Lundi, 20 Août 2012
Le Congo n’a jamais été aussi mobilisé. Gouvernement, Parlement, hommes d’églises, Ongs de droit de l’homme, bref toute la société civile congolaise, avec eux la population, pour dire non à la guerre à l’Est du pays qui, pratiquement, est devenu un fonds de commerce pour ses agresseurs et leurs laquais.
Si le Rwanda a, longtemps, très longtemps, attiré l’attention de la Communauté internationale sur le génocide de quelques 800.000 tutsis et hutus modérés, les Congolais ont plus à brandir, soit plus de 5 millions de mort depuis les années 1997 à ce jour.
A cela il faut ajouter les viols et autres exactions commis par les armées d’agression et leurs marionnettes. Cette fois, les congolaises, au premier rang desquelles les Femmes Députées, ont décidé de porter l’affaire devant le Conseil de Sécurité de l’Onu et ce, dans le cadre de la diplomatie parlementaire lancée par le Président de la Chambre basse du parlement, l’Honorable Minaku Ndjalandjoko Aubin.
C’est donc dans cette offensive que le Speaker de l’Assemblée nationale a invité, la semaine dernière, les Ambassadeurs de cinq pays membres du Conseil de Sécurité de l’Onu au Palais du peuple.
Objectif, échanger avec une délégation de femmes parlementaires sur les atrocités que commet le M23 dans la partie Est de la République.
A l’occasion, les femmes Députés ont remis, aux Ambassadeurs de cinq pays membres pays du Conseil de Sécurité basés à Kinshasa, notamment la Chine, les USA, la France, la Grande Bretagne et la Russie, un mémorandum dans lequel elles dénoncent les atrocités dont la population congolaise est victime à la suite des exactions commises par les rebelles du M 23 et d’autres forces négatives au Nord-Kivu.
Outre la dénonciation, les femmes élues du peuple reprennent, dans leur mémo, des recommandations pertinentes visant, non seulement à mettre fin à la guerre, mais également, à condamner de manière formelle le Rwanda pour son soutien au M23.
Dans leur réplique, les Ambassadeurs de cinq pays membres permanents du Conseil de Sécurité de l’Onu ont exprimé leur ferme volonté de soutenir la démarche initiée par le Caucus de femmes parlementaires, avant de réaffirmer le soutien de leurs pays respectifs à la RD-Congo pour le retour de la paix dans tout l’Est du pays.
Déterminées à porter leur voix au loin, le caucus de femmes prévoit, dans un avenir proche, de se rendre dans plusieurs pays membres de l’Onu pour soutenir un lobbying au niveau le plus élevé afin d’obtenir gain de cause. Ce que femme veut, Dieu le veut, dit un adage !
Le Congo n’a jamais été aussi mobilisé. Gouvernement, Parlement, hommes d’églises, Ongs de droit de l’homme, bref toute la société civile congolaise, avec eux la population, pour dire non à la guerre à l’Est du pays qui, pratiquement, est devenu un fonds de commerce pour ses agresseurs et leurs laquais.
Si le Rwanda a, longtemps, très longtemps, attiré l’attention de la Communauté internationale sur le génocide de quelques 800.000 tutsis et hutus modérés, les Congolais ont plus à brandir, soit plus de 5 millions de mort depuis les années 1997 à ce jour.
A cela il faut ajouter les viols et autres exactions commis par les armées d’agression et leurs marionnettes. Cette fois, les congolaises, au premier rang desquelles les Femmes Députées, ont décidé de porter l’affaire devant le Conseil de Sécurité de l’Onu et ce, dans le cadre de la diplomatie parlementaire lancée par le Président de la Chambre basse du parlement, l’Honorable Minaku Ndjalandjoko Aubin.
C’est donc dans cette offensive que le Speaker de l’Assemblée nationale a invité, la semaine dernière, les Ambassadeurs de cinq pays membres du Conseil de Sécurité de l’Onu au Palais du peuple.
Objectif, échanger avec une délégation de femmes parlementaires sur les atrocités que commet le M23 dans la partie Est de la République.
A l’occasion, les femmes Députés ont remis, aux Ambassadeurs de cinq pays membres pays du Conseil de Sécurité basés à Kinshasa, notamment la Chine, les USA, la France, la Grande Bretagne et la Russie, un mémorandum dans lequel elles dénoncent les atrocités dont la population congolaise est victime à la suite des exactions commises par les rebelles du M 23 et d’autres forces négatives au Nord-Kivu.
Outre la dénonciation, les femmes élues du peuple reprennent, dans leur mémo, des recommandations pertinentes visant, non seulement à mettre fin à la guerre, mais également, à condamner de manière formelle le Rwanda pour son soutien au M23.
Dans leur réplique, les Ambassadeurs de cinq pays membres permanents du Conseil de Sécurité de l’Onu ont exprimé leur ferme volonté de soutenir la démarche initiée par le Caucus de femmes parlementaires, avant de réaffirmer le soutien de leurs pays respectifs à la RD-Congo pour le retour de la paix dans tout l’Est du pays.
Déterminées à porter leur voix au loin, le caucus de femmes prévoit, dans un avenir proche, de se rendre dans plusieurs pays membres de l’Onu pour soutenir un lobbying au niveau le plus élevé afin d’obtenir gain de cause. Ce que femme veut, Dieu le veut, dit un adage !
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