le 14 juillet, 2012
Les députés de toutes les circonscriptions électorales des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu exigent du chef de l’Etat, Joseph Kabila, le « changement de toute la chaîne de commandement » des FARDC et de la police.
Une vue des députés nationaux et sénateurs congolais au palais du peuple (siège du parlement), ce 8/12/2010 à Kinshasa.
Les députés de toutes les circonscriptions électorales des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu exigent du chef de l’Etat, Joseph Kabila, le « changement de toute la chaîne de commandement » des FARDC et de la police.
Au cours d’une déclaration publique vendredi 13 juillet, ces députés ont exprimé leur consternation face à la situation « préoccupante, critique et dramatique » qu’endure la population du Nord Kivu cause des divers groupes armés, dont le M23.
Pour le doyen du caucus parlementaire des députés nationaux du Nord Kivu, Konde-Vila-Kikanda, il faut que Joseph Kabila change les chaînes de commandement de tous es services de sécurité responsables de la débâcle actuelle dans les Kivu.
Ces députés demandent aussi au gouvernement de déposer plainte contre le Rwanda auprès du Conseil de sécurité des Nations unies, « afin qu’il cesse de servir de terrain de conception, de financement, de recrutement et de base arrière du M23 et de tout autre mouvement de déstabilisation de la RDC ».
Aux cours et tribunaux, ces députés demandent de « poursuivre et sanctionner les acteurs politiques et autres leaders présumés auteurs de trahison et de complicité avec les ennemis ».
Enfin, le caucus de députés demande à la Monusco d’appliquer « réellement le chapitre 7 de la charte des Nations unies » relative à la protection de la population civile.
Radiookapi.netPour le doyen du caucus parlementaire des députés nationaux du Nord Kivu, Konde-Vila-Kikanda, il faut que Joseph Kabila change les chaînes de commandement de tous es services de sécurité responsables de la débâcle actuelle dans les Kivu.
Ces députés demandent aussi au gouvernement de déposer plainte contre le Rwanda auprès du Conseil de sécurité des Nations unies, « afin qu’il cesse de servir de terrain de conception, de financement, de recrutement et de base arrière du M23 et de tout autre mouvement de déstabilisation de la RDC ».
Aux cours et tribunaux, ces députés demandent de « poursuivre et sanctionner les acteurs politiques et autres leaders présumés auteurs de trahison et de complicité avec les ennemis ».
Enfin, le caucus de députés demande à la Monusco d’appliquer « réellement le chapitre 7 de la charte des Nations unies » relative à la protection de la population civile.
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