avril 17, 2013
Après les chansons aux paroles obscènes très en vogue au Congo, un autre phénomène a atteint le pays: les actes sexuels publics et filmés. Il suffit, en effet, de se rendre aux Cataractes (au Djoué), ou à Kintelé (Nord de Brazzaville), les dimanches, pour voir des jeunes couples qui se livrent à des scènes d’orgie publique et filmée.
Il semblerait que les jeunes femmes sont payées à 1500 F Cfa, pour accepter de se livrer en spectacle. Elles donnent, ensuite, des interviews, parlant de leurs impressions. Le phénomène draine, de plus en plus, de monde et les vidéos réalisées sont vendues. Il est déjà très répandu au Nigéria et en Côte d’Ivoire.
Le Congo-Brazzaville est en train d’emboiter le pas, si jamais les pouvoirs publics ne réagissent pas pour y mettre un terme. On connaît, déjà, le phénomène de violences domestiques, dont l’inceste, qui indigne les familles. Il y a maintenant l’exhibitionnisme sexuel, véritable menace aux mœurs. Comme quoi, la lutte contre les antivaleurs n’est pas de tout repos.
Bona
Après les chansons aux paroles obscènes très en vogue au Congo, un autre phénomène a atteint le pays: les actes sexuels publics et filmés. Il suffit, en effet, de se rendre aux Cataractes (au Djoué), ou à Kintelé (Nord de Brazzaville), les dimanches, pour voir des jeunes couples qui se livrent à des scènes d’orgie publique et filmée.
Il semblerait que les jeunes femmes sont payées à 1500 F Cfa, pour accepter de se livrer en spectacle. Elles donnent, ensuite, des interviews, parlant de leurs impressions. Le phénomène draine, de plus en plus, de monde et les vidéos réalisées sont vendues. Il est déjà très répandu au Nigéria et en Côte d’Ivoire.
Le Congo-Brazzaville est en train d’emboiter le pas, si jamais les pouvoirs publics ne réagissent pas pour y mettre un terme. On connaît, déjà, le phénomène de violences domestiques, dont l’inceste, qui indigne les familles. Il y a maintenant l’exhibitionnisme sexuel, véritable menace aux mœurs. Comme quoi, la lutte contre les antivaleurs n’est pas de tout repos.
Bona
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