dimanche 20 avril 2014

SUD SOUDAN: LE DICTATEUR MUSEVENI ET SES OFFICIERS FERONT BINETÊOT FACE AUX MANDATS D’ARRÊTS DE LA CPI.

20 avril 2014

Le conseil de sécurité de l’ONU étudie l’implication de l’armée ougandaise (UPDF) dans un massacre de civils Nuer dans un camp protégé des Nations Unies dans la ville de Bor dans le Sud Soudan. 

Selon des sources diplomatiques et des groupes de droits de l’homme au Soudan du Sud, l’UPDF qui est la principale force stationnée dans cette ville, a envoyé leurs soldats habillés en civil mais armés jusqu’aux dents et ont attaqué une base de la mission de l’ONU, UNAMISS qui fournit des abris à des milliers de déplacés des civils Nuer.


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L’attaque a été repoussée par les soldats de l’ONU, mais elle a fait plus de 50 morts parmi les civils et des centaines de blessés. 

Le conseil de securité de l’ONU a déclaré que l’attaque est qualifiée d’un crime de guerre, et les suspects sont de l’UPDF et leurs commandants qui comprennent naturellement le commandant en chef, le dictateur Yoweri Museveni. 

Demain une réunion extra- ordinaire du conseil de sécurité de l’ONU doit se réunir pour décider de nouvelles mesures.

Entre temps les forces du Dr Reik Machar ont continué à gagner plus de territoire car Salva Kiir et Museveni font face à des difficultés financières extrêmes pour finacer cette guerre. 

Le groupe de Machar a maintenant des avions de combat, qui lui donnent une puissance supérieure de l’air et ils sont censés avancer sur la ville de Bor à tout moment à partir de maintenant. 

L’attaque sur les réfugiés Nuer par l’UPDF, a été conçue pour tuer les jeunes Nuer, afin que Machar ne les recrute pas dans ses rangs quand il va reprendre la ville de Bor.

Le moral entre l’UPDF / le groupe de KIIR est dit être à un très bas niveau depuis que cette guerre a commencé. 

Pour le moment ils n’ont plus d’argent et Museveni est dit être désespérément à la recherche d’ une voie pour sortir de ce conflit, pour éviter toutes les conséquences qui suivront quand Machar prendra enfin le pouvoir, ce qui est maintenant une question de temps.
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IKAZE IWACU 

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