Roger Meece, représentant spécial pour la République démocratique du Congo et chef de la Mission des Nations unies pour la stabilisation en RDC (Monusco).
AFP/GEORGES TAMBA
Dans un communiqué paru le 8 octobre, la mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monusco) rappelle solennellement aux autorités congolaises les obligations qui leur incombent en matière de privation de liberté : droit pour toute personne d’être détenue dans un lieu contrôlé par une autorité judiciaire, droit d’entrer immédiatement en contact avec la famille ou son avocat, droit à l’intégrité physique ainsi qu’à la préservation de sa dignité quel que soit le motif ou la gravité des faits reprochés.
La Monusco demande alors que soient élucidées les circonstances de la mort en détention dans la nuit du 1er au 2 octobre, d’Armand Tungulu Mudiandambu, ce Congolais de la diaspora qui avait lancé des pierres contre le véhicule du président Joseph Kabila à Kinshasa. Armand Tungulu Mudiandambu avait été arrêté le 29 septembre dernier.
Pour la mission onusienne, cette démarche implique une enquête indépendante et impartiale. L’épouse du défunt et les ONG de défense des droits de l’homme ont, pour leur part, déjà demandé une autopsie de la dépouille mortelle dont ils exigent aussi la restitution.
La Monusco demande alors que soient élucidées les circonstances de la mort en détention dans la nuit du 1er au 2 octobre, d’Armand Tungulu Mudiandambu, ce Congolais de la diaspora qui avait lancé des pierres contre le véhicule du président Joseph Kabila à Kinshasa. Armand Tungulu Mudiandambu avait été arrêté le 29 septembre dernier.
Pour la mission onusienne, cette démarche implique une enquête indépendante et impartiale. L’épouse du défunt et les ONG de défense des droits de l’homme ont, pour leur part, déjà demandé une autopsie de la dépouille mortelle dont ils exigent aussi la restitution.
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