Le magazine Forbes vient de le confirmer, l’imposteur qui se fait appeler « Joseph Kabila » est désormais multimilliardaire! Les congolais doivent le prendre dorénavant pour acquis.
Et les millions de congolais qui vivent avec moins d’un dollar par jour ont désormais tout le loisir d’apprécier l’activité favorite à laquelle s’adonne Hyppolite Kanambe durant les treize années qu’il a malencontreusement passé à la tête des institutions de la RD-Congo.
En dehors de jouer à la Play station, il a consacré son temps à piller et à s’enrichir au détriment des congolais. Cette annonce n’a pourtant rien de bien étonnant pour les observateurs avertis de la situation politique et économique de la RDC.
Des nombreux articles de l’APARECO aux différents rapports de l’ONU ou de certaines ONG laissaient largement présager que l’ampleur exceptionnelle du pillage et du bradage des ressources de la RD-Congo auxquelles se livrent Kanambe et ses nombreux complices ne pouvaient que l’enrichir au-delà du scandale.
La récente révélation on ne peut plus accablante et révoltante faite par Mr Al Gore, ancien vice-président des Etats-Unis d’Amérique, au sujet des millions de terres arables de la RD-Congo vendus à vil prix par « Kabila », ne fait que confirmer sa frénésie à vite brader, tel un cambrioleur, les fruits de ses larcins dans notre pays.
Mais malheureusement, ce kadogo rwandais arrivé en RD-Congo en bottes de jardinier dans le sillage de l’AFDL, a pris conscience ces derniers temps que son aventure dans notre pays est en train de virer lentement mais surement au cauchemar. Chaque jour qui passe, il se demande s’il pourra réellement jouir un jour de ce pactole vertigineux.
Bien mal acquis ne profite jamais !
Comme tous les malfrats qui ont bâti leur fortune sur des divers crimes de trafic de drogues, de matières précieuses, de fausses monnaies, de détournement de deniers publics….etc, Hyppolite Kanambe, l’ancien kadogo rwandais, sait que son immense fortune de plus de quinze milliards de dollars acquises en treize années seulement est tachée du sang des fils et filles de la RD-Congo.
En plus, il sait surtout que ceux qui l’ont fait «roi du Congo» afin qu’il leur assure aussi leur part de butin issu de ce crime organisé ont décidé de lui tourner le dos.
Alors qu’il y a à peine quelques années il était le chouchou, aujourd’hui ses soutiens le considèrent comme une épine à leur pied.
Et, comme si les nombreuses déclarations de mise en garde et de désamour auxquelles se livrent les ambassadeurs des pays occidentaux à l’endroit de « Kabila » ne suffisaient pas, voilà que le Président américain, Barak Obama, vient de lui brandir, la menace de la saisie des fonds qu’il a soigneusement dissimulés dans différents paradis fiscaux. A moins qu’il ne quitte sagement le pouvoir à la fin de son mandat en 2016.
Question : que compte faire les Etats-Unis de la fortune du peuple congolais au cas où Hyppolite Kanambe acceptait (ce qui est improbable) de quitter le pouvoir ?
Cette sorte de marchandage ou de chantage avec Kanambe autour d’une fortune constituée sur le dos des contribuables congolais parait pour le moins incongrue car elle heurte tous les principes fondamentaux de la morale.
Qui peut imaginer, un seul instant qu’un nouveau gouvernement véritablement congolais et respectueux des droits de ses compatriotes puisse faire «cadeau» au voleur et pilleur qui a amassé à lui tout seul plusieurs milliards de dollars appartenant au trésor public congolais ?
Voilà pourquoi les complices occidentaux de Kanambe envisagent déjà des manœuvres discrètes et des tractations pour lui trouver un successeur devant lui garantir la possibilité de profiter paisiblement des fruits de son pillage en RD-Congo.
Selon certaines fuites, la communauté internationale travaillerait donc déjà sur ce schéma pour que le remplaçant de « Kabila » à la tête du pays soit l’un de ses complices prêt à le couvrir. Suivez mon regard…
Une chose est certaine, une telle hypothèse irait à l’encontre des intérêts du peuple congolais qui ne se laissera pas faire. « Kabila » est définitivement dans une impasse, il est pris dans un étau qui se resserre inexorablement sur lui.
Aujourd’hui, malgré la fortune amassée, il vit terré comme un rat à Kingakati où il passe ses nerfs sur ses collabos congolais. Ceux-là pour qui il n’a d’ailleurs jamais eu que du mépris et à qui il en veut parce qu’ils peinent tellement à lui trouver le stratagème miracle qui lui garantira un mandat présidentiel « ad vitam aeternam »à la tête de la RD-Congo.
Et même si, au vu des pressions qui s’exercent sur lui , son régime ressemble à un Titanic qui coule, Kanambe continue de s’accrocher au pouvoir. Et malheur aux collabos qui seraient tentés de quitter le navire avant le naufrage collectif!
Sale temps pour les collabos : malmenés et humiliés par «Kabila»
d’un côté, traqués et harcelés par les combattants de l’autre !
Les échos venant de Kinshasa font état du rififi au sein de la classe politique autour de la mangeoire de la kanambie. La rédaction de L’œil du Patriote est inondée d’appels signalant chaque jour les nombreux déboires des collabos congolais à Kingakati comme à Kinshasa.
Il y a quelques semaines, Evariste Boshab, las d’être mis à l’écart et frustré de ne plus avoir les faveurs du raïs, a eu la malencontreuse idée de se rendre auprès de celui-ci pour lui présenter « sa démission ». Mal lui en a pris.
En guise de réponse, il a été sauvagement molesté par «Zoé Kabila». Et lorsque quelques jours plus tard il s’est rendu à l’aéroport pour tenter de quitter le pays, il s’est vu signifier une interdiction de quitter le territoire avec comme commentaire « tokokufa biso nyoso awa » (ndlr: nous allons tous mourir ici).
Jeudi dernier ce sont deux procureurs qui s’étaient eux aussi rendus dans la tanière du Rais (Kingakati) et qui en sont repartis traumatisés après avoir reçus des claques et autres coups de la part de l’imposteur rwandais.
Du côté de l’armée, beaucoup de militaires et policiers congolais ne sont pas mieux lotis et vivent eux aussi une véritable humiliation.
Dans la ville de Kinshasa où se déroulent désormais des patrouilles dites « mixtes » pour permettre aux milliers de militaires étrangers de surveiller nuitamment la ville, les officiers et militaires congolais dont les armes sont dépourvues de munitions, sont utilisées uniquement pour servir d’éclaireurs et de guides aux officiers et militaires étrangers rwandais, tanzaniens et sud africains.
Et lors d’une de leurs rondes nocturnes, les occupants particulièrement arrogants ont pris l’habitude d’obliger les militaires congolais à patrouiller certains secteurs à pied pendant qu’eux restent confortablement assis dans les véhicules.
La tension est donc montée dernièrement car certains congolais commencent à refuser d’accepter cette énième humiliation, obligeant les occupants à revenir sur leur décision.
Néanmoins, pour les militaires congolais, les faits sont désormais clairs, Kanambe qui se dit « congolais » ne se sent en sécurité que lorsqu’il est entouré des militaires rwandais, tanzaniens et autres.
Par contre, les militaires congolais sont désormais traités comme ses ennemis potentiels et tenus à l’œil par leurs collègues étrangers.
Pour preuve, Kanambe a donné des instructions pour que dans son entourage immédiat les congolais ne soient pas armés ou alors qu’ils n’aient droit qu’à des chargeurs à moitié vide.
Ailleurs, au sein des « services » envahis par des agents rwandais, la mangeoire a de plus en plus un gout amer pour les collabos. Désormais, les tentatives d’intimidation y sont devenues récurrentes.
Certains responsables congolais ont régulièrement droit à des assignations à résidence impromptues suivies de fouilles en règle de leurs habitations selon le bon vouloir de Kanambe.
Croyant pouvoir trouver un peu de répit à l’extérieur du pays, deux collabos qui voulaient se donner du bon temps, l’un au Canada et l’autre en France, ont cru leur dernière heure arrivée.
L’un des collabos Senateur et ancien vice President de la CENI, Monsieur Jacques Ndjoli pour ne pas le citer,a senti le sol se dérober sous ses pieds lorsque il s’est en effet trouvé nez à nez avec le combattant Odon Mbo à Bobigny dans le nord de Paris il y a 3 jours.
Complètement paniqué, il s’est mis à crier au secours à tue-tête et les policiers qui se trouvaient à proximité lui ont porté secours. De son côté, Aubin Minaku en déplacement au Canada dans le cadre de la Francophonie, a eu droit à un « comité d’accueil » très spécial composé des combattants du Canada surnommées les «Fourmis rouges».https://www.youtube.com/watch?v=yZZKWkri_Cw.
Les membres de sa délégation et lui se sont retrouvés coincés à l’hôtel sans pouvoir en sortir alors qu’ils étaient attendus ailleurs dans le cadre de leur mission.
Enfin, une autre collabo paie actuellement très cher le fruit de sa trahison. Olive Lembe, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, continue à lutter contre le poison qui la ronge.
Elle multiplie pour cela des voyages à l’est du pays non pas pour aller compatir aux souffrances des congolais victimes de son mari, mais plutôt pour aller chercher auprès de certains Bami du Kivu, l’antidote miracle qui arriverait peut-être à la sauver.
On l’a également vu à Kisangani, bizarrement toute de blanc vêtue, aux obsèques de l’un de ses proches, comme si elle se rendait à un mariage. Constamment triste et humiliée par Kanambe (ce dernier ne porte d’ailleurs jamais sa bague d’alliance) qui la délaisse ouvertement pour la fille de Monsieur Rugwiza, sa vraie épouse rwandaise.
Sa vie ressemble désormais à un supplice, et son mariage, … à une descente aux enfers. Elle n’est plus que l’ombre d’elle-même.
Même si le discours de la libération semble ne pas encore intéresser la plus part de collabos, leurs déboires commencent maintenant à les enseigner. Il n’est donc pas trop tard pour eux de rejoindre la résistance. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement.
Paris le 10 juillet 2014
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Candide OKEKE
L’ŒIL DU PATRIOTE
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