Tel est pris qui croyait prendre, pourrait-on dire de l’ONU et de la France dans leur jeu morbide et inconséquent en passe de leur éclater à la gueule. Le retour à Libreville de M. Mba Obame qui selon les indiscrétions relatées dans le film "France-Afrique" de Patrick Benguet, serait le véritable gagnant des dernières élections gabonaises qui ont vu consacrer le fils Bongo, et sa prestation de serment comme président de la république gabonaise dans la journée du 25 janvier 2011 vont poser de sérieux problèmes à la soi-disant communauté internationale. En sus il faut tenir compte du peuple tunisien qui refuse les manigances françaises visant à garder le anciens du régime Ben Ali, maîtres du gouvernement de transition, et les troubles qui sur secouent l’Egypte.
On dit souvent que celui qui s’amuse à mettre la main aux fesses des autres, court le risque de ramener la merde. Cet adage semble bien aller à la France qui après la Côte d’Ivoire, la Tunisie, et maintenant le Gabon, le Togo, et la Guinée jouant les réservistes en plein échauffement pour le moment, le Sénégal, le Bénin, le Cameroun étant quant à eux sur les bancs, risque de passer de mauvais moments sur le continent.
Effet d’avalanche ou boule de neige la France est en train de prendre un coup de froid sous le soleil africain et comme de prémonition l’hiver dans l’hexagone est dur mettant à rude épreuve le pays par des blocages causés dans les transports et autres.
On se croirait revenu dans les années 90, sauf que cette fois-ci une donne semble avoir changé les Africains devront aller jusqu’au bout de leur revendication et ne plus accepter que des soi-disant opposants adoubés par les pouvoirs préfectoraux installés par la France, prennent les devants pour aller à de quelconques négociations.
Sarkozy lui-même dans la conférence de presse pour sa prise de présidence du G8/G20 a dit que l’on ne négociait pas avec les hors-la-loi.
A le prendre au mot, le décor est planté, et tous ceux qui sont hors-la-loi dans leur pays c’est-à-dire dans des situations contraires à la volonté des peuples des-dits pays, peuvent commencer à trembler, car ils n’auront plus droit à répit ni cadeau. Le mot d’ordre devra être surtout "ne pas baisser les bras devant quiconque" ; les peuples africains doivent devenir souverains chez eux, et être les premiers bénéficiaires des ressources tant matérielles qu’humaines de leurs pays.
Le peuple ivoirien a montré depuis 2002 sa détermination, les Tunisiens viennent de confirmer qu’il faut balayer et qu’il est impossible de faire du neuf avec du vieux, surtout lorsque ce vieux est avarié. Les Gabonais vont surement emboiter le pas.
En effet après avoir prêté serment ce 25 janvier 2011, à son retour sur le territoire gabonais, Mba Obame a engagé un bras de fer qui semble être un os ou plutôt une arête de poisson logée dans la gorge de l’ONU et du marionnettiste en chef qu’est la France qui doit se creuser les méninges et se demander quelle mouche est en train de piquer l’Afrique.
« On est venu pour déposer la lettre à M. Ban Ki-moon (secrétaire général de l’ONU, ndlr). On attend ici (sa) réponse. Mais les militants et nous ne partirons pas tant que nous n’avons pas une réponse claire », a affirmé ce mercredi 26 janvier M. Mba Obame. S’exprimant depuis le siège de l’ONU à Libreville, à travers les grilles d’enceinte des lieux où la presse n’avait pas le droit de pénétrer, il dit : « Il (Ali Bongo) va partir. Il va partir comme Ben Ali (président tunisien déchu par une révolte populaire, ndlr). La révolution gabonaise est en marche », avant d’ajouter : « Nous avons des objectifs, dont celui de se faire reconnaître par la communauté internationale et lui signaler la nouvelle donne au Gabon. Nous attendons la réaction, nous nous organiserons en fonction ».
Une cinquantaine de ses militants attendaient devant le bâtiment alors que des policiers étaient à distance respectueuse de l’enceinte.
M. Mba Obame a affirmé qu’il quitterait les locaux de l’ONU dès la réponse obtenue et de conclure : « La peur n’est pas du côté où vous croyez (...). Ce ne sont pas les endroits (de réunion) qui manquent…, …d’autant que le Premier ministre, le gouvernement (parallèles, ndlr) et moi, ca ne fait que 20 personnes. C’est plus facile à loger que les 40 personnes du gouvernement d’en face ».
A Paris les réunions de crises doivent être devenues une routine ces derniers jours, et le Sarkozy doit se demander ce qu’il a fait à Dieu pour hériter de ce soulèvement. Ce n’est que tout bonnement le début de la fin de l’escroquerie et de l’imposture de la France qui a depuis des siècles pris le parti, avec la complicité de ses nègres d’affamer les Africains pendant qu’elle se gavait de ses ressources avec en prime les insultes et le mépris affichés envers les Africains.
KamtRâ A. A. 2486
On dit souvent que celui qui s’amuse à mettre la main aux fesses des autres, court le risque de ramener la merde. Cet adage semble bien aller à la France qui après la Côte d’Ivoire, la Tunisie, et maintenant le Gabon, le Togo, et la Guinée jouant les réservistes en plein échauffement pour le moment, le Sénégal, le Bénin, le Cameroun étant quant à eux sur les bancs, risque de passer de mauvais moments sur le continent.
Effet d’avalanche ou boule de neige la France est en train de prendre un coup de froid sous le soleil africain et comme de prémonition l’hiver dans l’hexagone est dur mettant à rude épreuve le pays par des blocages causés dans les transports et autres.
On se croirait revenu dans les années 90, sauf que cette fois-ci une donne semble avoir changé les Africains devront aller jusqu’au bout de leur revendication et ne plus accepter que des soi-disant opposants adoubés par les pouvoirs préfectoraux installés par la France, prennent les devants pour aller à de quelconques négociations.
Sarkozy lui-même dans la conférence de presse pour sa prise de présidence du G8/G20 a dit que l’on ne négociait pas avec les hors-la-loi.
A le prendre au mot, le décor est planté, et tous ceux qui sont hors-la-loi dans leur pays c’est-à-dire dans des situations contraires à la volonté des peuples des-dits pays, peuvent commencer à trembler, car ils n’auront plus droit à répit ni cadeau. Le mot d’ordre devra être surtout "ne pas baisser les bras devant quiconque" ; les peuples africains doivent devenir souverains chez eux, et être les premiers bénéficiaires des ressources tant matérielles qu’humaines de leurs pays.
Le peuple ivoirien a montré depuis 2002 sa détermination, les Tunisiens viennent de confirmer qu’il faut balayer et qu’il est impossible de faire du neuf avec du vieux, surtout lorsque ce vieux est avarié. Les Gabonais vont surement emboiter le pas.
En effet après avoir prêté serment ce 25 janvier 2011, à son retour sur le territoire gabonais, Mba Obame a engagé un bras de fer qui semble être un os ou plutôt une arête de poisson logée dans la gorge de l’ONU et du marionnettiste en chef qu’est la France qui doit se creuser les méninges et se demander quelle mouche est en train de piquer l’Afrique.
« On est venu pour déposer la lettre à M. Ban Ki-moon (secrétaire général de l’ONU, ndlr). On attend ici (sa) réponse. Mais les militants et nous ne partirons pas tant que nous n’avons pas une réponse claire », a affirmé ce mercredi 26 janvier M. Mba Obame. S’exprimant depuis le siège de l’ONU à Libreville, à travers les grilles d’enceinte des lieux où la presse n’avait pas le droit de pénétrer, il dit : « Il (Ali Bongo) va partir. Il va partir comme Ben Ali (président tunisien déchu par une révolte populaire, ndlr). La révolution gabonaise est en marche », avant d’ajouter : « Nous avons des objectifs, dont celui de se faire reconnaître par la communauté internationale et lui signaler la nouvelle donne au Gabon. Nous attendons la réaction, nous nous organiserons en fonction ».
Une cinquantaine de ses militants attendaient devant le bâtiment alors que des policiers étaient à distance respectueuse de l’enceinte.
M. Mba Obame a affirmé qu’il quitterait les locaux de l’ONU dès la réponse obtenue et de conclure : « La peur n’est pas du côté où vous croyez (...). Ce ne sont pas les endroits (de réunion) qui manquent…, …d’autant que le Premier ministre, le gouvernement (parallèles, ndlr) et moi, ca ne fait que 20 personnes. C’est plus facile à loger que les 40 personnes du gouvernement d’en face ».
A Paris les réunions de crises doivent être devenues une routine ces derniers jours, et le Sarkozy doit se demander ce qu’il a fait à Dieu pour hériter de ce soulèvement. Ce n’est que tout bonnement le début de la fin de l’escroquerie et de l’imposture de la France qui a depuis des siècles pris le parti, avec la complicité de ses nègres d’affamer les Africains pendant qu’elle se gavait de ses ressources avec en prime les insultes et le mépris affichés envers les Africains.
KamtRâ A. A. 2486
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