Tout pouvoir sans contrôle rend évidemment fou, les exemples sont légions… Prenons l’exemple de l’actuel président de la RDC. Ce garçon n’était pas préparé à assumer une telle fonction. Il est arrivé comme un cheveu dans la soupe de la RDC. Son parcours politique quasiment inexistant dans le sérail politique congolais fait de lui un forçat en quête d’une reconnaissance publique et d’un amour impossible avec le peuple congolais. Un bandit reste un bandit malgré la fonction et la notoriété. La conduite de l’ambassadeur de la RDC à Paris illustre à merveille les turpitudes d’un voyou converti en diplomate. Après avoir été chauffeur livreur dans la banlieue parisienne, celui-ci s’illustre avec des méthodes dignes d’une série B américaine de mauvais goût. Ils vivent en pleine confusion mentale, confondant le pouvoir inhérent à une fonction et le droit divin à disposer des autres. Je suis un lanceur de mots et la lapidation médiatique est un devoir de citoyen pour mettre fin à cette dérive dictatoriale. N’ayons pas peur des mots, appelons un chat, un chat et un bandit, un bandit
Myra Ndjoku
Myra Ndjoku
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