Il y a encore peu de détails sur les circonstances de la mort des deux Français. Pas de trace non plus sur l’endroit où se trouvent leurs ravisseurs. Sont-ils toujours vivants ?
Leur rapt n’aura duré que moins de 24 heures et se termine de manière tragique, au cours d'une opération militaire de la garde nationale nigérienne, selon le ministre français de la Défense, Alain Juppé.
Les preneurs d'otages ont pu fuir
Paris reconnaît que des éléments français présents dans la région ont participé à l'opération d'interception des ravisseurs et qu'à la suite de cette opération, les deux otages ont été retrouvés morts. Mais à Niamey comme à Paris, on ne précise pas si les otages ont été tués par leurs ravisseurs ou ont été victimes de tirs des forces déployées pour traquer les preneurs d'otages.
Un communiqué du ministère français de la Défense affirme que quelques ravisseurs ont été neutralisés. Mais selon certaines sources, les preneurs d'otages ont pu fuir, toujours à bord de leur véhicule tout terrain dans lequel ils ont transporté les deux victimes de l'enlèvement.
Leur rapt n’aura duré que moins de 24 heures et se termine de manière tragique, au cours d'une opération militaire de la garde nationale nigérienne, selon le ministre français de la Défense, Alain Juppé.
Les preneurs d'otages ont pu fuir
Paris reconnaît que des éléments français présents dans la région ont participé à l'opération d'interception des ravisseurs et qu'à la suite de cette opération, les deux otages ont été retrouvés morts. Mais à Niamey comme à Paris, on ne précise pas si les otages ont été tués par leurs ravisseurs ou ont été victimes de tirs des forces déployées pour traquer les preneurs d'otages.
Un communiqué du ministère français de la Défense affirme que quelques ravisseurs ont été neutralisés. Mais selon certaines sources, les preneurs d'otages ont pu fuir, toujours à bord de leur véhicule tout terrain dans lequel ils ont transporté les deux victimes de l'enlèvement.
On savait depuis l'enlèvement en avril 2010 de Michel Germaneau que le nord du Niger était devenu une zone dangereuse pour les ressortissants français. L'exécution du travailleur humanitaire en juillet dernier, revendiquée par Aqmi, avait aussi démontré que les terroristes d'al-Qaïda au maghreb islamique ne reculaient devant aucune méthode. Avec l'enlèvement de cinq français travaillant pour Areva et deux africains dans la ville d'Arlit au Niger, chacun a compris que les villes minières, malgré d'importants moyens de protection, n'étaient plus des endroits sûrs pour les étrangers. Désormais, on sait que les ravisseurs peuvent frapper jusqu'au coeur de la capitale Niamey. Les deux jeunes français ont été enlevé dans un restaurant très fréquenté dans le quartier central du plateau. Mais à la différence des précédents kidnapping commis au Niger, on sait aussi que les autorités nigériennes et les soldats français en appui dans la région disposent de capacités de réaction rapide. C'est en effet la première fois que les ravisseurs sont interceptés avant d'avoir pu gagner les refuges situés dans la région semi désertique du Mali. Reste que le prix à payer est très lourd. Paris a réaffirmé ce soir sa détermination à ne pas céder au chantage et à tenir en échec les terroristes. |
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