Vendredi, 01 Novembre 2013
Une convention de coopération sur la réhabilitation de quelques écoles de la capitale rd-congolaise vient d’être signé. Ce partenariat entre l’Hôtel de ville de Kinshasa et la commission communautaire française-COCOF de la Wallonie Bruxelles Internationale a été scellé le mercredi 30 octobre dernier au centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa par le secrétaire d’Etat à la Région Bruxelles-Capitale et ministre chargé des relations extérieures dans la COCOF, Rachid Madrane et la ministre provinciale de Kinshasa en charge de l’éducation, Thérèse Olenga.
MATONGE 1
Dans son speech, le ministre bruxellois des relations extérieures a indiqué que cette convention est égalitariste. «Ce n’est pas la COCOF qui va financer exclusivement ces différents projets. Nous sommes au même pied d’égalité que le gouvernement provincial de Kinshasa», a-t-il précisé.
Rachid Madrane a renseigné qu’au total 37 projets à financer sont dans sa gibecière.
Pour lui, son voyage à Kinshasa s’inscrit aussi dans le cadre d’évaluer les différentes possibilités de soutenir les différents projets. Il a fait savoir que cette convention de coopération est renouvelable après une durée triennale.
«Pour les conventions précédentes, nous avons réussi à réhabiliter sept écoles de Kinshasa dont l’école pentecôtiste de Lukunga à Ngaliema. Le coût total de ces différentes réalisations s’élèvent à 3,5 millions d’Euros», a révélé Rachid Madrane. Il a fait savoir que d’autres écoles en état de délabrement sont en cours d’étude en vue de leur réhabilitation.
«Nous sont entrain d’étudier les dossiers des écoles dont le complexe scolaire La base à Matete et aussi celle au camp Tshatshi non seulement pour les réhabiliter mais aussi de les équiper après la réhabilitation», a-t-il soutenu.
Pour cet homme d’Etat de la Région de Bruxelles, ce partenariat vise à scolariser le maximum d’enfants kinois. Il entend par celui-ci initier des échanges des ouvrages et manuels mais aussi des jumelages entre les écoles de Kinshasa et de Bruxelles.
La COCOF n’entend pas se limiter à la réhabilitation des infrastructures scolaires. Rachid Madrane a révélé qu’elle va aussi oeuvrer dans le secteur de la planification familiale.
«Avec le taux natalité élevé ici de 6,3%. Nous voulons travailler au préventif et non au curatif. Nous allons sensibiliser la population d’ici, lui donne l’information sur ce qui est de la planification familiale», a-t-il déclaré.
Par ailleurs, Rachid Madrane a indiqué aussi que la COCOF va soutenir l’entrepreneuriat féminin. «Je fais part à la ministre Inagosi de notre détermination et notre engagement à soutenir l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes filles. Elle m’a écouté avec une attention soutenue. Je crois qu’ensemble nous relèverons ce défi», a fait savoir le ministre bruxellois.
Il est à noter qu’en Rd-Congo, la commission communautaire française –COCOF travaille en synergie avec la maison de laïcité de Kinshasa.
___
DK
Une convention de coopération sur la réhabilitation de quelques écoles de la capitale rd-congolaise vient d’être signé. Ce partenariat entre l’Hôtel de ville de Kinshasa et la commission communautaire française-COCOF de la Wallonie Bruxelles Internationale a été scellé le mercredi 30 octobre dernier au centre Wallonie Bruxelles de Kinshasa par le secrétaire d’Etat à la Région Bruxelles-Capitale et ministre chargé des relations extérieures dans la COCOF, Rachid Madrane et la ministre provinciale de Kinshasa en charge de l’éducation, Thérèse Olenga.
MATONGE 1
Dans son speech, le ministre bruxellois des relations extérieures a indiqué que cette convention est égalitariste. «Ce n’est pas la COCOF qui va financer exclusivement ces différents projets. Nous sommes au même pied d’égalité que le gouvernement provincial de Kinshasa», a-t-il précisé.
Rachid Madrane a renseigné qu’au total 37 projets à financer sont dans sa gibecière.
Pour lui, son voyage à Kinshasa s’inscrit aussi dans le cadre d’évaluer les différentes possibilités de soutenir les différents projets. Il a fait savoir que cette convention de coopération est renouvelable après une durée triennale.
«Pour les conventions précédentes, nous avons réussi à réhabiliter sept écoles de Kinshasa dont l’école pentecôtiste de Lukunga à Ngaliema. Le coût total de ces différentes réalisations s’élèvent à 3,5 millions d’Euros», a révélé Rachid Madrane. Il a fait savoir que d’autres écoles en état de délabrement sont en cours d’étude en vue de leur réhabilitation.
«Nous sont entrain d’étudier les dossiers des écoles dont le complexe scolaire La base à Matete et aussi celle au camp Tshatshi non seulement pour les réhabiliter mais aussi de les équiper après la réhabilitation», a-t-il soutenu.
Pour cet homme d’Etat de la Région de Bruxelles, ce partenariat vise à scolariser le maximum d’enfants kinois. Il entend par celui-ci initier des échanges des ouvrages et manuels mais aussi des jumelages entre les écoles de Kinshasa et de Bruxelles.
La COCOF n’entend pas se limiter à la réhabilitation des infrastructures scolaires. Rachid Madrane a révélé qu’elle va aussi oeuvrer dans le secteur de la planification familiale.
«Avec le taux natalité élevé ici de 6,3%. Nous voulons travailler au préventif et non au curatif. Nous allons sensibiliser la population d’ici, lui donne l’information sur ce qui est de la planification familiale», a-t-il déclaré.
Par ailleurs, Rachid Madrane a indiqué aussi que la COCOF va soutenir l’entrepreneuriat féminin. «Je fais part à la ministre Inagosi de notre détermination et notre engagement à soutenir l’entrepreneuriat des femmes et des jeunes filles. Elle m’a écouté avec une attention soutenue. Je crois qu’ensemble nous relèverons ce défi», a fait savoir le ministre bruxellois.
Il est à noter qu’en Rd-Congo, la commission communautaire française –COCOF travaille en synergie avec la maison de laïcité de Kinshasa.
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DK
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