La guerre qui sévit actuellement dans la province du Kivu et à l'Est du Congo-Zaïre est aussi meurtrière que celle qui a eu lieu au Rwanda (1990-1994) et celle en cours au Burundi depuis Octobre 1993.
La terre du Kivu est de fait, la continuation de celles du Rwanda et du Burundi.
Elle est menée par les Tutsis qui, comme la réalité le démontre désormais, n'aiment pas la cohabitation pacifique et harmonieuse avec les autres ethnies, les autres peuples.
Les Tutsis refusent de cohabiter avec leurs propres compatriotes Hutu dans leurs pays respectifs (Rwanda et Burundi). Ce qui est dramatique et très triste - c'est là l'échec de l'Afrique toute entière.
Les Hutu et les Tutsis ont la même culture (même langue, Kirundi au Burundi, Kinyarwanda au Rwanda; ils pratiquent les mêmes cultes religieux, ils portent les mêmes noms, ils ont les mêmes valeurs matrimoniales et la même couleur de la peau, ils sont Noirs; ils ont les mêmes moeurs et mêmes coutumes, même jusque dans les habitudes et régimes alimentaire; aucune délimitation géographique ne trace les frontières entre le territoire des Hutu et celui des Tutsis. Ils ont donc tout à leur disposition pour avoir une unité nationale solide, incassable; une famille modèle, unie et unique en Afrique.
Mais hélas! quelle chance divine, quelle bénédiction d'Imama, du Dieu Tout puissant qui se gaspille au Rwanda et au Burundi! Qui a inoculé dans cette famille le virus de la haine et de la violence?
C'esl grande question.
Et maintenant, le virus de la haine et de la violence fratricide (deux fardeaux très lourds à porter) est exporté au Congo-Zaïre par les Tutsis, comme chez eux, ils refusent même la cohabitation avec leurs hôtes Zaïrois qui pourtant, les ont bien accueillis en amis (frères et soeurs Africains) aux prises avec des malheurs et difficultés causés par des troubles au Rwanda pendant l'une ou l'autre période difficile de ce pays.
Contre leurs hôtes Zaïrois, les Tutsis ont pris les armes.
Motif avancé: le Parlement Zaïrois, le premier élu au suffrage universel après Novembre 1965, leur a retiré la nationalité que le dictateur Mobutu leur avait octroyé en bloc en 1972 par ordonnance-loi.
Disons en passant que la demande de nationalité dans tous les pays du monde est un acte individuel. A cette époque, le dictateur , étant au sommet de sa dictature, cumulait les fonctions du Chef d'Etat, du Chef de Gouvernement (le poste de Premier Ministre était aboli) et celles du Parlement qui était plus en vacances (6 mois/12) qu'en sessions parlementaires. Je dois rappeler deux faits ici: en 1972, il n'y avait pas que les réfugiés Tutsi au Zaïre.
Il y avait aussi les Angolais, les Soudanais pour ne citer que ceux-ci qui, eux, n'ont pas eu ce privilège.
Le deuxième fait, c'est que Bisengimana Barthélemy (Bébé 69), un Tutsi Rwandais, qui était Directeur du Cabinet du Président Mobutu. C'est sans doute le crayon de Bisengimana qui a préparé l'ordonnance-loi en question.
Déchus de la citoyenneté octroyée en bloc, les Tutsi ont donc déclaré la guerre au Peuple Congolais Zaïrois.
Comme si les institutions de recours (tribunaux et autres instances spécialisées en la matière) n'existaient plus sur cette planète appelée Terre!
Et portant la même loi de 1982 avait offert aux Tutsi la possibilité de faire des demandes de naturalisation individuelles. Mais imbus de leur arrogance, de leur mauvaise foi et de leur mépris, ils ont rejeté l'offre du Parlement. Ce fait vaut la peine d'être rappelé, car il montre clairement que les Tutsi cherchent autres choses que la nationalité.
La guerre qu'ils ont déclenchée trahit leurs visées.
Partout dans cette guerre fratricide, africaine-ment parlant, les génocidaires Tutsi sont présentés à l'opinion publique comme des victimes: tandis que que les vraies victimes, ici les Hutu (du Rwanda et du Burundi) et les peuples du Kivu (Banyanga, Bahunde, Batembo massacrés par les Tutsi au Nord-Kivu; les Babembe, les Bavira, les Bafuliiru, les Balega, les Bashi....fauchés par les Tutsi au Sud-kivu) sont présentés comme des bourreaux.
Les Hutu sont dans cette foulée accusé de génocide. Pour les Zaïrois, plus particulièrement ceux du Kivu, la campagne de leur accoler l'étiquette des génocidaires est déjà lancée dans les médias internationaux qu'au niveau des ONG et certains hautes instances politiques.
Ce qui est très tristre et regrettable dans cette guerre, c'est qu'elle est parvenue à abroger la loi divine: la légitime défense, désormais entachée du vocable génocide.
La gravité de la conspiration contre l'Afrique est entrain d'atteindre le sommet. Ainsi, seule la vie des Tutsi compte, seule la vie des Tutsi a valeur humaine? Celle des autres Hutu, Congolais-Zaïrois, non.
Alors, profitant de son étiquette de victime, le bourreau Tutsi peut tuer comme il veut au Burundi et au Rwanda.
D'octobre 1993 à avril 1994, trois Chefs d'Etat assassinés dont deux démocratiquement élus, à savoir Melchior Ndadaye et Cyprien Ntaryamira du Burundi.
Pour Juvénal Habyarimana du Rwanda, est-ce le fait d'avoir construit et modernisé son pays(aujourd'hui complétement détruit par la guerre) qui lui a couté la vie? Qui sait.
Aux trois présidents, il faut ajouter 5 évêques dont trois Archevêques, le dernier en date étant Mgr MUNZIHIRWA, Archevêque de Bukavu, assassiné le 29 octobre 1996.
Aux 5 Prélats assassinés, il faut ajouter un grand nombre de prêtres et autres membres du clergé massacrés dans cette guerre qui, désormais semble n'être qu'à ses débuts.
Ajoutons que le Front patriotique rwandais (FPR, tutsi) qui accuse les hutu de "génocidaires" n'a jamais remis à la Communauté Internationale, par le biais de la Croix-Rouge comme cela se fait souvent, ou simplement montré au monde un seul prisonnier de guerre.
L'Armée Zaïroise, au contraire en a "présenté une dizaine" tous "membres de l'armée rwandaise" actuelle, celle des Tutsi au pouvoir à Kigali, à la télévivision zaïroise.(voir La Presse, Montréal, 28 Octobre 1996).
Le FPR lui, au contraire, à ses premières victimes de la guerre ne cesse d'ajouter d'autres: massacres des réfugiés dans les camps de Kibeho et de Kanana au Rwanda; dans les camps de Kibumba, Katalé, Birava, Panzi, Unira...au Congo-Zaïre.
Les Tutsi du Burundi ont, eux aussi, un triste record dans les massacres répétés des Hutu en: 1965, 1969, 1972, 1988, 1991 et dès Octobre 1993, l'extermination systématique des Hutu a été mise en cours.
Protégés par la couverture médiatique et bénéficiant toujours de leur étiquette des victimes, les Tutsi sont aujourd'hui à l'oeuvre sur les rives occidentales de la Ruzizi et des lacs Kivu et Tanganyika.
__________
Un Internaute
La terre du Kivu est de fait, la continuation de celles du Rwanda et du Burundi.
Elle est menée par les Tutsis qui, comme la réalité le démontre désormais, n'aiment pas la cohabitation pacifique et harmonieuse avec les autres ethnies, les autres peuples.
Les Tutsis refusent de cohabiter avec leurs propres compatriotes Hutu dans leurs pays respectifs (Rwanda et Burundi). Ce qui est dramatique et très triste - c'est là l'échec de l'Afrique toute entière.
Les Hutu et les Tutsis ont la même culture (même langue, Kirundi au Burundi, Kinyarwanda au Rwanda; ils pratiquent les mêmes cultes religieux, ils portent les mêmes noms, ils ont les mêmes valeurs matrimoniales et la même couleur de la peau, ils sont Noirs; ils ont les mêmes moeurs et mêmes coutumes, même jusque dans les habitudes et régimes alimentaire; aucune délimitation géographique ne trace les frontières entre le territoire des Hutu et celui des Tutsis. Ils ont donc tout à leur disposition pour avoir une unité nationale solide, incassable; une famille modèle, unie et unique en Afrique.
Mais hélas! quelle chance divine, quelle bénédiction d'Imama, du Dieu Tout puissant qui se gaspille au Rwanda et au Burundi! Qui a inoculé dans cette famille le virus de la haine et de la violence?
C'esl grande question.
Et maintenant, le virus de la haine et de la violence fratricide (deux fardeaux très lourds à porter) est exporté au Congo-Zaïre par les Tutsis, comme chez eux, ils refusent même la cohabitation avec leurs hôtes Zaïrois qui pourtant, les ont bien accueillis en amis (frères et soeurs Africains) aux prises avec des malheurs et difficultés causés par des troubles au Rwanda pendant l'une ou l'autre période difficile de ce pays.
Contre leurs hôtes Zaïrois, les Tutsis ont pris les armes.
Motif avancé: le Parlement Zaïrois, le premier élu au suffrage universel après Novembre 1965, leur a retiré la nationalité que le dictateur Mobutu leur avait octroyé en bloc en 1972 par ordonnance-loi.
Disons en passant que la demande de nationalité dans tous les pays du monde est un acte individuel. A cette époque, le dictateur , étant au sommet de sa dictature, cumulait les fonctions du Chef d'Etat, du Chef de Gouvernement (le poste de Premier Ministre était aboli) et celles du Parlement qui était plus en vacances (6 mois/12) qu'en sessions parlementaires. Je dois rappeler deux faits ici: en 1972, il n'y avait pas que les réfugiés Tutsi au Zaïre.
Il y avait aussi les Angolais, les Soudanais pour ne citer que ceux-ci qui, eux, n'ont pas eu ce privilège.
Le deuxième fait, c'est que Bisengimana Barthélemy (Bébé 69), un Tutsi Rwandais, qui était Directeur du Cabinet du Président Mobutu. C'est sans doute le crayon de Bisengimana qui a préparé l'ordonnance-loi en question.
Déchus de la citoyenneté octroyée en bloc, les Tutsi ont donc déclaré la guerre au Peuple Congolais Zaïrois.
Comme si les institutions de recours (tribunaux et autres instances spécialisées en la matière) n'existaient plus sur cette planète appelée Terre!
Et portant la même loi de 1982 avait offert aux Tutsi la possibilité de faire des demandes de naturalisation individuelles. Mais imbus de leur arrogance, de leur mauvaise foi et de leur mépris, ils ont rejeté l'offre du Parlement. Ce fait vaut la peine d'être rappelé, car il montre clairement que les Tutsi cherchent autres choses que la nationalité.
La guerre qu'ils ont déclenchée trahit leurs visées.
Partout dans cette guerre fratricide, africaine-ment parlant, les génocidaires Tutsi sont présentés à l'opinion publique comme des victimes: tandis que que les vraies victimes, ici les Hutu (du Rwanda et du Burundi) et les peuples du Kivu (Banyanga, Bahunde, Batembo massacrés par les Tutsi au Nord-Kivu; les Babembe, les Bavira, les Bafuliiru, les Balega, les Bashi....fauchés par les Tutsi au Sud-kivu) sont présentés comme des bourreaux.
Les Hutu sont dans cette foulée accusé de génocide. Pour les Zaïrois, plus particulièrement ceux du Kivu, la campagne de leur accoler l'étiquette des génocidaires est déjà lancée dans les médias internationaux qu'au niveau des ONG et certains hautes instances politiques.
Ce qui est très tristre et regrettable dans cette guerre, c'est qu'elle est parvenue à abroger la loi divine: la légitime défense, désormais entachée du vocable génocide.
La gravité de la conspiration contre l'Afrique est entrain d'atteindre le sommet. Ainsi, seule la vie des Tutsi compte, seule la vie des Tutsi a valeur humaine? Celle des autres Hutu, Congolais-Zaïrois, non.
Alors, profitant de son étiquette de victime, le bourreau Tutsi peut tuer comme il veut au Burundi et au Rwanda.
D'octobre 1993 à avril 1994, trois Chefs d'Etat assassinés dont deux démocratiquement élus, à savoir Melchior Ndadaye et Cyprien Ntaryamira du Burundi.
Pour Juvénal Habyarimana du Rwanda, est-ce le fait d'avoir construit et modernisé son pays(aujourd'hui complétement détruit par la guerre) qui lui a couté la vie? Qui sait.
Aux trois présidents, il faut ajouter 5 évêques dont trois Archevêques, le dernier en date étant Mgr MUNZIHIRWA, Archevêque de Bukavu, assassiné le 29 octobre 1996.
Aux 5 Prélats assassinés, il faut ajouter un grand nombre de prêtres et autres membres du clergé massacrés dans cette guerre qui, désormais semble n'être qu'à ses débuts.
Ajoutons que le Front patriotique rwandais (FPR, tutsi) qui accuse les hutu de "génocidaires" n'a jamais remis à la Communauté Internationale, par le biais de la Croix-Rouge comme cela se fait souvent, ou simplement montré au monde un seul prisonnier de guerre.
L'Armée Zaïroise, au contraire en a "présenté une dizaine" tous "membres de l'armée rwandaise" actuelle, celle des Tutsi au pouvoir à Kigali, à la télévivision zaïroise.(voir La Presse, Montréal, 28 Octobre 1996).
Le FPR lui, au contraire, à ses premières victimes de la guerre ne cesse d'ajouter d'autres: massacres des réfugiés dans les camps de Kibeho et de Kanana au Rwanda; dans les camps de Kibumba, Katalé, Birava, Panzi, Unira...au Congo-Zaïre.
Les Tutsi du Burundi ont, eux aussi, un triste record dans les massacres répétés des Hutu en: 1965, 1969, 1972, 1988, 1991 et dès Octobre 1993, l'extermination systématique des Hutu a été mise en cours.
Protégés par la couverture médiatique et bénéficiant toujours de leur étiquette des victimes, les Tutsi sont aujourd'hui à l'oeuvre sur les rives occidentales de la Ruzizi et des lacs Kivu et Tanganyika.
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Un Internaute
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