18 novembre, 2012
Près d'un demi-million de personnes ont été déplacées par les combats entre les FARDC et les rebelles du M23 depuis le mois d'avril.
Mais le M23 n'a pas l'intention d'entrer la ville, a affirmé l'un de ses porte-paroles, tandis qu'officiels congolais et personnels des Nations Unies sont évacués.
Selon une source humanitaire occidentale, des officiers de l'armée congolaise ont commencé de partir par bateaux vers Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu, distante d'environ 80 km au sud de Goma.
Après quatre jours de combats jamais les rebelles ne s'étaient aussi approchés de Goma depuis le début de la rébellion en avril.
C'est dans le chef-lieu de la province du Nord-Kivu que se trouve le quartier-général de la mission des opérations des Nations unies dans l'est de la république démocratique du congo.
Le colonel Vianney Kazamara, porte-parole du M23, a affirmé que les rebelles étaient maintenant à 2 km du centre, mais "qu'ils n'avaient pas l'intention de s'emparer de l'aéroport". Le but, a-t-il expliqué est d'affaiblir les Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC).
Les Nations Unies ont déployé environ 6.700 casques bleus dans le Nord-Kivu dont 1400 soldats à Goma et dans sa région. Sa mission est de protéger la population civile.
Près de 750.000 personnes ont fui leurs foyers depuis la rupture de trêve en août dernier entre les rebelles et l'armée congolaise.
Près d'un million d'habitants, dont de nombreux déplacés, vivent à Goma, à la frontière rwandaise.
Le M23 a toujours déclaré n'avoir pas l'intention de s'emparer de la ville.
Ses combattants sont d'anciens insurgés qui avaient été intégrés dans les FARDC. Ils se mutinés parce que selon eux l'accord de mars 2009 n'a pas été respecté par les autorités congolaises.
Le gouvernement de Kinshsasa et un panel d'experts onusiens ont accusé le Rwanda d'apporter son soutien au M23, ce que Kigali a tojours catégoriquement démenti.
Le sous-secrétaire général des Nations Unies chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a déclaré aux journalistes samedi que les rebelles du M23 étaient bien équipés, notamment de système de vision nocturne et de mortiers de 120 mm.
Réunis samedi en session extraordinaire, les membres du conseil de sécurité de l'ONU ont demandé à la rébellion du M23 d'immédiatement mettre fin à leur offensive en direction de Goma.
Le Conseil appelle également à cesser les soutiens étrangers aux rebelles.
BBC news
Près d'un demi-million de personnes ont été déplacées par les combats entre les FARDC et les rebelles du M23 depuis le mois d'avril.
Mais le M23 n'a pas l'intention d'entrer la ville, a affirmé l'un de ses porte-paroles, tandis qu'officiels congolais et personnels des Nations Unies sont évacués.
Selon une source humanitaire occidentale, des officiers de l'armée congolaise ont commencé de partir par bateaux vers Bukavu, chef-lieu du Sud-Kivu, distante d'environ 80 km au sud de Goma.
Après quatre jours de combats jamais les rebelles ne s'étaient aussi approchés de Goma depuis le début de la rébellion en avril.
C'est dans le chef-lieu de la province du Nord-Kivu que se trouve le quartier-général de la mission des opérations des Nations unies dans l'est de la république démocratique du congo.
Le colonel Vianney Kazamara, porte-parole du M23, a affirmé que les rebelles étaient maintenant à 2 km du centre, mais "qu'ils n'avaient pas l'intention de s'emparer de l'aéroport". Le but, a-t-il expliqué est d'affaiblir les Forces armées de la république démocratique du Congo (FARDC).
Les Nations Unies ont déployé environ 6.700 casques bleus dans le Nord-Kivu dont 1400 soldats à Goma et dans sa région. Sa mission est de protéger la population civile.
Près de 750.000 personnes ont fui leurs foyers depuis la rupture de trêve en août dernier entre les rebelles et l'armée congolaise.
Près d'un million d'habitants, dont de nombreux déplacés, vivent à Goma, à la frontière rwandaise.
Le M23 a toujours déclaré n'avoir pas l'intention de s'emparer de la ville.
Ses combattants sont d'anciens insurgés qui avaient été intégrés dans les FARDC. Ils se mutinés parce que selon eux l'accord de mars 2009 n'a pas été respecté par les autorités congolaises.
Le gouvernement de Kinshsasa et un panel d'experts onusiens ont accusé le Rwanda d'apporter son soutien au M23, ce que Kigali a tojours catégoriquement démenti.
Le sous-secrétaire général des Nations Unies chargé des opérations de maintien de la paix, Hervé Ladsous, a déclaré aux journalistes samedi que les rebelles du M23 étaient bien équipés, notamment de système de vision nocturne et de mortiers de 120 mm.
Réunis samedi en session extraordinaire, les membres du conseil de sécurité de l'ONU ont demandé à la rébellion du M23 d'immédiatement mettre fin à leur offensive en direction de Goma.
Le Conseil appelle également à cesser les soutiens étrangers aux rebelles.
L'invité 16/11/2012 : Jean Claude Willame, spécialiste de la région des Grands Lacs
16 novembre, 2012 - 03:26 GMT
RDC: Reprise des hostilités entre l'armée et la rébellion du M23, les combats se déroulent à 30 kilomètres de la capitale provinciale, Goma... les deux camps s'accusent mutuellement d'avoir rompu la trêve qui était en vigueur depuis quelques mois.
Notre invité est Jean Claude Willame, spécialiste de la région des Grands Lacs, il est interrogé par olivier webber
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