Litho Moboti Nzio, cet originaire de l’Equateur et chef d’entreprise discret, possède un carnet d’adresse garni dans le monde des affaires et politique. Justifiant sa candidature, l’homme s’est dit plus que révolté de la situation de pauvreté extrême que vit cette province qui lui est chère.
Il déplore le fait que dans d’autres provinces la croissance économique est plus que visible et que les populations de ces provinces commencent à bénéficier tant bien que mal de celle-ci. Ce 15ème candidat selon l’ordre alphabétique de la Ceni, est profondément indigné de voir que dans sa province tout reste bloqué à cause des crises qui opposent certains acteurs politiques de la province. Ce qui bloque malheureusement le progrès de l’Equateur.
Estimant que ces élections sont une occasion pour un éveil de conscience qui peut placer la province sur une trajectoire de développement économique et social durable et visible, cet ancien conseiller du premier ministre Likulia Bolongo sous la deuxième république, appelle les fils et filles de l’Equateur à l’unité afin de promouvoir la relance économique et le progrès social.
La Commission électorale nationale indépendante nationale (Ceni) a rendu publique la semaine dernière, la liste de 25 candidats gouverneurs de la province de l’Equateur. Sur cette liste figure au n0 15, selon l’ordre alphabétique Litho Moboti Nzio Théodore. Celui-ci promet la relance économique à grande échelle. Ce qui pourra garantir l’amélioration du social et la sécurité tant bien alimentaire que territoriale.
Profitant du micro qui lui était tendu, il justifie sa candidature par ces termes : « Le fait de réaliser que les deux programmes du gouvernement, à savoir : Les Cinq chantiers et la Révolution de la modernité sont inexistants à l’Equateur, lorsque l’on sait qu’il n’y a pas d’électricité dans une grande ville comme Mbandaka , lorsque les voies de communications sont inexistantes ou lorsqu’ont voit le délabrement du tissu social et qu’on a de l’expérience et des relations dans le monde des affaires et de la finance , on a le devoir de les mettre à la disposition de la province en vu de participer à son développement ».
« J’ai eu le privilège de voir les multiples bénéfices positifs des cinq chantiers du Chef de l’Etat dans d’autres provinces, mais malheureusement à l’Equateur après deux gouvernements provinciaux depuis 2006, la population n’a pas eu cette chance à cause des différents conflits politiques et sécuritaires que vous connaissez.
Aujourd’hui je travaille déjà pour que la modernisation tant mécanique que mentale s’effectue avec l’implication et l’écoute de la jeunesse. Car, l’avenir du pays passe nécessairement par elle », a ajouté ce candidat gouverneur.
Conscient des défis à relever dans sa province, ce chef d’entreprise d’une trentaine d’année qui évolue dans les affaires au Katanga, en Afrique du Sud en passant par la Belgique, dit qu’il travaille déjà sur son programme d’action, basé sur la relance économique, mais qui permettra aussi à la classe politique et à la société civile de se concentrer sur les questions d’ordre économique et sociale.
« J’estime que c’est maintenant qu’il faut commencer le travail et pas demain. Je n’attends pas d’être élu pour commencer à travailler », a-t-il souligné.
M. Litho Moboti Nzio précise ici qu’il a déjà évolué en termes des contacts et réunions avec des différents acteurs économiques au niveau national et international pour assister l’Equateur à trouver des solutions durables aux problèmes tels que le manque d’électricité, la reconstruction des infrastructures routières et fluviales, l’octroi de crédits et micro crédits agricoles, l’emploi des jeunes, construction de centre de santé,...
A cet effet, Litho Mobti dit qu’ il veut mobiliser d’importants investisseurs qui sont intéressés au potentiel agricole, minier et forestier de la province. Ces investissements a-t-il affirmé, répondront à une politique qui mettra un accent fort sur la création d’emploi de masse et l’amélioration des conditions sociales.
Enfin, s’agissant de sa partenaire à ce scrutin, Litho Moboti Nzio Theodore a fait voir qu’aujourd’hui et partout dans le monde, la femme a toujours joué un rôle très important dans la famille. Elle en est le socle.
« L’éducation ainsi que la transmission des valeurs sont de son ressort et elle joue également un rôle déterminant dans la vie active et participe sans complexe au développement de tout pays moderne.
Je veux que la femme puisse être représentée aux plus hautes sphères de la province. C’est ainsi que dans ma mouture, Madame Fathou Bofassa Mputu sera vice-gouverneur. Elle a accepté de mettre son expertise au service du développement de la province », a-t-il conclu.
Yassa
LAvenir
Il déplore le fait que dans d’autres provinces la croissance économique est plus que visible et que les populations de ces provinces commencent à bénéficier tant bien que mal de celle-ci. Ce 15ème candidat selon l’ordre alphabétique de la Ceni, est profondément indigné de voir que dans sa province tout reste bloqué à cause des crises qui opposent certains acteurs politiques de la province. Ce qui bloque malheureusement le progrès de l’Equateur.
Estimant que ces élections sont une occasion pour un éveil de conscience qui peut placer la province sur une trajectoire de développement économique et social durable et visible, cet ancien conseiller du premier ministre Likulia Bolongo sous la deuxième république, appelle les fils et filles de l’Equateur à l’unité afin de promouvoir la relance économique et le progrès social.
La Commission électorale nationale indépendante nationale (Ceni) a rendu publique la semaine dernière, la liste de 25 candidats gouverneurs de la province de l’Equateur. Sur cette liste figure au n0 15, selon l’ordre alphabétique Litho Moboti Nzio Théodore. Celui-ci promet la relance économique à grande échelle. Ce qui pourra garantir l’amélioration du social et la sécurité tant bien alimentaire que territoriale.
Profitant du micro qui lui était tendu, il justifie sa candidature par ces termes : « Le fait de réaliser que les deux programmes du gouvernement, à savoir : Les Cinq chantiers et la Révolution de la modernité sont inexistants à l’Equateur, lorsque l’on sait qu’il n’y a pas d’électricité dans une grande ville comme Mbandaka , lorsque les voies de communications sont inexistantes ou lorsqu’ont voit le délabrement du tissu social et qu’on a de l’expérience et des relations dans le monde des affaires et de la finance , on a le devoir de les mettre à la disposition de la province en vu de participer à son développement ».
« J’ai eu le privilège de voir les multiples bénéfices positifs des cinq chantiers du Chef de l’Etat dans d’autres provinces, mais malheureusement à l’Equateur après deux gouvernements provinciaux depuis 2006, la population n’a pas eu cette chance à cause des différents conflits politiques et sécuritaires que vous connaissez.
Aujourd’hui je travaille déjà pour que la modernisation tant mécanique que mentale s’effectue avec l’implication et l’écoute de la jeunesse. Car, l’avenir du pays passe nécessairement par elle », a ajouté ce candidat gouverneur.
Conscient des défis à relever dans sa province, ce chef d’entreprise d’une trentaine d’année qui évolue dans les affaires au Katanga, en Afrique du Sud en passant par la Belgique, dit qu’il travaille déjà sur son programme d’action, basé sur la relance économique, mais qui permettra aussi à la classe politique et à la société civile de se concentrer sur les questions d’ordre économique et sociale.
« J’estime que c’est maintenant qu’il faut commencer le travail et pas demain. Je n’attends pas d’être élu pour commencer à travailler », a-t-il souligné.
M. Litho Moboti Nzio précise ici qu’il a déjà évolué en termes des contacts et réunions avec des différents acteurs économiques au niveau national et international pour assister l’Equateur à trouver des solutions durables aux problèmes tels que le manque d’électricité, la reconstruction des infrastructures routières et fluviales, l’octroi de crédits et micro crédits agricoles, l’emploi des jeunes, construction de centre de santé,...
A cet effet, Litho Mobti dit qu’ il veut mobiliser d’importants investisseurs qui sont intéressés au potentiel agricole, minier et forestier de la province. Ces investissements a-t-il affirmé, répondront à une politique qui mettra un accent fort sur la création d’emploi de masse et l’amélioration des conditions sociales.
Enfin, s’agissant de sa partenaire à ce scrutin, Litho Moboti Nzio Theodore a fait voir qu’aujourd’hui et partout dans le monde, la femme a toujours joué un rôle très important dans la famille. Elle en est le socle.
« L’éducation ainsi que la transmission des valeurs sont de son ressort et elle joue également un rôle déterminant dans la vie active et participe sans complexe au développement de tout pays moderne.
Je veux que la femme puisse être représentée aux plus hautes sphères de la province. C’est ainsi que dans ma mouture, Madame Fathou Bofassa Mputu sera vice-gouverneur. Elle a accepté de mettre son expertise au service du développement de la province », a-t-il conclu.
Yassa
LAvenir
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