Lundi 25 Juillet 2011
Les planteurs de cacao-café, dans le village de Pinhou, situé à 11 kilomètres de Duékoué, chef-lieu de département sur l’axe Duékoué-Guiglo, sont dépossédés de leurs plantions de cacaoyers et de champs de cultures vivrières par les dozos. Selon un des planteurs expropriés du fruit de leur dur labeur à Pinhou, tous les habitants de ce village lancent un cri du cœur aux Organisations Non Gouvernementales (ONG) et au gouvernement en ces termes: «Les dozos occupent et exploitent illégalement nos forêts, nos jachères sans nous demander. Ils nous interdissent d’aller dans nos propres champs de cultures vivrières pour y récolter ce que nous avons semé.
Ils nous menacent de mort tous les jours. Nous avons faim. Nous vivons dans la terreur et la misère. Beaucoup de nos frères et sœurs ont quitté Pinhou pour des destinations inconnues. Nous attirons l’attention des ONG et du gouvernement sur notre sort. C’est un cri du cœur que nous lançons à toutes les bonnes volontés aussi pour nous venir en aide, pour réduire notre souffrance», a-t-il fait savoir le 21 juillet dernier. Au regard de ce témoignage digne de foi d’un fils du village de Pinhou, nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper que les habitants de ce village vivent dans la terreur, dans la pauvreté et la famine. Le gouvernement est interpellé.
Les planteurs de cacao-café, dans le village de Pinhou, situé à 11 kilomètres de Duékoué, chef-lieu de département sur l’axe Duékoué-Guiglo, sont dépossédés de leurs plantions de cacaoyers et de champs de cultures vivrières par les dozos. Selon un des planteurs expropriés du fruit de leur dur labeur à Pinhou, tous les habitants de ce village lancent un cri du cœur aux Organisations Non Gouvernementales (ONG) et au gouvernement en ces termes: «Les dozos occupent et exploitent illégalement nos forêts, nos jachères sans nous demander. Ils nous interdissent d’aller dans nos propres champs de cultures vivrières pour y récolter ce que nous avons semé.
Ils nous menacent de mort tous les jours. Nous avons faim. Nous vivons dans la terreur et la misère. Beaucoup de nos frères et sœurs ont quitté Pinhou pour des destinations inconnues. Nous attirons l’attention des ONG et du gouvernement sur notre sort. C’est un cri du cœur que nous lançons à toutes les bonnes volontés aussi pour nous venir en aide, pour réduire notre souffrance», a-t-il fait savoir le 21 juillet dernier. Au regard de ce témoignage digne de foi d’un fils du village de Pinhou, nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper que les habitants de ce village vivent dans la terreur, dans la pauvreté et la famine. Le gouvernement est interpellé.
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