mardi 16 avril 2013

COMPLOT CONTRE LA RDC EN TANZANIE


"KABILA" convainc trois Chefs d’Etats de corrompre le Parlement congolais pour modifier la Constitution !



Moïse KATUMBI attendu en Afrique du Sud avec un pactole de 10 millions de dollars pour couvrir l’opération

Décidément, l’imposteur rwandais à la tête des institutions en RDC est déterminé à ne pas lâcher le morceau. Tous les moyens sont bons pour s’accrocher. Quitte à engloutir le patrimoine des contribuables congolais pour réaliser ses fantasmes politiques.

Tenez, ce samedi 13 et dimanche 14 avril, «Joseph KABILA» les a passé en Tanzanie, dans une réunion de travail intense avec trois autres chefs d’Etat: Jacob ZUMA de l’Afrique du Sud, JAKAYA KIKWETE de la Tanzanie et Michael SATA de la Zambie.

Le but de cette messe noire consistait à convaincre ses trois homologues de l’aider à se maintenir au pouvoir à vie à la tête de la République Démocratique du Congo et cela, moyennant des garanties de «récompenses» substantielles pour chacun des partenaires présents à la dite réunion.

Mais avant d’arriver à cette conclusion, «Joseph Kabila» a convaincu ses paires de l’inefficacité des deux autres options qui lui avaient été conseillées par ses «alliés» et complices occidentaux dans le but de contourner la pression de la communauté internationale.

La première option consistait donc à préparer sa sœur jumelle, Jeannette « KABILA », à prendre sa succession, son frère ZOE étant jugé trop «bouillant » et «immature».

Mais malheureusement, selon « KABILA », l’image de sa sœurette Jeannette « KABILA », trop «autoritaire» et «antipathique», ne passera pas auprès des Congolais.

Bien plus, KANAMBE ne souhaite pas personnellement voir sa sœur déjà trop envahissante et soutenue par des lobbies mafieux comme lui prendre sa succession.

La deuxième option est inspirée de l’expérience du président russe Vladimir POUTINE : au cas où la révision de la constitution ne réussirait pas, «KABILA» songe à son Premier ministre MATATA PONYON pour lui succéder, mais pour un mandat seulement avant de lui céder le fauteuil pour deux autres mandats à partir de 2021 jusqu’en 2030!

Mais, «KABILA» n’a pas non plus confiance à son ambitieux Premier ministre qui risque de ne plus vouloir céder le fauteuil.

Ayant ainsi convaincu ses paires de l’incertitude des autres options envisagées pour échapper à la pression de la communauté internationale et des capitales occidentales qui se montrent jusqu’ici intransigeantes sur la nécessité de l’alternance, « Joseph KABILA » a convaincu ses trois complices de la nécessité d’ opérer un passage en force comme il l’a déjà fait plus d’une fois dans le passé.

« Les Congolais crieront comme d’habitude à l’annonce de la décision, mais j’ai des hommes fidèles qui monteront au créneau pour me défendre et mobiliser la foule pour me soutenir. Et il y a l’argent pour ça », a conclu «KABILA» pour rassurer ces interlocuteurs dubitatifs et perplexes.

Il a d’ailleurs été soutenu par le Président Jacob ZUMA qui s’est empressé d’affirmer « bien connaître la classe politique congolaise» (sic) ! La décision fut donc prise à l’unanimité des participants à la réunion.

Toutefois, «KABILA» a fait remarquer à ses homologues qu’il y avait encore un grand obstacle à franchir : le Président du Parlement congolais, Aubin MINAKU, qui jusqu’ici se montre très opposé à toute idée de modifier la constitution.

« KABILA » a même révélé à ses interlocuteurs qu’il avait été contraint de charger son homme de main BOSHAB d’envisager les voies et moyens de le « débarquer» du perchoir pour le remplacer par un président plus « coopérant ».

Mais « KABILA » reconnait que cette opération comporte un grand risque d’augmenter la tension déjà très forte au sein de la classe politique congolaise. Il ne lui reste donc plus que la corruption !

Ainsi, après un long débat houleux, les trois chefs d’Etat ont fini par tomber d’accord sur l’option de la modification de la constitution de la RDC en faveur de «KABILA». Le Président sud-africain a été chargé de diriger l’opération qui consiste à corrompre purement et simplement le Parlement congolais, en commençant par son président et son Bureau.

Une invitation a été immédiatement lancée à Aubin MINAKU, sous couvert du Parlement sud-africain, pour se rendre à Cape Town en Afrique du Sud ce vendredi 19 avril 2013 en compagnie soit du président du groupe de l’opposition au sein du Parlement, soit d’un membre influent de l’Opposition parlementaire.

Par ailleurs, le tout puissant Gouverneur du Katanga, Moïse KATUMBI, précédera jeudi 18 avril le président du parlement congolais en Afrique du Sud avec une enveloppe de 10 Millions de dollars.



L’homme d’affaires indien NAZEN attendu par KAZADI NYEMBWE en Tanzanie

A la marge de cette messe noire se profile toujours l’ombre de la mafia internationale. Ainsi KAZADI NYEMBWE, qui fut le patron de «Joseph KABILA» lors de leur séjour en Tanzanie dans les années 1980 et 1990, a pris part lui aussi à ce complot.

C’est lui qui est en fait le «mentor» de « KABILA » auprès des autorités politiques tanzaniennes. Les «matabiches» passent par lui pour éviter les indiscrétions. Après le départ des invités, il est resté à Dar-es-Salaam pour accueillir le richissime homme d’affaires indien, NAZEN, en provenance de l’Inde avec une importante valise d’argent.

C’est un négociant d’uranium que «Joseph KABILA» trafique avec les pays frappés d’embargo par la communauté internationale. Bien qu’habitant Kinshasa (Téléphone 243-998929049) dans la commune de la Gombe derrière l’Institut National des Arts (INA), cet homme d’affaires indien s’est installé aussi à Lubumbashi au Katanga où il compte parmi les grands exploitants miniers de la région.

Il est un maillon important de la chaîne de la mafia internationale qui soutient l’imposteur rwandais et l’aide à se maintenir au pouvoir avec l’argent du peuple congolais qu’il vole au grand jour !

L’APARECO qui a résolu de se battre aux côtés du peuple congolais pour reconquérir son intégrité territorial et assumer le contrôle total de son patrimoine national, a déployé tous ses réseaux en Zambie et en Tanzanie d’où ses sources bien introduites et bien informées lui ont fourni ces premiers éléments du complot que certains chefs d’Etat d’Afrique ourdissent avec l’imposteur rwandais alias «KABILA» , contre le peuple congolais.



500.000 dollars débloqués pour faire élire KOYAGIALO gouverneur de l’Equateur

C’est dans cette même optique que l’APARECO dénonce une fois de plus la pratique de la corruption érigée en mode de gestion par « KABILA » en République Démocratique du Congo.

Dans la perspective de l’élection du nouveau gouverneur de la province de l’Equateur, le sulfureux pasteur NGOY MULUNDA de la CENI est arrivé à l’Equateur pour annoncer discrètement aux députés provinciaux (toutes tendances confondues) l’arrivée du ministre de l’Intérieur qui est porteur d’une mallette de 500.000 dollars destinés aux députés qui accepteront d’élire le candidat du « raïs » qu’est Louis KOYAGIALO.

Pour ceux qui clament matin et soir la lutte pour la démocratie en RDC, les faits les invitent chaque jour à regarder la réalité en face : la démocratie n’existe pas en RDC qui croule sous l’occupation du pouvoir rwandais qui se maintient par les armes contre le peuple et par la corruption de la grande majorité de la classe politique congolaise corruptible à gré !

Telle est cette triste réalité contre laquelle l’APARECO invite tout le peuple congolais à s’unir pour la combattre.

Paris, le 16 avril 2013
Candide OKEKE

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire