07/01/2013
Traité de Nice - Pages des signatures du 26 février 2001
Les combattants ont un devoir de veiller sur le destin de leur pays.
Le sort du Congo dépend en grand partie de son peuple qui est en même temps souverain et non à un groupe d’individu ambitieux se permettant de représenter un peuple sans son mandat dans les officines qui élaborent le dispatching du pays de Lumumba.
La République Démocratique du Congo (RDC) sera un jour dirigé par ceux-là qui ont dans leur esprit l’intérêt supérieur de la nation avant toute chose.
Depuis l’agression de la République Démocratique du Congo par les armées coalisées ougando-rwandaise, la plupart de Congolais luttent ardemment pour se débarrasser de l’ennemi extérieur qui, au fil du temps, a réussi à s’enraciner en implantant ses tentacules dans toutes les sphères politiques, économiques, sécuritaires et administratives de l’Etat congolais.
Au moment où ce combat pour la libération de ce pays commence à prendre corps et forme, quel n’est pas l étonnement de ces mêmes Congolais d’apprendre la nouvelle qui leur est tombé comme un couperet de la trahison de certains leaders qui a priori luttent pour la même cause qu’eux ?
N’eût été l’efficacité des réseaux de renseignement de l’Apareco, tous les efforts consentis pendant des années seraient noyés dans l’océan de l’oubli pour ne laisser aucune trace dans l’histoire de la résistance congolaise. Car l’expérience humaine démontre souvent que le mal finit toujours par étouffer le bienfait.
En effet, le « Traité de Nice » que l’œil de patriote de l’Apareco vient de publier en date du 06 janvier 2013, à en croire son auteur, se définit comme un « contrat léonin » signé d’une part, par les « frères hospitaliers » appartenant à un courant « ésotérique », d’autre part par un groupe d’intellectuels Congolais réunis au sein du fameux « Conseil National Congolais ».
L’objectif de ce Traité de Nice à travers son contenu, démontre objectivement la spoliation de l’espace vital (terrestre, maritime, humain) congolais au profit d’un groupe maffieux européen sous la bannière des « frères hospitaliers ».
Soutenir une telle logique cachant un dessein sournois du démembrement du territoire congolais remet indubitativement en cause le concept « intellectuel » puisque sa fonction revêt toujours un caractère critique.
Il suffit de se référer au procès de Dreyfus qui eut lieu en France du 19ème siècle pour en saisir son sens. Alors pourquoi ces intellectuels Congolais de pacotilles, marionnettes, opportunistes s’amusent à sacrifier toute une nation, tout un peuple déjà exsangue avec l’apport des étrangers ?
S’agit-il de chercher leur salut terrestre enfermé dans le bonheur éphémère ou tout simplement accomplir la volonté des puissances maffieuses qui leur servent de rempart pour atteindre à tout prix le pouvoir exécutif ?
Quel est alors la place du peuple Congolais qui contribue depuis des décennies avec son maigre moyen à la libération de son pays ?
Par conséquent, le Traité de Nice se rapporte à d’autres accords antérieurs qui ont failli décapiter l’Etat congolais, lesquels ont souvent vu le sang congolais offert comme breuvage sur l’autel du culte ésotérique des lois secrètes de la nature. A titre illustratif :
1. La Sécession katangaise déclarée le 11 juillet 1960 par Moïse Tshombe. Il sera soutenu discrètement par la Belgique. Et les katangais naïfs de l’époque l’ont soutenu sans savoir les tenants et les aboutissants de cet accord,
2. La sécession du Sud-Kasaï quelques jours seulement avant la proclamation formelle de l’indépendance par Albert Kalonji. La campagne militaire pour reprendre le contrôle du Sud-Kasaï avait duré quatre mois faisant des milliers de victimes. Il y a toujours du sang sur la route qui mène à la course au pouvoir très souvent en R D Congo,
3. MBUMBA Nathanaël avec son FLNC, le « Front de Libération National du Congo » du 18 juin 1968 soutenu par les Portugais, avait comme objectif de redonner aux katangais et plus particulièrement aux Lunda. (Voir L’Odyssée des Tigres Katangais par Jean-Pierre Sonck)
Cependant, il est donc impérieux de savoir que ces genres de Congolais existent dans l’échiquier national depuis longtemps. C’a toujours été le « remake » de contrats que signaient les chefs coutumiers à l’époque de Léopold II où ils vendaient le territoire à cause d’un sac du sel alors cette cession regorgeait des minerais (diamant, or, cobalt, zinc, etc…).
Malgré le spectacle déshonorant que ces indignes de la république offrent au peuple Congolais par leur cupidité sans vergogne, les Congolais conscients du danger de la survie de la R D Congo comme Etat et des intérêts partisans de brebis égarées, doivent en revanche, se liguer comme une seule personne dans une figuration anthropocentrique.
Celle-ci les amènera à la cohésion nationale en vue de l’assaut final de sa libération. En outre, l’apport libération qui leur est demandé est en réalité une sorte d’indépendance financière et économique du Congo de demain car une R D Congo libérée par ses propres fils, elle sera respectée, crainte pour dynamiser plusieurs aspects nationaux et régionaux de l’Afrique.
Mais le financement que le FMI (Fond Monétaire International), BM (Banque mondiale), BIRD (Banque Internationale de la Reconstruction et du Développement) octroient aux pays en voie de développement, dépossède les peuples du Sud de leur capacité du redressement économique.
C’est dire que ce sont de contrats léonins remboursables à des taux d’intérêts exorbitant dont les Congolais victimes du viol de l’imaginaire ne sauront en saisir les enjeux.
Pour terminer, les combattants ont un devoir de veiller sur le destin de leur pays. Le sort du Congo dépend en grand partie de son peuple qui est en même temps souverain et non à un groupe d’individu ambitieux se permettant de représenter un peuple sans son mandat dans les officines qui élaborent le dispatching du pays de Lumumba.
La R D Congo sera un jour dirigé par ceux-là qui ont dans leur esprit l’intérêt supérieur de la nation avant toute chose.
Wendy MAHAKITA
© KongoTimes
Traité de Nice - Pages des signatures du 26 février 2001
Les combattants ont un devoir de veiller sur le destin de leur pays.
Le sort du Congo dépend en grand partie de son peuple qui est en même temps souverain et non à un groupe d’individu ambitieux se permettant de représenter un peuple sans son mandat dans les officines qui élaborent le dispatching du pays de Lumumba.
La République Démocratique du Congo (RDC) sera un jour dirigé par ceux-là qui ont dans leur esprit l’intérêt supérieur de la nation avant toute chose.
Depuis l’agression de la République Démocratique du Congo par les armées coalisées ougando-rwandaise, la plupart de Congolais luttent ardemment pour se débarrasser de l’ennemi extérieur qui, au fil du temps, a réussi à s’enraciner en implantant ses tentacules dans toutes les sphères politiques, économiques, sécuritaires et administratives de l’Etat congolais.
Au moment où ce combat pour la libération de ce pays commence à prendre corps et forme, quel n’est pas l étonnement de ces mêmes Congolais d’apprendre la nouvelle qui leur est tombé comme un couperet de la trahison de certains leaders qui a priori luttent pour la même cause qu’eux ?
N’eût été l’efficacité des réseaux de renseignement de l’Apareco, tous les efforts consentis pendant des années seraient noyés dans l’océan de l’oubli pour ne laisser aucune trace dans l’histoire de la résistance congolaise. Car l’expérience humaine démontre souvent que le mal finit toujours par étouffer le bienfait.
En effet, le « Traité de Nice » que l’œil de patriote de l’Apareco vient de publier en date du 06 janvier 2013, à en croire son auteur, se définit comme un « contrat léonin » signé d’une part, par les « frères hospitaliers » appartenant à un courant « ésotérique », d’autre part par un groupe d’intellectuels Congolais réunis au sein du fameux « Conseil National Congolais ».
L’objectif de ce Traité de Nice à travers son contenu, démontre objectivement la spoliation de l’espace vital (terrestre, maritime, humain) congolais au profit d’un groupe maffieux européen sous la bannière des « frères hospitaliers ».
Soutenir une telle logique cachant un dessein sournois du démembrement du territoire congolais remet indubitativement en cause le concept « intellectuel » puisque sa fonction revêt toujours un caractère critique.
Il suffit de se référer au procès de Dreyfus qui eut lieu en France du 19ème siècle pour en saisir son sens. Alors pourquoi ces intellectuels Congolais de pacotilles, marionnettes, opportunistes s’amusent à sacrifier toute une nation, tout un peuple déjà exsangue avec l’apport des étrangers ?
S’agit-il de chercher leur salut terrestre enfermé dans le bonheur éphémère ou tout simplement accomplir la volonté des puissances maffieuses qui leur servent de rempart pour atteindre à tout prix le pouvoir exécutif ?
Quel est alors la place du peuple Congolais qui contribue depuis des décennies avec son maigre moyen à la libération de son pays ?
Par conséquent, le Traité de Nice se rapporte à d’autres accords antérieurs qui ont failli décapiter l’Etat congolais, lesquels ont souvent vu le sang congolais offert comme breuvage sur l’autel du culte ésotérique des lois secrètes de la nature. A titre illustratif :
1. La Sécession katangaise déclarée le 11 juillet 1960 par Moïse Tshombe. Il sera soutenu discrètement par la Belgique. Et les katangais naïfs de l’époque l’ont soutenu sans savoir les tenants et les aboutissants de cet accord,
2. La sécession du Sud-Kasaï quelques jours seulement avant la proclamation formelle de l’indépendance par Albert Kalonji. La campagne militaire pour reprendre le contrôle du Sud-Kasaï avait duré quatre mois faisant des milliers de victimes. Il y a toujours du sang sur la route qui mène à la course au pouvoir très souvent en R D Congo,
3. MBUMBA Nathanaël avec son FLNC, le « Front de Libération National du Congo » du 18 juin 1968 soutenu par les Portugais, avait comme objectif de redonner aux katangais et plus particulièrement aux Lunda. (Voir L’Odyssée des Tigres Katangais par Jean-Pierre Sonck)
Cependant, il est donc impérieux de savoir que ces genres de Congolais existent dans l’échiquier national depuis longtemps. C’a toujours été le « remake » de contrats que signaient les chefs coutumiers à l’époque de Léopold II où ils vendaient le territoire à cause d’un sac du sel alors cette cession regorgeait des minerais (diamant, or, cobalt, zinc, etc…).
Malgré le spectacle déshonorant que ces indignes de la république offrent au peuple Congolais par leur cupidité sans vergogne, les Congolais conscients du danger de la survie de la R D Congo comme Etat et des intérêts partisans de brebis égarées, doivent en revanche, se liguer comme une seule personne dans une figuration anthropocentrique.
Celle-ci les amènera à la cohésion nationale en vue de l’assaut final de sa libération. En outre, l’apport libération qui leur est demandé est en réalité une sorte d’indépendance financière et économique du Congo de demain car une R D Congo libérée par ses propres fils, elle sera respectée, crainte pour dynamiser plusieurs aspects nationaux et régionaux de l’Afrique.
Mais le financement que le FMI (Fond Monétaire International), BM (Banque mondiale), BIRD (Banque Internationale de la Reconstruction et du Développement) octroient aux pays en voie de développement, dépossède les peuples du Sud de leur capacité du redressement économique.
C’est dire que ce sont de contrats léonins remboursables à des taux d’intérêts exorbitant dont les Congolais victimes du viol de l’imaginaire ne sauront en saisir les enjeux.
Pour terminer, les combattants ont un devoir de veiller sur le destin de leur pays. Le sort du Congo dépend en grand partie de son peuple qui est en même temps souverain et non à un groupe d’individu ambitieux se permettant de représenter un peuple sans son mandat dans les officines qui élaborent le dispatching du pays de Lumumba.
La R D Congo sera un jour dirigé par ceux-là qui ont dans leur esprit l’intérêt supérieur de la nation avant toute chose.
Wendy MAHAKITA
© KongoTimes
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