27/03/2015
Massacre - Tuerie a Kinshasa
L'information sur les deux charnières découvertes par les villageois dans la commune de Maluku à Kinshasa se repend de plus en plus dans la capitale congolaise.
Selon des sources contactées dans la partie Est de la ville, les paysans affirment avoir vu, il y a quelques jours deux camions de l’hôtel de ville de Kinshasa rempli des corps en état de décomposition dans la commune de Maluku.
Ces sources affirment que ces corps seraient des victimes de la répression barbare de 19, 20, 21 janvier.
Les Ong de droit de l'homme avaient donné en ce temps un bilan d'au moins 42 morts, plusieurs blessés, de nombreuses arrestations et enlèvements, dénoncés d'ailleurs dans un rapport rédigé par Christopher Ngoy de sauvons la RDC, aujourd'hui détenu injustement dans la prison de Makala.
Avec ces charnières à Maluku, on comprend aujourd'hui les raisons de l'attaque contre Martin Fayulu et certains cadres politiques par la garde Kabila à l’hôpital général de Kinshasa, qui tentaient d'avoir des précisions sur le nombre de morts et blessés dans les morgues de Kinshasa.
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© KongoTimes!
Massacre - Tuerie a Kinshasa
L'information sur les deux charnières découvertes par les villageois dans la commune de Maluku à Kinshasa se repend de plus en plus dans la capitale congolaise.
Selon des sources contactées dans la partie Est de la ville, les paysans affirment avoir vu, il y a quelques jours deux camions de l’hôtel de ville de Kinshasa rempli des corps en état de décomposition dans la commune de Maluku.
Ces sources affirment que ces corps seraient des victimes de la répression barbare de 19, 20, 21 janvier.
Les Ong de droit de l'homme avaient donné en ce temps un bilan d'au moins 42 morts, plusieurs blessés, de nombreuses arrestations et enlèvements, dénoncés d'ailleurs dans un rapport rédigé par Christopher Ngoy de sauvons la RDC, aujourd'hui détenu injustement dans la prison de Makala.
Avec ces charnières à Maluku, on comprend aujourd'hui les raisons de l'attaque contre Martin Fayulu et certains cadres politiques par la garde Kabila à l’hôpital général de Kinshasa, qui tentaient d'avoir des précisions sur le nombre de morts et blessés dans les morgues de Kinshasa.
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