mercredi 20 mars 2013

DE L’INTERET DU SUJET
Les connaissances sur les réalités de la RDC par les Politiques et les Observateurs étrangers méritent que les Chercheurs congolais s’en empreignent pour maitriser la perception et la compréhension des réalités congolaises par les premiers et pour apporter une objectivation des faits dominants et des situations critiques en matière de sécurité, de gestion publique, de l’économie et de différents problèmes de société en RDC.
De manière générale dans le discours du Secrétaire d’Etat Adjoint, il est reconnu l’importance de la RDC développée pendant cette dernière décennie dans la politique étrangère des États-Unis et celle d’autres puissances occidentales.
Les connaissances sur les réalités de la RDC par les Politiques et les Observateurs étrangers méritent que les Chercheurs congolais s’en empreignent pour maitriser la perception et la compréhension des réalités congolaises par les premiers et pour apporter une objectivation des faits dominants et des situations critiques en matière de sécurité, de gestion publique, de l’économie et de différents problèmes de société en RDC.
De manière générale dans le discours du Secrétaire d’Etat Adjoint, il est reconnu l’importance de la RDC développée pendant cette dernière décennie dans la politique étrangère des États-Unis et celle d’autres puissances occidentales.
Il ressort aussi que la récurrence des crises et violence dans l’histoire politique de la RDC a bénéficié de l’attention de la communauté internationale et des Nations Unies, de l’Union Européenne, voire même récemment de l’Union Africaine, ainsi que celle des Institutions Financières Internationales.
Il peut être également dégagé du discours de Johnie Carson la nécessité de promouvoir une stabilité durable en RDC et dans la Région pour faire bénéficier la population congolaise, ses voisins et la communauté tout entière de l’important potentiel de la RDC.
A cet effet, les efforts fournis par le Gouvernement congolais doivent être redoublés pour la stabilisation du Pays et l’amélioration de ses relations avec les Pays de la Région, ainsi que pour tirer profit du grand avantage diplomatique, dont il bénéficie actuellement de la part du Congrès américain, de l’Union africaine, de la communauté internationale et du Secrétariat Général des Nations Unies.
Un intérêt particulier réside dans la reconnaissance par le Secrétaire d’Etat Adjoint du courage et de la persévérance du peuple congolais, malgré les problèmes graves auxquels il est confronté.
Il peut être également dégagé du discours de Johnie Carson la nécessité de promouvoir une stabilité durable en RDC et dans la Région pour faire bénéficier la population congolaise, ses voisins et la communauté tout entière de l’important potentiel de la RDC.
A cet effet, les efforts fournis par le Gouvernement congolais doivent être redoublés pour la stabilisation du Pays et l’amélioration de ses relations avec les Pays de la Région, ainsi que pour tirer profit du grand avantage diplomatique, dont il bénéficie actuellement de la part du Congrès américain, de l’Union africaine, de la communauté internationale et du Secrétariat Général des Nations Unies.
Un intérêt particulier réside dans la reconnaissance par le Secrétaire d’Etat Adjoint du courage et de la persévérance du peuple congolais, malgré les problèmes graves auxquels il est confronté.
Ces grandes qualités humaines des Congolais constitue un fond sur lequel le Gouvernement congolais devrait davantage mettre à profit par de reformes concrètes ; à partir duquel la communauté internationale puiserait des raisons à faire mieux qu’aujourd’hui pour faire aboutir cette entreprise de stabilisation de la RDC et avec lequel les Etats voisins devraient continuer à œuvrer sur la voie d’une croissance économique et d’un développement renforcé pour matérialiser ensemble leurs aspirations vers le progrès.
DU CONTEXTE DE L’INITIATIVE DU SECRETAIRE D’ETAT ADJOINT JOHNIE CARSON POUR SON COUP D’APPEL SUR LA SITUATION SECURITAIRE DE LA RDC ET SUR LA STABILITE DE LA REGION.
De puissants lobbies organisés et entretenus à travers le Monde par certains Pays voisins à l’Est de la RDC ont largement contribué à occulter les vraies causes de la dynamique réelle de la conflictualité, dont la RDC a payé le lourd tribut humain et s’est vue imposée le plus grand pillage des ressources et la destruction de sa riche biodiversité.
On peut citer d’abord - les impasses géophysiques causées par l’exigüité territoriale et l’enclavement total de trois Pays voisins (Burundi, Rwanda, Ouganda) mis en mal par une démographie explosive ; - la contigüité de larges zones frontalières de ces Pays avec une RDC dotée de grandes potentialités en ressources naturelles, ce qui suscite convoitises et tentatives de mains mises ; - l’excentricité de ces zones frontalières contigües par rapport aux centres décisionnels et institutionnels de la RDC Ensuite, - les affinités des communautés transfrontalières à grande proximité, sur fond de complicités historiques, d’interdépendances économiques ou commerciales, et de compétitions entre ces communautés pour le contrôle des espaces à relief complexe et inextricable et qui se transforment de temps en temps en espaces critiques, à cause de limites inter- et intracommunautaires souvent mal définies ou trop permissives.
Il a donc été ressenti par les Politiques, Chercheurs et Observateurs intéressés, le besoin de relecture et de nouvelles approches pour la saisie, la compréhension et l’élaboration des nouvelles propositions pour la résolution définitive des conflits récurrents et la stabilisation durable de la RDC et de la Région .
Enfin, il y a lieu de prendre en compte, - la précarité de régimes et le déficit démocratique dans la Région qui commandent des renouements et des dénouements d’alliances entre les régimes en place, suivant les contingences parfois imprévisibles, - mais aussi le rapport de force et les interférences par des faits de Puissances extérieures.
A ces revers et devers politiques et diplomatiques se sont ajoutées d’une part la prédation des Sociétés Multinationales et leurs filiales locales pour l’exploitation illicite de nouveaux minerais à haute portée stratégique, tels que les tantalites, les terres rares, particulièrement les lanthanides et d’autre part le trafic intense d’armes, d’ organes humains ponctué de l’afflux massifs des mercenaires venus de la Corne de l’Afrique, très remarqués par leurs pratiques de violence extrême.
Dans la vision de plus en plus affichée de grandes Puissances et de nombreuses Puissances émergentes, les Pays de Grands Lacs constituent cette Afrique Transocéanique, bien dotée d’immenses réserves de matières premières et lesquelles peuvent amorcer une dynamique économique pouvant servir de corridor marchant et fonctionnel allant de l’Océan Atlantique à l’Océan indien et l’Océan Pacifique.
DU CONTEXTE DE L’INITIATIVE DU SECRETAIRE D’ETAT ADJOINT JOHNIE CARSON POUR SON COUP D’APPEL SUR LA SITUATION SECURITAIRE DE LA RDC ET SUR LA STABILITE DE LA REGION.
De puissants lobbies organisés et entretenus à travers le Monde par certains Pays voisins à l’Est de la RDC ont largement contribué à occulter les vraies causes de la dynamique réelle de la conflictualité, dont la RDC a payé le lourd tribut humain et s’est vue imposée le plus grand pillage des ressources et la destruction de sa riche biodiversité.
On peut citer d’abord - les impasses géophysiques causées par l’exigüité territoriale et l’enclavement total de trois Pays voisins (Burundi, Rwanda, Ouganda) mis en mal par une démographie explosive ; - la contigüité de larges zones frontalières de ces Pays avec une RDC dotée de grandes potentialités en ressources naturelles, ce qui suscite convoitises et tentatives de mains mises ; - l’excentricité de ces zones frontalières contigües par rapport aux centres décisionnels et institutionnels de la RDC Ensuite, - les affinités des communautés transfrontalières à grande proximité, sur fond de complicités historiques, d’interdépendances économiques ou commerciales, et de compétitions entre ces communautés pour le contrôle des espaces à relief complexe et inextricable et qui se transforment de temps en temps en espaces critiques, à cause de limites inter- et intracommunautaires souvent mal définies ou trop permissives.
Il a donc été ressenti par les Politiques, Chercheurs et Observateurs intéressés, le besoin de relecture et de nouvelles approches pour la saisie, la compréhension et l’élaboration des nouvelles propositions pour la résolution définitive des conflits récurrents et la stabilisation durable de la RDC et de la Région .
Enfin, il y a lieu de prendre en compte, - la précarité de régimes et le déficit démocratique dans la Région qui commandent des renouements et des dénouements d’alliances entre les régimes en place, suivant les contingences parfois imprévisibles, - mais aussi le rapport de force et les interférences par des faits de Puissances extérieures.
A ces revers et devers politiques et diplomatiques se sont ajoutées d’une part la prédation des Sociétés Multinationales et leurs filiales locales pour l’exploitation illicite de nouveaux minerais à haute portée stratégique, tels que les tantalites, les terres rares, particulièrement les lanthanides et d’autre part le trafic intense d’armes, d’ organes humains ponctué de l’afflux massifs des mercenaires venus de la Corne de l’Afrique, très remarqués par leurs pratiques de violence extrême.
Dans la vision de plus en plus affichée de grandes Puissances et de nombreuses Puissances émergentes, les Pays de Grands Lacs constituent cette Afrique Transocéanique, bien dotée d’immenses réserves de matières premières et lesquelles peuvent amorcer une dynamique économique pouvant servir de corridor marchant et fonctionnel allant de l’Océan Atlantique à l’Océan indien et l’Océan Pacifique.
D’où la nécessité de stabiliser progressivement et durablement cette Zone à vocation transocéanique pour l’intérêt des Pays concernés et de la Communauté internationale.
De ce point de vue, un couloir aussi stratégique pour les Puissances et aussi déterminant pour le déploiement du Capital international ne peut être compartimenté en petits territoires éclatés, dysfonctionnels et livrés à la stratégie du chaos et de dominos incontrôlés.
A ce sujet, l’allusion faite à l’intervention de la communauté internationale en ex-Yougoslavie et au ex-Soudan n’offrent nullement les mêmes repères historiques comparables avec la partie Est de la RDC, dont les populations ne manifestent aucunement des positions séparatistes, autonomistes et divisionnistes par rapport à l’ensemble de l’identité et intégrité nationales.
De ce point de vue, un couloir aussi stratégique pour les Puissances et aussi déterminant pour le déploiement du Capital international ne peut être compartimenté en petits territoires éclatés, dysfonctionnels et livrés à la stratégie du chaos et de dominos incontrôlés.
A ce sujet, l’allusion faite à l’intervention de la communauté internationale en ex-Yougoslavie et au ex-Soudan n’offrent nullement les mêmes repères historiques comparables avec la partie Est de la RDC, dont les populations ne manifestent aucunement des positions séparatistes, autonomistes et divisionnistes par rapport à l’ensemble de l’identité et intégrité nationales.
Au plus fort d’argument, les minorités communautaires sont plus exposées dans une approche de partition territoriale, même par un recours à la force armée interne ou externe.
Aussi, les allusions faites dans le Discours de Johnie Carson à la bonne gouvernance, à la décentralisation et au respect des droits humains concernent tous les Pays de la Région, bien que l’ampleur soit plus explosive et plus profonde pour les uns et le champ d’action plus large et plus extensif pour les autres.
Le contexte évoqué est principalement celui d’un reclassement de priorités d’action au niveau de la RDC et au niveau de la Communauté Internationale, ce qui ne soustrait à ces deux niveaux les responsabilités dans la remise en état stabilisé de la RDC et dans la contribution plus positive et plus efficace des intervenants extérieurs.
DE LA PRESENTATION DES FAITS EVOQUES ET DES PROPOSITIONS SUGGEREES DANS LE DISCOURS DE JOHNIE CARSON
La présentation de faits
Si les faits de dimension relatifs à l’immense étendue du territoire, au peuplement croissant et à d’énormes potentialités en ressources naturelles de la RDC sont d’une évidence prouvée, le classement d’indices humains et d’infrastructures mérite d’être relativisé, pour ne pas le placer hâtivement parmi les pires au monde et à la lanterne rouge au fond du monde.
En effet, les données savantes de nombreux Organismes internationaux n’utilisent pas les références objectives en développement humain et en carence d’infrastructures selon l’étendue et les données démographiques par rapport a d’autres Pays plus petits et moins performants dans les prestations de la couverture sociale des populations.
Aussi, les allusions faites dans le Discours de Johnie Carson à la bonne gouvernance, à la décentralisation et au respect des droits humains concernent tous les Pays de la Région, bien que l’ampleur soit plus explosive et plus profonde pour les uns et le champ d’action plus large et plus extensif pour les autres.
Le contexte évoqué est principalement celui d’un reclassement de priorités d’action au niveau de la RDC et au niveau de la Communauté Internationale, ce qui ne soustrait à ces deux niveaux les responsabilités dans la remise en état stabilisé de la RDC et dans la contribution plus positive et plus efficace des intervenants extérieurs.
DE LA PRESENTATION DES FAITS EVOQUES ET DES PROPOSITIONS SUGGEREES DANS LE DISCOURS DE JOHNIE CARSON
La présentation de faits
Si les faits de dimension relatifs à l’immense étendue du territoire, au peuplement croissant et à d’énormes potentialités en ressources naturelles de la RDC sont d’une évidence prouvée, le classement d’indices humains et d’infrastructures mérite d’être relativisé, pour ne pas le placer hâtivement parmi les pires au monde et à la lanterne rouge au fond du monde.
En effet, les données savantes de nombreux Organismes internationaux n’utilisent pas les références objectives en développement humain et en carence d’infrastructures selon l’étendue et les données démographiques par rapport a d’autres Pays plus petits et moins performants dans les prestations de la couverture sociale des populations.
Il devrait aussi être pris en compte le fait que la RDC depuis son indépendance est, parmi les Pays, celui qui a porté le gros poids d’une mauvaise décolonisation et d’ une liquidation physique de ses meilleurs leaders nationalistes pendant la guerre froide, d’un désinvestissement organisé à partir de l’Extérieur et d’un pillage de ses ressources par l’Etranger comme aucun autre Etat de la Région, hormis l’Angola et le Soudan.
Nombreux Pays de la Région ont bénéficié et bénéficient encore d’importants apports extérieurs par choix stratégique de grandes Puissances. Par contre, de 1974 à 2000, la RDC n’a obtenu qu’un total de 2 ,288 milliards d’investissements étrangers directs avec un taux d’intérêt exorbitant ayant porté sa dette extérieure à 14 milliards avant sa timide remise et son effacement par ses principaux créanciers. Il y a lieu de noter, par souci d’objectivité, que la moitié de ces investissements étrangers étaient orientée vers les transferts invisibles et destinée aux infrastructures improductives.
Comment aurait-on envisagé, dans ce cas, un déploiement de ses infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et aéroportuaires fort couteuses pour un pays à grande étendue territoriale. D’autant plus que la rigueur imposée par les institutions de Breton Wood pour le remboursement de la dette a totalement plombé toute croissance sur fonds propres.
Dans le secteur de l’Education et celui de la Santé, la RDC a bénéficié entre 1970 et 1980 d’une avantageuse rente de la coopération bilatérale avec nombreux Pays, surtout par l’offre des bourses d’études aux Etudiants pour les deux derniers cycles dans les universités de Pays Occidentaux et Socialistes. Cette rente s’expliquerait surtout par la grande compétition entre les deux blocs pendant la guerre froide, au moment où le contrôle de ressources humaines dans ce grand Pays faisait l’objet d’un grand challenge idéologique.
En dix ans de 1980 à 1990, la RDC réussit à couvrir, en partie, les besoins en personnel enseignant et médical. La fin de la guerre froide a bien refroidi l’assistance dans les deux secteurs avec les conséquences que l’on connaît aujourd’hui.
Nombreux Pays de la Région ont bénéficié et bénéficient encore d’importants apports extérieurs par choix stratégique de grandes Puissances. Par contre, de 1974 à 2000, la RDC n’a obtenu qu’un total de 2 ,288 milliards d’investissements étrangers directs avec un taux d’intérêt exorbitant ayant porté sa dette extérieure à 14 milliards avant sa timide remise et son effacement par ses principaux créanciers. Il y a lieu de noter, par souci d’objectivité, que la moitié de ces investissements étrangers étaient orientée vers les transferts invisibles et destinée aux infrastructures improductives.
Comment aurait-on envisagé, dans ce cas, un déploiement de ses infrastructures routières, ferroviaires, portuaires et aéroportuaires fort couteuses pour un pays à grande étendue territoriale. D’autant plus que la rigueur imposée par les institutions de Breton Wood pour le remboursement de la dette a totalement plombé toute croissance sur fonds propres.
Dans le secteur de l’Education et celui de la Santé, la RDC a bénéficié entre 1970 et 1980 d’une avantageuse rente de la coopération bilatérale avec nombreux Pays, surtout par l’offre des bourses d’études aux Etudiants pour les deux derniers cycles dans les universités de Pays Occidentaux et Socialistes. Cette rente s’expliquerait surtout par la grande compétition entre les deux blocs pendant la guerre froide, au moment où le contrôle de ressources humaines dans ce grand Pays faisait l’objet d’un grand challenge idéologique.
En dix ans de 1980 à 1990, la RDC réussit à couvrir, en partie, les besoins en personnel enseignant et médical. La fin de la guerre froide a bien refroidi l’assistance dans les deux secteurs avec les conséquences que l’on connaît aujourd’hui.
L’eldorado de contrats miniers avec ses pratiques de corruption généralisée et d’incitation à la mauvaise gouvernance des Dirigeants s’est imposé comme un nouveau mode de gouvernance internationale et surtout dominée par des Sociétés Multinationales, leurs filiales ou leurs sociétés-écrans et par la maffia financière internationale.
Comment dans ce cas, peut-on alors prendre la victime pour l’auteur des crimes économiques et de crimes contre l’humanité, comme il en est le cas à l’Est de la RDC et à travers tout le Pays, où le régime concessionnaire et de condominium réapparait avec force comme au début de la colonisation avec les sociétés à charte de l’Etat Indépendant du Congo.
C’est ce qui explique, pour me référer au discours de Johnie Carson, qu’au lieu de vivre dans la paix et la prospérité, la population congolaise a souffert de décennies durant de mauvaise gestion, de corruption, de piètre gouvernance et de troubles sociaux récurrents.
Comment dans ce cas, peut-on alors prendre la victime pour l’auteur des crimes économiques et de crimes contre l’humanité, comme il en est le cas à l’Est de la RDC et à travers tout le Pays, où le régime concessionnaire et de condominium réapparait avec force comme au début de la colonisation avec les sociétés à charte de l’Etat Indépendant du Congo.
C’est ce qui explique, pour me référer au discours de Johnie Carson, qu’au lieu de vivre dans la paix et la prospérité, la population congolaise a souffert de décennies durant de mauvaise gestion, de corruption, de piètre gouvernance et de troubles sociaux récurrents.
Il faudrait avoir le courage et l’objectivité de relever et de reconnaitre que le coût effroyable imposé à la RDC en vies humaines et en destruction économique trouve son explication dans ce fond original du Capital pervers et destructeur en RDC, ainsi que de la mise sous-tutelle de son élite dirigeante .
Il n’y a pas à chercher de travers. Et si Johnie Carson s’étonne avec raison que pendant de nombreuses années, la Communauté Internationale a investi des sommes considérables en RDC, avec bien peu de résultats en retour, il en trouve là la réponse objective.
Mais, à sa question de savoir : « Pourquoi continuerions-nous à le faire quand il y a tant d’autres problèmes tout aussi cruciaux qui demandent notre attention de par le monde ? », la réponse la plus pertinente est qu’on n’accorde pas suffisamment d’attention et d’analyse objective sur cette relation complice et nourricière entre le Créateur dit « Capital International » et sa créature nommée « Etat dégradé ». Dis-moi qui est ton Dieu, je te dirai où loge ton diable !
D’autres faits évoqués dans ce brillant Discours méritent d’être présentés pour leur meilleure compréhension.
Selon les termes même du Discours, il s’git d’abord « du rôle de la communauté internationale appelé moralement, à agir avec plus d’efficacité en RDC pour rompre ce cycle de mort et de souffrance, et trouver des solutions aux autres conséquences de cette violence, notamment les viols et la violence sexuelle inqualifiables perpétrés à l’encontre des femmes et des enfants, les personnes déplacées à l’intérieur de leur pays pour près de deux millions, les quelques 450.000 Congolais contraints de se réfugier dans les pays voisins, et l’absence de sécurité et de prospérité pour pratiquement tout le pays ».
Ensuite, du rôle des Etats Unis pour combattre l’instabilité chronique de la RDC, qui n’est pas sans conséquence pour les intérêts nationaux des États-Unis .
Mais, à sa question de savoir : « Pourquoi continuerions-nous à le faire quand il y a tant d’autres problèmes tout aussi cruciaux qui demandent notre attention de par le monde ? », la réponse la plus pertinente est qu’on n’accorde pas suffisamment d’attention et d’analyse objective sur cette relation complice et nourricière entre le Créateur dit « Capital International » et sa créature nommée « Etat dégradé ». Dis-moi qui est ton Dieu, je te dirai où loge ton diable !
D’autres faits évoqués dans ce brillant Discours méritent d’être présentés pour leur meilleure compréhension.
Selon les termes même du Discours, il s’git d’abord « du rôle de la communauté internationale appelé moralement, à agir avec plus d’efficacité en RDC pour rompre ce cycle de mort et de souffrance, et trouver des solutions aux autres conséquences de cette violence, notamment les viols et la violence sexuelle inqualifiables perpétrés à l’encontre des femmes et des enfants, les personnes déplacées à l’intérieur de leur pays pour près de deux millions, les quelques 450.000 Congolais contraints de se réfugier dans les pays voisins, et l’absence de sécurité et de prospérité pour pratiquement tout le pays ».
Ensuite, du rôle des Etats Unis pour combattre l’instabilité chronique de la RDC, qui n’est pas sans conséquence pour les intérêts nationaux des États-Unis .
Car pousuit-il, si la RDC était plus stable et dotée d’une économie bénéficiant à l’ensemble de la population congolaise, elle pourrait devenir l’un des principaux exportateurs de ressources naturelles, de produits agricoles et un centre de recherche scientifique susceptible de mobiliser d’importants investissements étrangers, notamment en provenance des États-Unis.
Aussi, avec sa grande vaste forêt tropicale, la deuxième au monde, il reste l’un des partenaires essentiels de tout effort mondial de lutte contre le changement climatique, pour la conservation et la protection de notre biodiversité.
Enfin, il y a, selon les propres termes de Johnie Carson, la nécessité d’encourager les réformes mises en place par le Gouvernement Congolais pour accroître la stabilité macroéconomique du Pays et pour renforcer la surveillance et la transparence. Il remarque une avancée remarquable pour l’’inflation en baisse, le PIB en hausse en RDC et il renchérit que personne n’envisage un retour à l’époque de Mobutu, avec son taux d’inflation de 1.000 % par semaine et son billet de Banque d’un milliard de Zaïres, symboles de la dévastation de l’économie du pays, il y a moins de vingt ans.
Il a été également reconnu par Johnie Carson dans son Discours que « la résolution de l’instabilité et d’autres défis en RDC n’a pas bénéficié du même degré de priorité internationale que les cas de la Somalie, du Soudan ou de la Côte d’Ivoire au cours des quatre dernières années. Il ajoute, en même temps, que les Etats Unis ne sont pas restés inactifs face aux défis complexes du Congo, surtout pour tenter de résoudre les causes sous-jacentes de l’instabilité en RDC, comme l’indique la contribution des Etats Unis pour résoudre la crise la plus récente dans la partie Est du Congo.
Il est donc recommandé que le monde déploie d’efforts plus sérieux à l’identification d’une formule qui déboucherait sur une stabilisation durable de la situation en RDC. Et on ne doit plus accepter le statu quo, et moins encore de laisser cette situation de crise en RDC « ad vitam aeternam ».
Les propositions suggérées dans ce Discours de Johnie Carson
Les propositions commencent par un rappel historique des efforts de la Communauté Internationale ayant mis fin au même cycle de violence et d’horreurs dans le conflit de l’ex-Yougoslavie par le biais des Accords de Dayton et à la plus longue guerre civile au ex-Soudan, grâce à l’Accord de paix global négocié par les États membres de l’EGAD et appuyé par les États-Unis, la Norvège et la Grande Bretagne. Cette proposition a fait l’objet d’une controverse dans la plupart des medias congolais et parmi les Observateurs de la scène politique congolaise.
L’intelligence du texte ne laisse aucun doute sur la formulation de cette proposition au sens qui évoquerait l’approche de résolution du conflit en RDC par la balkanisation de l’Etat Congolais, particulièrement de ses provinces de l’Est.
En effet, le crédit de connaissances de Johnie Carson sur les deux cas évoqués de l’Ex-Yougoslavie et de l’ex Soudans ne peut laisser penser qu’un Responsable politique de cette facture ne confonde le cas des populations à l’Est de la RDC avec celui de la volonté des peuples serbes, croates, bosniaques et bien d’autres de retrouver leurs identités nationales et communautaires très longtemps méconnues ou réprimées dans l’ ancien Empire Ottoman, l’ancien Empire Austro-hongrois et la forme résiduelle de l’ex-Yougoslavie socialiste.
De même, les clivages politiques, culturels et historiques entre les populations du Nord Sud et du Sud Soudan ne peuvent être transposés dans le conflit actuel à l’Est de la RDC. Il y a donc lieu de mettre au compte de cette incompréhension, le caractère inachevé d’une pensée en cours dans un discours présenté en un temps limité d’exposition des faits.
Enfin, il y a, selon les propres termes de Johnie Carson, la nécessité d’encourager les réformes mises en place par le Gouvernement Congolais pour accroître la stabilité macroéconomique du Pays et pour renforcer la surveillance et la transparence. Il remarque une avancée remarquable pour l’’inflation en baisse, le PIB en hausse en RDC et il renchérit que personne n’envisage un retour à l’époque de Mobutu, avec son taux d’inflation de 1.000 % par semaine et son billet de Banque d’un milliard de Zaïres, symboles de la dévastation de l’économie du pays, il y a moins de vingt ans.
Il a été également reconnu par Johnie Carson dans son Discours que « la résolution de l’instabilité et d’autres défis en RDC n’a pas bénéficié du même degré de priorité internationale que les cas de la Somalie, du Soudan ou de la Côte d’Ivoire au cours des quatre dernières années. Il ajoute, en même temps, que les Etats Unis ne sont pas restés inactifs face aux défis complexes du Congo, surtout pour tenter de résoudre les causes sous-jacentes de l’instabilité en RDC, comme l’indique la contribution des Etats Unis pour résoudre la crise la plus récente dans la partie Est du Congo.
Il est donc recommandé que le monde déploie d’efforts plus sérieux à l’identification d’une formule qui déboucherait sur une stabilisation durable de la situation en RDC. Et on ne doit plus accepter le statu quo, et moins encore de laisser cette situation de crise en RDC « ad vitam aeternam ».
Les propositions suggérées dans ce Discours de Johnie Carson
Les propositions commencent par un rappel historique des efforts de la Communauté Internationale ayant mis fin au même cycle de violence et d’horreurs dans le conflit de l’ex-Yougoslavie par le biais des Accords de Dayton et à la plus longue guerre civile au ex-Soudan, grâce à l’Accord de paix global négocié par les États membres de l’EGAD et appuyé par les États-Unis, la Norvège et la Grande Bretagne. Cette proposition a fait l’objet d’une controverse dans la plupart des medias congolais et parmi les Observateurs de la scène politique congolaise.
L’intelligence du texte ne laisse aucun doute sur la formulation de cette proposition au sens qui évoquerait l’approche de résolution du conflit en RDC par la balkanisation de l’Etat Congolais, particulièrement de ses provinces de l’Est.
En effet, le crédit de connaissances de Johnie Carson sur les deux cas évoqués de l’Ex-Yougoslavie et de l’ex Soudans ne peut laisser penser qu’un Responsable politique de cette facture ne confonde le cas des populations à l’Est de la RDC avec celui de la volonté des peuples serbes, croates, bosniaques et bien d’autres de retrouver leurs identités nationales et communautaires très longtemps méconnues ou réprimées dans l’ ancien Empire Ottoman, l’ancien Empire Austro-hongrois et la forme résiduelle de l’ex-Yougoslavie socialiste.
De même, les clivages politiques, culturels et historiques entre les populations du Nord Sud et du Sud Soudan ne peuvent être transposés dans le conflit actuel à l’Est de la RDC. Il y a donc lieu de mettre au compte de cette incompréhension, le caractère inachevé d’une pensée en cours dans un discours présenté en un temps limité d’exposition des faits.
L’explicitation de la pensée se trouve dans un passage du discours repris en ces termes : « Il faut maintenant un nouvel effort international dynamique au service de la RDC » et il n’envisage sûrement pas dans sa pensée, cet effort international pour balkanisation de la RDC.
Un terme par ailleurs archaïque par rapport aux nouveaux paradigmes de séparation ou de partition d’Etat souhaitée par les populations concernées à l’issue d’une sécession ou d’une rébellion réussie dans une partie du territoire national.
La charge politique intentionnelle dans l’emploi du terme « balkanisation », dont on fait actuellement recours en RDC, porte sur la volonté d’incriminer le pouvoir en place pour son incapacité à contrôler l’espace territorial dans son intégrité, pour son incompétence à gérer la chose publique et pour illégitimité dans son acception première d’un rejet ou d’une non-reconnaissance de ce pouvoir.
Un terme par ailleurs archaïque par rapport aux nouveaux paradigmes de séparation ou de partition d’Etat souhaitée par les populations concernées à l’issue d’une sécession ou d’une rébellion réussie dans une partie du territoire national.
La charge politique intentionnelle dans l’emploi du terme « balkanisation », dont on fait actuellement recours en RDC, porte sur la volonté d’incriminer le pouvoir en place pour son incapacité à contrôler l’espace territorial dans son intégrité, pour son incompétence à gérer la chose publique et pour illégitimité dans son acception première d’un rejet ou d’une non-reconnaissance de ce pouvoir.
Cela présume donc un désaveu général des populations concernées contre le pouvoir et un point, un trait ! Mais à travers le monde, tout espace d’insécurité ou d’instabilité, appelé « turbilent field » ne constitue pas une zone en voie de « balkanisation » et tous les Etats du Monde, de plus puissants aux plus faibles n’y sont pas épargnés.
L’énoncé de la deuxième proposition du Discours insiste sur la nécessité, pour le Gouvernement de la RDC et pour les Populations congolaises, qui sont les premiers responsables pour relever les défis auxquels ils sont confrontés et que la communauté internationale se devra de compléter ces efforts dans le cadre d’une approche plus pointue et holistique. Il ajoute que cette approche, devra être constituée de quelques éléments, tous interdépendants et tous de même importance.
Il consacre son argumentaire d’abord sur la nécessité de la signature et de la mise en vigueur rapide de l‘Accord-Cadre entre les Pays de la Région des Grands Lacs, sous l’égide des Nations Unies et avec l’appui des Etats – Unis. Cette proposition va dans le sens du Protocole de Non-agression et de la Défense mutuelle repris au chapitre II, Article 5 du Pacte sur la Sécurité, la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs et ratifié par l’ensemble des 11 Pays Membres.
Ensuite, il prône l’ouverture de cet Accord-Cadre à toutes les parties pertinentes – pas uniquement les Pays de la Région, mais aussi les communautés locales des Kivus, la société civile, et un rôle clairement défini pour la communauté internationale et les Institutions Financières Internationales. Il a été également envisagé la recommandation de nommer un envoyé spécial de haut niveau des Nations Unies pour un suivi à long terme sous la surveillance attentive du Conseil de Sécurité et du Secrétaire Général Ban Ki-Moon.
A ce sujet, l’évaluation du rôle et de la force de la Monusco exige la modification du mandat ou de sa structure et l’intégration d’une Brigade Régionale d’Intervention au sein de la Monusco grâce à un action coordonnée et à une utilisation optimale de ressources existantes.
L’énoncé de la deuxième proposition du Discours insiste sur la nécessité, pour le Gouvernement de la RDC et pour les Populations congolaises, qui sont les premiers responsables pour relever les défis auxquels ils sont confrontés et que la communauté internationale se devra de compléter ces efforts dans le cadre d’une approche plus pointue et holistique. Il ajoute que cette approche, devra être constituée de quelques éléments, tous interdépendants et tous de même importance.
Il consacre son argumentaire d’abord sur la nécessité de la signature et de la mise en vigueur rapide de l‘Accord-Cadre entre les Pays de la Région des Grands Lacs, sous l’égide des Nations Unies et avec l’appui des Etats – Unis. Cette proposition va dans le sens du Protocole de Non-agression et de la Défense mutuelle repris au chapitre II, Article 5 du Pacte sur la Sécurité, la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs et ratifié par l’ensemble des 11 Pays Membres.
Ensuite, il prône l’ouverture de cet Accord-Cadre à toutes les parties pertinentes – pas uniquement les Pays de la Région, mais aussi les communautés locales des Kivus, la société civile, et un rôle clairement défini pour la communauté internationale et les Institutions Financières Internationales. Il a été également envisagé la recommandation de nommer un envoyé spécial de haut niveau des Nations Unies pour un suivi à long terme sous la surveillance attentive du Conseil de Sécurité et du Secrétaire Général Ban Ki-Moon.
A ce sujet, l’évaluation du rôle et de la force de la Monusco exige la modification du mandat ou de sa structure et l’intégration d’une Brigade Régionale d’Intervention au sein de la Monusco grâce à un action coordonnée et à une utilisation optimale de ressources existantes.
Il a été soulevé par les medias congolais et une certaine opinion politique congolaise que l’allusion faite aux communautés locales des Kivu dans la proposition de l’Accord-Cadre suscitait un questionnement subtil sur les intentions des acteurs politiques internes et externes.
Pourrait-il s’agir d’une intention à instrumentaliser ces communautés locales pour leurs agendas cachés ou pour les opposer les unes aux autres. Mais, cela ne présume en rien que l’Intervenant soit allé dans ce sens pour les intérêts inavoués des uns et des autres.
Enfin, il insiste sur la nécessité pour le Gouvernement de la RDC de mettre en application des réformes avec une volonté politique et une inclusivité accrues. Et que , l’assistance internationale devrait être tributaire de futurs progrès par le Gouvernement de la RDC sur la voie de la réforme dans la structuration du secteur de la sécurité, du système judiciaire, du processus de démocratisation et de décentralisation dans tout Pays, la solution aux problèmes de bonne gouvernance, de règlement des litiges fonciers, le retour des réfugié, de la protection des communautés minoritaires, de la reforme du processus électoral.
Enfin, il insiste sur la nécessité pour le Gouvernement de la RDC de mettre en application des réformes avec une volonté politique et une inclusivité accrues. Et que , l’assistance internationale devrait être tributaire de futurs progrès par le Gouvernement de la RDC sur la voie de la réforme dans la structuration du secteur de la sécurité, du système judiciaire, du processus de démocratisation et de décentralisation dans tout Pays, la solution aux problèmes de bonne gouvernance, de règlement des litiges fonciers, le retour des réfugié, de la protection des communautés minoritaires, de la reforme du processus électoral.
Cette proposition a donné lieu à plusieurs interprétations sur l’intention profonde du Discours de l’illustre Intervenant, aussi bien du coté de l’opposition que celui du pouvoir en RDC.
Du côté de l’opposition, il a été relevé, selon leur lecture du Discours de l’Intervenant, de la part du gouvernement congolais, un manque de volonté politique pour mener des reformes et un refus à peine voilé d’engager un dialogue politique inclusif.
Du côté de l’opposition, il a été relevé, selon leur lecture du Discours de l’Intervenant, de la part du gouvernement congolais, un manque de volonté politique pour mener des reformes et un refus à peine voilé d’engager un dialogue politique inclusif.
Mais en reprenant les propres termes de l’Intervenant, l’allusion faite « au devoir du Gouvernement Congolais d’étendre les institutions démocratiques dans tout le Pays et de résoudre des problèmes les plus flagrants de gouvernance » et d’améliorer le processus électoral, n’implique pas, à mon sens, l’ouverture d’un dialogue politique.
Il n’ pas été soulevé une quelconque remise en cause de la légitimité du Pouvoir en place ou une mise en doute de la volonté d’opérer de reformes. Bien au contraire, il a été plutôt souligné la nécessité de poursuivre les reformes et d’affirmer l’engagement pour les faire aboutir.
A la limite, l’opposition aurait mieux fait de donner des indications précises sur les obstacles aux reformes en cours et les propositions alternatives. On penserait même qu’’il y a eu, dans l’argumentaire de l’opposition, une réactualisation d’anciens documents élaborés lors de Consultations populaires de 1989-1990 ou les écrits tirés de déclarations politiques de la Conférence Nationale Souveraine de 1991-1992.
A la limite, l’opposition aurait mieux fait de donner des indications précises sur les obstacles aux reformes en cours et les propositions alternatives. On penserait même qu’’il y a eu, dans l’argumentaire de l’opposition, une réactualisation d’anciens documents élaborés lors de Consultations populaires de 1989-1990 ou les écrits tirés de déclarations politiques de la Conférence Nationale Souveraine de 1991-1992.
Du côté de la majorité, il y a manque du feeling pour capitaliser le discours du Secrétaire d’Etat Adjoint livré depuis le 11 février 2013. Elle se livre à un cabrage sur des sujets qui n’ont pas fait l’objet de débats diplomatiques en cours. On donne l’impression d’un débridement et d’’un dépassement par les événements mal décortiqués et mal présenté aux médias et à l’opinion publique.
Encore une fois, les Membres de la majorité et de l’opposition ont tempêté dans un verre d’eau tiède ou écumé selon les gouts des uns et des autres. Conclusion Contrairement aux propos virulents d’un ancien Secrétaire d’Etat Adjoint américain ou d’un ancien Premier Ministre Britannique, parfois pris en relais dans les coulisses des Nations Unies, l’actuel Secrétaire d’Etat Adjoint américain a exprimé la monté en puissance d’une diplomatie américaine « Soft Power » contre celle « Hard Power prônée » pendant les deux dernières décennies aux États-Unis.
Mais, la grande intelligence « Soft Power » de la diplomatie et de la géostratégie américaines a toujours donné des écumes désagréables, lorsqu’on n’accorde pas une attention soutenue aux mots, aux gestes et aux choses, comme le dirait Foucault dans la théorie de langages.
Encore une fois, les Membres de la majorité et de l’opposition ont tempêté dans un verre d’eau tiède ou écumé selon les gouts des uns et des autres. Conclusion Contrairement aux propos virulents d’un ancien Secrétaire d’Etat Adjoint américain ou d’un ancien Premier Ministre Britannique, parfois pris en relais dans les coulisses des Nations Unies, l’actuel Secrétaire d’Etat Adjoint américain a exprimé la monté en puissance d’une diplomatie américaine « Soft Power » contre celle « Hard Power prônée » pendant les deux dernières décennies aux États-Unis.
Mais, la grande intelligence « Soft Power » de la diplomatie et de la géostratégie américaines a toujours donné des écumes désagréables, lorsqu’on n’accorde pas une attention soutenue aux mots, aux gestes et aux choses, comme le dirait Foucault dans la théorie de langages.
Le déploiement intellectuel du Secrétaire d’Etat Adjoint américain Johnie Carson mérite toute l’attention d’analystes et des stratèges intéressés par la crise en RDC et le Conflit dans la Région des Grands Lacs.
lProf. Banyaku Luape Epotu
lProf. Banyaku Luape Epotu
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