Mercredi, 20 Juin 2012
Les principaux dirigeants de la M23 tous mentionnés dans le rapport final du Groupe d'experts sur la RDC (S/2009/603) comme étant parmi les commandants des FARDC avec un triste record de violations des droits de l'homme sont les suivants d’après la Commission des Droits Humains de l’ONU :
Le Colonel Sultani Makenga, Tueur des Nande et des Hutu de Kiwanja (2008) et de Muramba (2007)
En outre le recrutement et l'utilisation des enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 Novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils - principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de Mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande.
Le colonel Baudouin Ngaruye.
En outre le recrutement et l'utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 Avril 2009, lorsque les FARDC (surtout ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent Zimurinda.
Il est accusé de commanditer les massacres de Kiwanja et de Shalio. Il est également accusé d'avoir recruté et utilisé des enfants. Pour ces raisons, le 1er Décembre 2010, son nom a été inclus dans la «Liste des personnes interdites de voyager et dont les avoirs sont gelés par le Comité des sanctions du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la République Démocratique du Congo.
Le colonel Innocent Kaina.
Il est accusé d'avoir été impliqué dans une série de violations des droits de l'homme y compris les crimes commis en Ituri, province Orientale, en 2004 quand il était - avec Bosco Ntaganda - un membre de Thomas Lubanga Dyilo de l'Union des patriotes congolais (UPC) / Forces patriotique pour la libération du Congo (FPLC).
Arrêté par les autorités de la RDC en Juin 2006, il a été libéré en Janvier 2009, sans procès.
Le général Bosco Ntaganda.
Il a été inculpé par la Cour pénale internationale le 22 Août 2006 pour crimes de guerre, à savoir le recrutement et l'utilisation d'enfants de moins de 15 ans - commis en Ituri, Province Orientale, en 2002-2003, quand il était le chef d’ état-major général adjoint de l'UPC / FPLC.
Le FPLC a été le bras armé de l'UPC créée en Septembre 2001 par Thomas Lubanga Dyilo, qui est récemment devenu la première personne à être condamnée par la CPI (30 ans de prison).
Bosco Ntaganda est cité dans le rapport final du Groupe d'experts sur la RDC (S/2009/603) parmi les commandants des FARDC avec un triste record de violations des droits de l'homme, y compris la responsabilité du commandement, en tant que chef d'état-major du CNDP, dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 Novembre 2008, ainsi que dans le recrutement et l'utilisation des enfants soldats.
Il figure également sur la liste des personnes interdites de voyager et dont les avoirs sont frappés de gel par le Comité des sanctions du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la République démocratique du Congo.
Source : Internet/ Commission des Droits Humains de l’ONU- Genève 19 juin 2012
©Beni-Lubero Online
Les principaux dirigeants de la M23 tous mentionnés dans le rapport final du Groupe d'experts sur la RDC (S/2009/603) comme étant parmi les commandants des FARDC avec un triste record de violations des droits de l'homme sont les suivants d’après la Commission des Droits Humains de l’ONU :
Le Colonel Sultani Makenga, Tueur des Nande et des Hutu de Kiwanja (2008) et de Muramba (2007)
En outre le recrutement et l'utilisation des enfants, des violations attribuées à Makenga comprennent son implication dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 Novembre 2008, lorsque les troupes du CNDP avaient exécuté au moins 67 civils - principalement des jeunes garçons de Kiwanja, au Nord-Kivu, et le massacre de Muramba /Nord-Kivu de Mars 2007 où les troupes des FARDC (ex-Brigade Bravo) avaient exécuté au moins 14 civils Hutu et Nande.
Le colonel Baudouin Ngaruye.
En outre le recrutement et l'utilisation des enfants, il est accusé de violation des droits humains dont le massacre de Shalio/Nord-Kivu du 27 au 30 Avril 2009, lorsque les FARDC (surtout ex-CNDP) avaient massacré au moins 139 réfugiés hutus, FDLR et leurs dépendants. Parmi les victimes, il y avait au moins 40 femmes, dont la plupart avaient été violées et mutilées.
Le colonel Innocent Zimurinda.
Il est accusé de commanditer les massacres de Kiwanja et de Shalio. Il est également accusé d'avoir recruté et utilisé des enfants. Pour ces raisons, le 1er Décembre 2010, son nom a été inclus dans la «Liste des personnes interdites de voyager et dont les avoirs sont gelés par le Comité des sanctions du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la République Démocratique du Congo.
Le colonel Innocent Kaina.
Il est accusé d'avoir été impliqué dans une série de violations des droits de l'homme y compris les crimes commis en Ituri, province Orientale, en 2004 quand il était - avec Bosco Ntaganda - un membre de Thomas Lubanga Dyilo de l'Union des patriotes congolais (UPC) / Forces patriotique pour la libération du Congo (FPLC).
Arrêté par les autorités de la RDC en Juin 2006, il a été libéré en Janvier 2009, sans procès.
Le général Bosco Ntaganda.
Il a été inculpé par la Cour pénale internationale le 22 Août 2006 pour crimes de guerre, à savoir le recrutement et l'utilisation d'enfants de moins de 15 ans - commis en Ituri, Province Orientale, en 2002-2003, quand il était le chef d’ état-major général adjoint de l'UPC / FPLC.
Le FPLC a été le bras armé de l'UPC créée en Septembre 2001 par Thomas Lubanga Dyilo, qui est récemment devenu la première personne à être condamnée par la CPI (30 ans de prison).
Bosco Ntaganda est cité dans le rapport final du Groupe d'experts sur la RDC (S/2009/603) parmi les commandants des FARDC avec un triste record de violations des droits de l'homme, y compris la responsabilité du commandement, en tant que chef d'état-major du CNDP, dans le massacre de Kiwanja du 4 au 5 Novembre 2008, ainsi que dans le recrutement et l'utilisation des enfants soldats.
Il figure également sur la liste des personnes interdites de voyager et dont les avoirs sont frappés de gel par le Comité des sanctions du Conseil de Sécurité de l’ONU sur la République démocratique du Congo.
Source : Internet/ Commission des Droits Humains de l’ONU- Genève 19 juin 2012
©Beni-Lubero Online
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