieu vous donne cette capacité de vaincre la peur et qu’il bénisse le peuple congolais et son armée !
Je vous remercie !
Paris , le 8 Janvier 2014
Honoré NGBANDA NZAMBO KO ATUMBA
Président national de l’APARECO
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IKAZE IWACU
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