24 décembre, 2013
Après une garde à vue à la D.g.s.t (Direction générale de la surveillance du territoire), depuis son arrestation le lundi 16 décembre dernier, à la suite d’une fusillade de plus de trois heures entre ses hommes et la force publique, le colonel Marcel Ntsourou a été transféré à la maison d’arrêt, le dimanche 22 décembre.
Avant son transfert, pour couper court aux rumeurs sur sa mort, le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Brazzaville, André Ngakala, a permis aux journalistes de le visiter dans sa cellule de détention provisoire, à la D.g.s.t, le mercredi 18 décembre.
Assis dans un fauteuil de bureau, les mains menottées par derrière, le colonel Ntsourou, vêtu d’un complet jeans bleu avec chemise, avait l’air d’un homme défait, n’ayant plus le courage de fixer les caméras qui le filmaient, pendant une dizaine de minutes.
Ces images sont postées sur Internet.
Après son transfert, le procureur de la République n’a pas encore précisé les chefs d’inculpation qui pèsent sur l’officier supérieur rebelle des F.a.c.
Mais son arrestation, qui s’est faite dans un effroyable bain de sang, ayant occasionné plus d’une trentaine de morts (4 agents de la force publique et plus de 31 jeunes de son groupe armé), expose l’officier à un procès retentissant.
Après une garde à vue à la D.g.s.t (Direction générale de la surveillance du territoire), depuis son arrestation le lundi 16 décembre dernier, à la suite d’une fusillade de plus de trois heures entre ses hommes et la force publique, le colonel Marcel Ntsourou a été transféré à la maison d’arrêt, le dimanche 22 décembre.
Avant son transfert, pour couper court aux rumeurs sur sa mort, le procureur de la République près le tribunal de grande instance de Brazzaville, André Ngakala, a permis aux journalistes de le visiter dans sa cellule de détention provisoire, à la D.g.s.t, le mercredi 18 décembre.
Assis dans un fauteuil de bureau, les mains menottées par derrière, le colonel Ntsourou, vêtu d’un complet jeans bleu avec chemise, avait l’air d’un homme défait, n’ayant plus le courage de fixer les caméras qui le filmaient, pendant une dizaine de minutes.
Ces images sont postées sur Internet.
Après son transfert, le procureur de la République n’a pas encore précisé les chefs d’inculpation qui pèsent sur l’officier supérieur rebelle des F.a.c.
Mais son arrestation, qui s’est faite dans un effroyable bain de sang, ayant occasionné plus d’une trentaine de morts (4 agents de la force publique et plus de 31 jeunes de son groupe armé), expose l’officier à un procès retentissant.
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