Les bérets rouges favorables à l'ancien président ATT à bord d'environs 10 Pic Up remplis d'hommes armés ont quitté le camp Para de Djicoroni vers 18 heures, avec pour objectif de « finir avec le capitaine Amadou Haya Sanogo et ses éléments», a-t-on appris lundi soir auprès d'un habitant dudit camp.
Les bérets rouges fidèles à ATT décidés à « finir avec le capitaine Amadou Haya Sanogo et ses éléments »
Les bérets rouges favorables à l'ancien président Amadou Toumani Touré (ATT) à bord d'environs 10 Pic Up remplis d'hommes armés ont quitté le camp Para de Djicoroni vers 18 heures, avec pour objectif de « finir avec le capitaine Amadou Haya Sanogo et ses éléments», a-t-on appris lundi soir auprès d'un habitant dudit camp.
Depuis 18 heures, on n'entend que des coups de fusils sporadiques dans la capitale malienne, on voit également quelques militaires en armes de façon isolée dans la ville de Bamako comme des gens qui sont en alerte. A Kati, on entend également des coups de fusils.
Pour l'instant, hormis ces coups de fusils sporadiques, il n'y pas d'affrontement direct. Cependant, selon certaines sources, les militaires de part et d'autre attendent que la nuit avance pour s' affronter afin d'épargner la vie des civils.
« C'est fini. On ne parlera plus du bataillon para de Djicoroni. On va tout écraser ce soir », a fulminé un militaire favorable au capitaine Sanogo, doté d'un pistolet mitrailleur dans la ville de Bamako aux environs de 21 heures.
Xinhua
Les bérets rouges fidèles à ATT décidés à « finir avec le capitaine Amadou Haya Sanogo et ses éléments »
Les bérets rouges favorables à l'ancien président Amadou Toumani Touré (ATT) à bord d'environs 10 Pic Up remplis d'hommes armés ont quitté le camp Para de Djicoroni vers 18 heures, avec pour objectif de « finir avec le capitaine Amadou Haya Sanogo et ses éléments», a-t-on appris lundi soir auprès d'un habitant dudit camp.
Depuis 18 heures, on n'entend que des coups de fusils sporadiques dans la capitale malienne, on voit également quelques militaires en armes de façon isolée dans la ville de Bamako comme des gens qui sont en alerte. A Kati, on entend également des coups de fusils.
Pour l'instant, hormis ces coups de fusils sporadiques, il n'y pas d'affrontement direct. Cependant, selon certaines sources, les militaires de part et d'autre attendent que la nuit avance pour s' affronter afin d'épargner la vie des civils.
« C'est fini. On ne parlera plus du bataillon para de Djicoroni. On va tout écraser ce soir », a fulminé un militaire favorable au capitaine Sanogo, doté d'un pistolet mitrailleur dans la ville de Bamako aux environs de 21 heures.
Xinhua
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