CRIMES DE GUERRE : EN ATTENDANT LE JOUR DU JUGEMENT DERNIER...

 
Une famille massacrée à Duekoué

Dénonciation par le Journal Français L'HUMANITE des Crimes et génocide commis par Monsieur Allassane Ouattara
Après le journal Français le Nouvel Observateur d'il y a quinze jours,- qui dénonçait les crimes de Ouattara, voici venu le tour du Journal L'Humanité. En effet, l'organe de presse du parti communiste met en exergue les massacres, viols et autres atteintes aux droits de l'homme, commis par les rebelles de Monsieur Allassane Ouattara envers le peuple ivoirien.

Jusqu'à il y a quelques jours, la presse française se taisait face aux exactions et meurtres commis par le second homme fort d'Abidjan, étant entendu que le premier des Ivoiriens est le président Français Nicolas Sarkozy. Sur cette page, et ce dès son ouverture il y a un mois, les pro-Ouattara y viennent me traiter de tous les noms d'oiseaux incompréhensibles, quand ils ne m'intiment pas de me taire, claironnant que je ne suis pas Ivoirienne, que je ne saurais comprendre la complexité de la situation, que Ouattara est le choix des Ivoiriens.

Il me semble que choix ou pas, vote ou pas, il y a des actes de barbarie que l'on ne saurait faire passer sous silence ; il y a des attitudes de brigandage que l'on ne saurait taire ; il s'agit là du travail d'un intellectuel qu'on l'aime ou pas ; qu'il soit Ivoirien ou pas, blanc ou noir...

D'ailleurs, l'intellectuel n'a aucun pouvoir, sinon celui de dénoncer ! Voilà venu le temps des organes français, qui après des mois d'un silence complice, ouvrent le couvercle de cette page nauséabonde de la Côte d'Ivoire, cette page peu glorieuse écrite en lettres de sang dans la mémoire collective de chaque africain, de chaque européen qui se respecte et qui voudrait que le monde, eh bien, le monde trouve d'autres alternatives aux conflits que cette logique implaccable dont a fait preuve Monsieur Allassane Ouattara pour accèder au pouvoir : la guerre ! Courez donc tous acheter L'humanité de ce jour... Et bonne lecture à tous ! Et aux commentaires !

source : Calixthe Beyala